commentaire composé la curée

Publié le 27 févr. 2011 il y a 13A par Anonyme - Fin › 1 mars 2011 dans 13A
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Sujet du devoir

je dois faire le commentaire composée de l'extrait suivant (extrait de la Curée de zola, chapitre 7)


Elle retrouvait les éternelles joies, les éternelles jeunesses du grand air. Derrière elle, le soleil devait baisser; elle ne voyait que les rayons de l'astre à son coucher jaunissant avec des douceurs infinies ce bout de ville qu'elle connaissait si bien.

C'était comme une chanson dernière du jour, un refrain de gaieté qui s'endormait lentement sur toutes choses.

En bas, l'estacade avait des luisants de flammes fauves, tandis que le pont de Constantine détachait la dentelle noire de ses cordages de fer sur la blancheur de ses piliers. Puis, à droite, les ombrages de la Halle aux vins et du Jardin des plantes faisaient une grande mare, aux eaux stagnantes et moussues, dont la surface verdâtre allait se noyer dans les brumes du ciel. A gauche, le quai Henri-IV et le quai de la Rapée alignaient la même rangée de maisons, ces maisons que les gamines, vingt ans auparavant, avaient vues là, avec les mêmes taches brunes de hangars, les mêmes cheminées rougeâtres d'usines. Et, au-dessus des arbres, le toit ardoisé de la Salpêtrière, bleui par l'adieu du soleil, lui apparut tout d'un coup comme un vieil ami. Mais ce qui la calmait, ce qui mettait de la fraîcheur dans sa poitrine, c'étaient les longues berges grises, c'était surtout la Seine, la géante, qu'elle regardait venir du bout de l'horizon, droit à elle, comme en ces heureux temps où elle avait peur de la voir grossir et monter jusqu'à la fenêtre. Elle se souvenait de leurs tendresses pour la rivière, de leur amour de sa coulée colossale, de ce frisson de l'eau grondante, s'étalant en nappe à leurs pieds, s'ouvrant autour d'elles, derrière elles, en deux bras qu'elles ne voyaient plus, et dont elles sentaient encore la grande et pure caresse. Elles étaient coquettes déjà, et elles disaient, les jours de ciel clair, que la Seine avait passé sa belle robe de soie verte, mouchetée de flammes blanches; et les courants où l'eau frisait mettaient à la robe des ruches de satin, pendant qu'au loin, au-delà de la ceinture des ponts, des plaques de lumière étalaient des pans d'étoffe couleur de soleil.

Et Renée, levant les yeux, regarda le vaste ciel qui se creusait, d'un bleu tendre, peu à peu fondu dans l'effacement du crépuscule. Elle songeait à la ville complice, au flamboiement des nuits du boulevard, aux après-midi ardents du Bois, aux journées blafardes et crues des grands hôtels neufs. Puis, quand elle baissa la tête, qu'elle revit d'un regard le paisible horizon de son enfance, ce coin de cité bourgeoise et ouvrière où elle rêvait une vie de paix, une amertume dernière lui vint aux lèvres. Les mains jointes, elle sanglota dans la nuit tombante.

L'hiver suivant, lorsque Renée mourut d'une méningite aiguë, ce fut son père qui paya ses dettes. La note de Worms se montait à deux cent cinquante-sept mille francs.

Où j'en suis dans mon devoir

en me cherchant différentes aides j'ai construits un brouillon plus ou moins complet..


l'extrait étudier est tiré du roman "La Curée", écrit par Emile Zola en 1872.
Il fait parti de la série Les Rougon-Macquart dont il fut
le deuxième volume.
Emile Zola est connu pour être le chef de fil des auteur naturaliste.
Le naturalisme consiste donc en la recherche des causes
du vice dans l'hérédité. De ce fait, le romancier accumule
des renseignements sur la société et ses milieux sur les
conditions de vie et d'environnement.
à ceux moment de l'histoir, on retrouve Renée qui, délaisse par maxime et abusé finacièrement parson mari,
se rend une ultime fois sur les lieux de son enfance, à l’hôtel Béraud du Châtel,nous transmet ainsi ses souvenirs.

problématique:

annonce plan
-Dans un premier temps, nous analyserons comment l'auteur donne à sa description un effet imressionniste.
-
-





dans sa description Zola emprinte aux procédée des peintres impressionnistes.
on y retrouve une oposition du noir et le blanc « la dentelle noire... la blancheur
de ses piliers »), de nombreuses couleurs: « jaunissaient »
, « bleui », « grises », « rougeâtre », « verdâtre »
de plus,le point de vu eu heuteur du personnage offre un tableau avec une vue précise,une vision
panoramique typique des paysage impressionnistes





le passé heureux du
personnage dans un paysage triste, puis nous verrons le
présent désespéré de Renée dans un environnement magnifique
.

les couleurs; des nuances;
. la lumière et le coucher du soleil sont caractéristiques.
Mais aussi des touches de lumière « flammes fauves »
« flammes blanches » sont présentes.

. vision panoramique typique des paysage impressionnistes,
rappelle un tableau.


je suis désoler si c'est un peu illisible.. voir incompréhensible --'
en tout cas je ne trouve pas du tout de problématique ni d'autres axes >.<
je sollicite donc votre aide =x merci!



4 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 27 févr. 2011
oui on me l'a dit mais je n'arrive pas a la trouver.... "comment l'auteur entreprend-t-il sa description?"... c'est pas un peu banal...?><
Anonyme
Posté le 27 févr. 2011
par quel procédé l'auteur fait-il ressortir la nostalgie du décore par renée?=o
Anonyme
Posté le 27 févr. 2011
mais dans ce cas... le sujet du décore impressionniste n'est pas hors sujet? ou ça s'inscrit dedans? @_@
Anonyme
Posté le 27 févr. 2011
merciiii

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