la vérité doit elle d'être prouvée ?

Publié le 10 oct. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 12 oct. 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Bonjour, j'ai une dissertation à faire en philosophie dont le sujet est : "La vérité doit elle être prouvée ?"

Je vous met ci dessous mon plan et mes recherches effectuées

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai dans un premier temps opté pour 3 parties dont voici leurs titres !
I) La vérité se démontre par la preuve
II) La preuve ne suffit pas a montré une vérité
III) La vérité peut naitre d'une opinion!



2 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 10 oct. 2010
Définition :

tout : La totalité sans exception.

vérité : La vérité concerne l'ordre du discours, et il faut en cela la distinguer de la réalité. Elle se définit traditionnellement comme l'adéquation entre le réel et le discours. Qualité d'une proposition en accord avec son objet. La vérité formelle, en logique, en mathématiques c'est l'accord de l'esprit avec ses propres conventions. La vérité expérimentale c'est la non-contradiction de mes jugements, l'accord et l'identification de mes énoncés à propos d'un donné matériel. On distinguera soigneusement la réalité qui concerne un objet (ce cahier, cette lampe sont réels) et la vérité qui est une valeur qui concerne un jugement. Ainsi le jugement : « ce cahier est vert » est un jugement vrai ou bien un jugement faux. La vérité ou la fausseté qualifient donc non l'objet lui-même mais la valeur de mon assertion. La philosophie, parce qu'elle recherche la vérité, pose le problème de ses conditions d'accès et des critères du jugement vrai.

être : Du latin esse, « être ». 1) Verbe : exister, se trouver là. En logique, copule exprimant la relation qui unit le prédicat au sujet (exemple : l'homme est mortel). 2) Nom : ce qui est, l'étant. 3) Le fait d'être (par opposition à ce qui est, l'étant). 4) Ce qu'est une chose, son essence (exemple : l'être de l'homme). 5) Avec une majuscule (l'Être), l'être absolu, l'être parfait, Dieu.

Problématique :

La vérité est une propriété qui s’attribue à nos jugements et à nos énoncés. Elle désigne leur accord avec la réalité. Mais Qu’est-ce qui peut garantir cet accord ? Il faut que ma pensée y soit amenée par quelque chose. Ce quelque chose, c’est la preuve. La preuve implique l’usage de la démonstration, c’est-à-dire du procédé par lequel on établit logiquement la vérité d’un énoncé en le déduisant de propositions premières et dont le modèle est la déduction mathématique.
Certaines choses semblent aller tellement de soi et semblent si bien connues qu'il serait extravagant d’en donner une preuve ; elles s’imposent d’elles-mêmes et immédiatement. Ainsi, il me semble possible de tenir immédiatement pour une vérité qu'il existe des choses matérielles autour de moi, que ce stylo écrit en noir et que cette feuille est blanche.
Pourquoi devrait-on prouver ces vérités qui s’imposent d’elles-mêmes et qu'il ne me semble pas possible de remettre en cause ? Comment les prouver d’ailleurs autrement qu’en affirmant que mes sens en témoignent et que cela suffit.
De plus, il semble bien qu’un énoncé puisse être une vérité sans être prouvé. « Dieu existe », « Dieu n’existe pas », voici deux énoncés contradictoires : nécessairement l’un est vrai et l’autre faux. L’un est une vérité même s’il n’a pas été prouvé. Simplement, je ne sais pas lequel. Il y a donc bien des vérités sans preuve.
Mais justement, à quoi me sert une vérité si je ne sais pas que c’est une vérité ? Et puis-je le savoir autrement qu’en en apportant une preuve ? C'est cela qui fait apparaître l’exigence de preuve. En en restant à la certitude immédiate, je risque d’en rester aussi à l’opinion non fondée et de ne pas accéder à la connaissance, au savoir. De plus, la connaissance, qu’elle soit scientifique ou philosophique, ne se définit-elle pas en partie par la recherche de fondements à nos affirmations, par quoi elle se différencie de la pure et simple opinion qui manque de ces assises nécessaires ?
Ainsi, toute vérité doit-elle être prouvée ou bien certaines vérités ont-elles le pouvoir de s’imposer d’elles-mêmes ?

Ton plan me paraît bien mais je te p^roposerais celui-là :

Introduction : Problématique issue de la difficulté de défnir ce qu'est une vérité et ce qu'est une preuve

I - La vision de la vérité :

Celle-ci est différente en fonction que l'on s'intéresse à son contenu qui est relatif aux époques ou aux découvertes que l'on s'intéresse à sa production propre en son processus. Le processus de la vérité est fondé sur une adéquation entre la chose et l'idée de la chose.

II - La preuve comme critère de vérité

A. Qu'est-ce qu'une preuve
B. La preuve chez l'homme

III - La vérité conforme au réel

A. Définition de la vérité et du vrai
B. Les sciences (maths...)

Conclusion
Anonyme
Posté le 10 oct. 2010
Merci, mais je suis déja aller sur ce site, et il ne suffit pas de recopier un site! cela ne sert strictement a rien !
Mais merci tout de même !

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