commentaire composé Guy de Maupassant: Mont-Oriol

Publié le 12 avr. 2011 il y a 13A par Anonyme - Fin › 19 avr. 2011 dans 13A
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Sujet du devoir

bonjour à tous,je prend des cours par correspondance et pour terminer mon trimestre j'ai un devoir à rendre ,un commentaire plus précisément,et voila je bloque un peu sur la fin de mon commentaire.
Et je n'ai pas trouvé grand chose sur Mont-Oriol sur internet ...alors je viens demander votre aide...

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai rédigée tout mon commentaire mais je voudrais rajouter quelque chose au petit c du grand III , mais voila,je n y arrive pas... et je ne sais pas comment commencer ma conclusion aussi , je pensais mettre en ouverture une phrase du genre "Maupassant réaliste ou naturaliste ?" qu'en pensez-vous ?

voici mon plan:

I)description des hommes d'affaires
a)le besoin d'argent récurrent
b)le rituel des actes
c)les ruses (amoureuses)

II)mépris pour les femmes
a)femme,objet de plaisir
b)le rang social
c)la complicité des hommes

III)portrait négatif de don juan
a)une vie pleine d'insouciance et d'irresponsabilité
b)une fin malheureuse
c)prise de position de l'auteur dans le portrait négatif de don juan

voici l'extrait que j'ai à commenter :
Ils étaient une douzaine du même groupe qu'on retrouvait tous les soirs au même cafés, sur le boulevard, entre minuit et trois heures du matin. Forts élégants, toujours en habit et en gilet blanc, portant des boutons de bijoutiers, ils vivaient avec l'unique souci de s'amuser, de cueillir des femmes, de faire parler d'eux et de trouver de l'argent par tous les moyens possibles.
Comme ils ne savaient rien que le scandales de la veille, les échos d'alôves et des écuries, les duels et les histoires de jeux, tout l'horizon de leur pensée était fermé par ces murailles.
Ils avaient eu toutes les femmes cotées sur le marché galant, se les étaient passées, se les étaient cédées; se les étaient prêtées; et causaient entre eux de leurs mérites amoureux comme des qualités d'un cheval de course. Ils fréquentaient aussi le monde bruyant et titré dont on parle, et dont les femmes presque toutes entretenaient des liaisons connues, sous l'oeil indifférent, ou détourné, ou fermé, ou peu clairvoyant du mari; et ils les jugeaient, ces femmes, comme les autres, les confondaient dans leur estime, tout en établissant une légère différence due à la naissance et au rang social. A force d'employer des ruses pour trouver l'argent nécessaire à leur vie, de tromper les usuriers, d'emprunter de tous côtés, d'éconduire les fournisseurs, de rire au nez du tailleur apportant tous les six mois une note grossie de trois mille francs, d'entendre les filles conter leur roueries de femelles avides, de voir tricher dans les cercles, de se savoir, de se sentir volés eux-mêmes par tout le monde, par les domestiques, les marchands, certains tripotages de bourse ou d'affaires louches pour en tirer quelques louis, leur sens moral s'était émoussé, s'était usé, et leur seul point d'honneur consistait à se battre en duel dès qu'ils se sentaient soupçonnés de toutes les choses dont ils étaient capables ou coupables.
Tous, ou presque tous devaient finir, au bout de quelques ans de cette existence, par un mariage riche, ou par un scandale, ou par un suicide, ou par disparition mystérieuse, aussi complète que la mort.



et merci d'avance





1 commentaire pour ce devoir


Anonyme
Posté le 13 avr. 2011
et bien franchement je n'arrive pas à en trouver une ...

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