Ariette III, Verlaine commentaire

Publié le 8 juin 2015 il y a 8A par Anonyme - Fin › 14 juin 2015 dans 8A
4

Sujet du devoir

Bonjour, je viens de terminer en cours l'analyse de l'ariette 8 de Verlaine
ARIETTE VIII

Dans l'interminable
Ennui de la plaine
La neige incertaine
luit comme du sable.

Le ciel est de cuivre
Sans lueur aucune.
On croirait voir vivre
Et mourir la lune.

Comme des nuées
Flottent gris les chênes
Des forêts prochaines
Parmi les buées.

Le ciel est de cuivre
Sans lueur aucune.
On croirait voir vivre
Et mourir la lune.

Corneille poussive
Et vous, les loups maigres,
Par ces bises aigres
Quoi donc vous arrive ?

Dans l'interminable
Ennui de la plaine
La neige incertaine
Luit comme du sable.
 

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai le plan suivant:
I) des rapprochements inattendus
-des couleurs
-infini/durable =/= éphémère
-solide =/= éthéré
II) transfiguration de l'état d'âme
a)tristesse
b)ennui
c)incertitude

Le problème c'est que ma première partie est difficile à mettre sous la forme a) b) car la partie couleur est assez réduite.
Avez-vous des informations supplémentaires que je pourrais ajouter à cette première partie (il est possible de modifier le titre de celle-ci si besoin)
merci d'avance




1 commentaire pour ce devoir


niogret2m
niogret2m
Posté le 8 juin 2015

D'où vient le charme de ce poème ? de ses ressemblances avec un air de musique ou de l'imprécision du paysage.

I. De la musique avant toute chose

Romance/ariette/reprises

sonorités, rimes

Vers utilisé

II. L'imprécision d'un paysage comme un état d'âme

 


Ils ont besoin d'aide !

Il faut être inscrit pour aider

Crée un compte gratuit pour aider

Je m'inscrisOU

J'ai déjà un compte

Je me connecte