Philosophie le désir

Publié le 28 janv. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 18 févr. 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

Je fais des fiches de révisions pour le bac de philo et la je suis sur le désir en philosophie et je ne trouve pas grand chose à dire. Qu'est qu'il est important de savoir sur le désir en philosophie pour le bac ?

Où j'en suis dans mon devoir

Voilà ce que j'ai noté pour l'instant c'est une sorte de définition du désir :
Le désir est le mode d'être primitif de la conscience et, en ce sens, il est propre à l'homme. Cela ne veut pas dire pour autant que tout désir soit louable, puisqu'on peut fort bien désirer des choses affreuses.

Je suis un peu perdu sur cette notion est ce que vous avez d'autres définitions du désir ? quels sont les auteurs qui ont souvent parlé de désir ?



3 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 28 janv. 2010
as-tu été voir là :
http://www.philagora.net/philo-poche/pochdesi.htm
Anonyme
Posté le 28 janv. 2010
Nous aborderons la notion de désir en commençant par une définition classique (cf. Spinoza). Nous exposerons ensuite les aspects du désir qui ont le plus retenu l'attention des philosophes, aspects qui concernent la morale et la finalité de la pensée et des actions humaines.

Le désir est une tension vers un but considéré comme une source de satisfaction. C'est une tendance devenue consciente d'elle-même, accompagnée de la représentation du but à atteindre. En tant que tendance ou appétit, le désir est distingué du besoin qui désigne surtout l'élément affectif de cet état.


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Anonyme
Posté le 15 févr. 2010

Trouvé sur un livre de Philo.

Du latin desiderare, <>, <>.

Désir :

Tendance consciente vers un objet jugé agréable.
La notion de <> popularisée par la psychanalyse peut induire en erreur. Ce n'est pas le désir qui est inconscient, mais son origine ou sa finalité réelle. Tout désir apparaît à la conscience. C'est pourquoi Spinoza écrit l'Ethique : <>
La conscience de cet appétit se reconnaît d'abord à son objet. l'objet du désir est celui qui m'apparaît agréble, autrement dit bon pour moi (<> [Aristote, De l'âme]). Ce caractère agréable ne se trouve pas dans la nature de l'objet, mais dans celle de mes dispositions à son endroit. Selon Spinoza, <>. Le désir est donc subjectif, ce qui le distingue du besoin. L'objet du besoin m'est objectivement nécessaire, celui du désir l'est subjectivement.
Le désir se reconnaît aussi à l'effort pour obtenir l'objet désiré. <
Corrélat : Pulsion
Opposé : Ataraxie

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