Introduction.

Publié le 16 févr. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 1 mars 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

Voilà, j'ai fait l'introduction de ma dissertation mais je ne sais pas si elle est correcte ou non. Alors, je voulais avoir quelques avis.
Le sujet étant: Qu'est-ce que le bonheur?

Merci de votre aide.

Où j'en suis dans mon devoir

La question nous amène à réfléchir sur les éventuelles définitions du bonheur, ce qui signifie que chacun de nous aurait une conception différente plus ou moins précise de la chose. Il ne s’agit donc pas de savoir la définition même du bonheur, soit la définition universelle que l’on peut éventuellement trouver dans un dictionnaire. Mais de savoir ce qu’est le bonheur pour chacun d’entre nous, ce qu’il peut nous amener ou par exemple savoir s’il y a des liens avec d’autres morales comme le devoir ou même la liberté… Enfin comprendre le fonctionnement de nos désirs, qui pour l’essentiel, concerne le bonheur. De plus, le bonheur, c’est la santé, bien mangé…Cependant, posséderait-il plusieurs sens auquel nous pourrions lui assimiler.
Nous savons que l’homme possède des désirs qui se manifestent en lui comme un manque. Mais est-il vrai que l’homme cherche un bonheur certain, stable pour être heureux ? Seulement, s’il y a que de(s) bonheur(s), l’homme ne pourra pas être confronté au malheur alors que la vie, c’est l’oscillation d’un pendule, à gauche le bonheur ou les bonheurs et à droite, les malheurs.
Les enjeux de cette question n’est pas tellement de savoir si le bonheur est un bien pour l’homme. Le problème est de savoir si le bonheur, « provoqué » par le désir de l’homme, est commun à tous les hommes, ce qui peut justement leur apporter ainsi que les limites existantes comme pour le cas du bonheur au sein de la société par exemple.



6 commentaires pour ce devoir


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Anonyme
Posté le 16 févr. 2010
C'est trop flou sur la fin.On dirait que vous avez voulu aligner des concepts philosophiques(empruntés à qui? vous ne donnez pas d'auteurs)Or, je pense que vous les tirez de vote recueil de textes de philo.Donc, moins d'idées, faites un peu moins long, mais avec une problématique beaucoup plus claire!chez Aristote,le bonheur, c'est la vertu.Votre idée de durabilité du bonheur est liée à Kant et Hegel.Chez Schopenhauer,c'est le contraire: le bonheur, c'est quand on n'est pas malheureux!Chez Nietzsche, c'est le triomphe de la lutte contre le malheur qui fait le bonheur!Voilà.Je trouve votre 1er paragraphe superbe:n'y toucez plus et refaites le 2ème!
Anonyme
Posté le 17 févr. 2010

Le bonheur

Est-ce le problème principal ?

A la différence du malheur, dont on ne peut pas douter, le bonheur semble, lui aussi difficile à définir qu'à trouver. Il est pourtant par hypothèse le but principal de toute existence humaine. Aussi la philosophie s'est-elle donnée pour la première tâche, dès l'antiquité, de répondre à la double question : qu'est-ce que la vie heureuse et quel est le meilleur moyen d'y parvenir ? Rechercher de la vertu, du pouvoir et du plaisir, de la sénérité, de la passion ou de l'harmonie entre l'âme et les passions.
Est-ce un faux problème ?

Et si le bonheur était insaisissable par nature ? On désire en effet ce qu'on n'a pas ou ce qu'on n'a plus ; on rêve aussi de ce que les autres possèdent. Le paradis qu'il soit celui des orignines perdues ou celui des lendemain qui chantent est toujours ailleurs. Marcel Proust nous en avertit : <> La réalité du bonheur ne fait problème que sous sa forme d'état permanent et assuré.

Est-il réellement souhaitable ?

Oui , d'ailleurs, voudrait d'une éternité à passer dans ce bonheur sans nuage. Sans manque et sans souffrance, sans risque et sans enjeu, que vaudrait tout ce qui est censé nous apporter la satisfaction suprême : la santé, la fortune, la gloire, la vertu, l'amour même. Ces biens ne représentent le bonheur quà la condition qu'ils nous fassent défaut, ou qu'on les ait conquis avec le risque de le perdre.

Un état intérieur réel

Si aucun bien extérieur ne peut nous assurer une vie heureuse, c'est que le bonheur est un état intérieur et non <>, comme l'indique d'abord son étymologie. Cest même parce que le malheur et le bonheur ne sont que des façons de ressentir et de vivre ce qui nous arrive.
Celui-là peut se sentir heureux, sans obligatoirement le savoir, le penser et se dire <>.

Ceux-ci vient d'un livre de philo.

Bon courage
Anonyme
Posté le 17 févr. 2010
Merci beaucoup pour toutes ses informations.
Anonyme
Posté le 17 févr. 2010
D'accord. Merci à vous pour vos conseils.
J'ai fait à nouveau seulement le deuxième paragraphe et ça donne :
Nous savons que l’homme est destiné à être heureux. Mais qu’est-ce être heureux ? Comment l’homme peut-il réussir à obtenir son bonheur ? Est-il possible que le bonheur soit le même pour chacun d’entre nous voire même partager entre plusieurs individus ?

Je crois que ce n'est pas mieux...
Anonyme
Posté le 18 févr. 2010
Merci beaucoup pour ces citations.
Anonyme
Posté le 18 févr. 2010
J'avoue que j'ai un peu de mal à cerner le problème.

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