Analyse conceptuelle de la fidélité en 3 temps

Publié le 1 déc. 2019 il y a 4A par tom.poret4 - Fin › 4 déc. 2019 dans 4A
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Sujet du devoir

Bonjour,

Je dois faire una analyse conceptuelle du concept de FIDELITE .

3 étapes :

1) Analyse génétique : d'où ça vient : question des origines, des causes, des sources

2) Analyse fonctionnelle : à quoi ça sert ? Quel effet cela produit sur le sujet et sur les autres sujets ?

3) Analyse axiologique : la fidélité, est-ce bien ou mal ? bon ou mauvais ? positif ou négatif ? = question des valeurs

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai réussi à faire une introduction ainsi que la 3ème partie (analyse axiologique). Voici que ce que j'ai réalisé :

 

INTRO :

Nous pouvons définir la fidélité comme une relation constante qu’entretient un sujet avec un autre sujet ou avec un idéal. La fidélité apparaît présente dans de nombreux cas. Nous pensons d’emblée à la fidélité dans le mariage (union dans laquelle on se jure fidélité). Or, on peut aussi être fidèle à son pays, fidèle à une enseigne (exemple des cartes de fidélité). Ou encore, pensons à la fidélité du chien, ou le fait d’être fidèle à sa série télévisée quotidienne. Précisons que la fidélité est contingente : elle est d’emblée perçue comme quelque chose de positif que l’on se doit de respecter, mais elle reste contingente et peut ne pas être.

3E PARTIE (ANALYSE AXIOLOGIQUE) :

La fidélité est perçue comme une vertu, mais c’est aussi ce qui permet l’existence des autres vertus. On peut se demander ce que deviennent la justice, la paix, la liberté ou encore la vérité, sans la fidélité. Plus globalement, on peut être tentés de dire qu’elle consiste dans la fidélité aux principes de la morale. Cependant, peut-être peut-on voir un abus de langage dans cette pensée . En effet, pour dire que nous devons obéir à la loi morale, il n’y a pas du tout besoin de faire appelà la fidélité. Selon moi, le propre du devoir, c’est de s’imposer à nous. Employé ainsi, le terme de « fidélité » devient si je puis-dire “passe-partout” et perd de son intérêt. Par contre, si malgré ce risque nous continuons d’affirmer que la fidélité est en un certain sens la vertu des vertus car elle est nécessaire à l’exercice de toutes les autres (pour être juste, il faut être fidèle à l’idée de justice), nous devons avoir conscience qu’il s’agit d’une évidence relative à une généralité un peu creuse. Cependant, cette affirmation montre que la fidélité, comme d’ailleurs son contraire l’infidélité, suppose la mémoire : dans les faits, pour être infidèle à quelque chose, encore faut-il se souvenir de ce quelque chose.

 

La fidélité nous semble ne pas se suffire à elle-même, puisqu’en effet sa valeur dépend des objets sur lesquels elle porte. Pour prendre un exemple très concret, être fidèle à Hitler ou à tout autre dictateur, c’est bien pire que de le renier.  A mes yeux, être fidèle à ses amis est très précieux, être fidèle à sa chaussette porte bonheur est amusant mais sans vraiment de valeur. Pour rentrer dans le très concret de cette analyse axiologique, on oeut perçevoir clairement qu’il y a des “bonnes” et des “mauvaises” fidélités. Par exemple, être fidèle à sa haine n’est pas une vertu. Pour conclure, la fidélité ne semble pas constituer une valeur en elle-même

 

 

J'ai besoin de votre aide pour les deux autres parties de l'analyse : d'où ça vient (question de la genèse) et quels effets cela produit (analyse fonctionnelle). Je ne sais pas d'où partir. Je pense que cela m'aiderait d'avoir un point ou une phrase de départ, une idée de départ.

Je vous remercie infiniment pour votre aide et vous souhaite par avance une très bonne semaine :-)




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