Devoir de philosophie

Publié le 8 avr. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 14 avr. 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

Ce qui est flagrant est il toujours vrai ? je pense kil sagit dja de repérer les 2 mots clés tel ke flagrant et vérité voila.

Où j'en suis dans mon devoir

Ben je cherche kelke arguments pr kommencer a fair mn introduction pui fair la suite voila .Alrs j'aimerai bien kon me donne des arguments afin ke je puisse terminer ce devoir ainsi kun plan .Bisous et merçi d'avance.



1 commentaire pour ce devoir


Anonyme
Posté le 8 avr. 2010
Bonjour à toi sandy, un petit résumé pour essayer que tu trouve quelques arguments :

Dis toi bien que flagrant est synonyme d'évident !


« C'est évident », « cela crève les yeux », : autant d'expressions qui prétendent mettre fin à la discussion, en renvoyant l'interlocuteur récalcitrant au bon sens dont il ne saurait manquer. Mais ne suffit-il pas d'ouvrir les yeux, pour voir que les bords de la route se rapprochent progressivement et finissent par se rejoindre ? - ce qui n'a jamais empêché aucun voyageur de poursuivre tranquillement sa marche sur une route dont il sait bien qu'elle se prolonge malgré les apparences ! Et la lune, que le poète voit au-dessus du clocher, ne suffirait-il pas d'une échelle pour l'atteindre ? Le bon sens demande aussi qu'on se méfie des apparences et que l'évidence qui frappe le regard ne correspond pas nécessairement à la réalité. Je suis certain de voir le soleil gros comme un fromage de Hollande à trois cents pieds au-dessus de l'horizon - mais le soleil de l'astronome, infiniment plus gros que la Terre, et à des millions de kilomètres de notre planète, est assurément plus vrai que ce que j'en perçois : quiconque s'est donné la peine de suivre les calculs du savant ne peut qu'en être persuadé. Or ces calculs eux-mêmes m'imposent leur conclusion parce qu'elle aussi est « flagrante » : le chemin de la connaissance vraie irait-il ainsi d'une évidence première, source d'illusion, à une évidence seconde, critère de vérité ? Telle est du moins la position cartésienne.

La vie quotidienne nous révèle des faits qui nous apparaissent si évidents qu'on ne tient pas à démontrer leur validité puisqu'ils semblent être en accord avec notre sens commun.
Certains discours peuvent être cohérents et faire semblant d'être vrais. Les systèmes de déduction mathématiques butent sur des propositions évidentes : 1+1=2 n'a pas besoin d'être démontré.
L'évidence se pose comme le critère de vérité qui trouve toute sa force dans le fait que les propositions puissent se vérifier elles-mêmes. Or, le fait que les propositions se montrent par elles-mêmes soulève un problème : s'agit-il de l'indémontrable ?
La cohérence formelle attribue une validité aux qui demeure toujours évidente, si on demeure dans le domaine de l'abstrait, mais accorde-t-elle une validité aux propositions dans le domaine du matériel ? L'évidence peut être alors considérée comme contre critère surtout lorsqu'il s'agit de démontrer des vérités de l'ordre matériel.

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