Commentaire littéraire Jean Rouaud, Des hommes illustres

Publié le 1 nov. 2014 il y a 9A par Anonyme - Fin › 3 nov. 2014 dans 9A
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Sujet du devoir

Faire le commentaire du texte joint. On peut s'aider des arguments fournis (ci joint)

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai finis ma 1ère partie et je n'ai trouvé qu'un paragraphe pour les seconde et la dernière partie et je n'ai pas fais d'introduction ni de conclusion. J'aimerais avoir une correction de ce que j'ai écrit et de l'aide car je sèche niveau argument. La partie 1 est bonne car écrite par le prof.

Mon plan :

I – Personnages 

Des adversaires imposants
La personnification
La puissance des combats

II – Combat 

a ?
b ?
c ?
III – Portée symbolique

a ?
b ?
c ?

I

Ce texte insiste sur l'importance des personnages. Leur puissance est manifesté, au premier abord, par leur dimension, signé par le champs lexical du gigantisme : "énorme masse" (l6) pour le buldozer, "grand" (l5) pour l'arbre, par l'utilisaton du pluriel pour désigner la machine("les pelles" lg1, "des manettes et des tiges" lg8-9, "les chenilles" lg 10, mais aussi de l'abre ("les frondaisons" lg12, "les racines" lg16.) Leur importance est amplifié par les aliances que la machine noue avec "l'ensemble de la Terre" lg8 et le "corps de l'homme" lg 9-10 qui vibrent à l'unisson avec lui et, pour l'arbre, avec les nuages défilant derrière les frondaisons lg11-12. Les deux adversaire apparaissent alors comme des héros hors du commun. Le buldozer est d'ailleur composé métaphoriquement de parties animales (métaphore des chenilles) et l'auteur le compare à cette machine de guerre appelé de façon figuré "bélier" lg12. Ce sont deux colloses face à face.

 

La puissance de ces deux champions s'exprime ensuite a travers la domination qu'il s'exercent l'un à l'autre sur l'environnement, mélée de sentiments humains qui en font des êtres sensibles. La personnification est exprimé, en premier lieu par l'utilisation des groupes de mots "sans même paraître s'en appercevoir [...] avec mépris [...] comme on piétine une fourmillière "lg (1-2) ce qui renforce l'idée que l'engin mécanique peut exprimer des sentiments humains, ici du dédain. L'action de la machine avec le pluriel "comme un piétine une fourmilière" (l2) est comparé à un geste de domination, habituelement executé par des humains. Les arbres prennent tour à tour des sentiments humains : ils sont d'abord "hautain" (l5) puis "sûr d'eux" (l7), affichant une assurance têtue.

 


L'importance des personnages est ensuite souligné par le récit de leur actes c'est à dire de la puissance de leur combats. Dans un premier temps, l'auteur retransmet l'action par une multitudes de verbe à l'imparfait ("rasaient"(l1),"broyaient"[...],"bousculaient"(l2),'comblaient[...],"laminaient"(l3)),verbes d'action qui connotent la dynamique offensive, la force mais aussi le lexique de la destruction. Par le même idée les propositions courtes, juxtaposées et ordonnées du premier paragraphe donne de la rapidité au rythme. De plus les mots "contre"(l6),"face à"(l10) opposent deux thèmes : la nature et les machines.
Enfin les "trépidations"(l8) des machines connotent le lexique du mouvement.

 

II

Ce texte retranscrit l'action durant les combats. En premier lieu grâce au lexique de l'affrontement ("contre" l6, "face à" l10) et aux oppositions lexicales. L'action débute grâce au verbe "se mettait à" puis est remarqué par le lexique du mouvement avec "les trépidations" (l.8), "faisait trembler (l.9) et poussée (l.7). Le groupe de mot "la lune parait glisser" (l.12) renforce le contraste enre le mouvement de la lune et l'immobilité de l'arbre.

III

Ce texte comporte aussi une portée symbolique. La machine est décrite comme allié avec "l'ensemble de la terre" (l.8) et "tout le corps de l'homme" (l.9/10). Avec la métaphore des "chenilles" (l.10) l'écrivain décris la machine comme si elle était composée de parties animales. Par opposition l'abre est allié avec "les nuages défilant derrière les frondaisons" (l1/l2) et est comparé à "un os symétrique". Mais le narrateur n'est pas totalement objectif, à l'aide des phrases "on voulait croire (l.1) et "il fallait se rendre à l'évidence" (l.14), il prends parti de l'arbre.




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