Demande à Flower 93

Publié le 12 mars 2011 il y a 13A par Anonyme - Fin › 19 mars 2011 dans 13A
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Sujet du devoir

Bj , Flower93 comment vas tu ? JE voudrais savoir dans l'ecriture d'inveeention , ,notre proffesseur nous a donner un exemple mais je pense qu'il doit être obligatoire : est ce que tu peux me corriger la premiere ligne car on est obligé d'ecrire le titre et le nom de l'auteur des textes du corpus ( en disant par exemple : A l'occassion de la relecture des trois articles " Le négre de surinam " de Voltaire ; " l'Esclavage des Négre" ; de Montesquieu .......

Et est ce que je peux ecire la date de l'ecriture du texte : le 16 septeembre 2000 par exemple ou ici c'est obligé de rester dans une date ancienne ?

Où j'en suis dans mon devoir




23 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 13 mars 2011
bonjour,

cela dépend : si ta lettre est un témoignage de ta vie d'esclave et que tu es rescapée tu dois donc placer une date par rapport à l'abolition de l'esclavage mais si tu écris une lettre par rapport aux trois textes que tu as lu par exemple dans la presse, tu peux aussi t'indigner en faisant une lettre et là tu mets la date que tu veux = une date récente.

Cela dépend de la demande de la prof soit tu es un esclave aboli et tu témoignes, soit l'histoire ce passe de nos jours et tu t'indignes de ce qui est arrivé aux esclaves jadis.

A toi de jouer et de suivre les instructions du ou de la prof.

flower93
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Stp est ce que d'après ce que tu m'a fait tu peux me modifier des choses , j'en est modifier mais je ne sais pas comment faire , enfait je veux que se soit des articles lu dans la présse : j'ai aimé : "l'histoire ce passe de nos jours et on s'indignes de ce qui est arrivé aux esclaves jadis."


Est ce que tu peux me modifier enfait c'est juste mais j'aurrai voulu de qqchose d'aujourd'hui . Je te redonne l'ecriituure d'inventn :




Paul Joseph
21 Avenue de la Fontaine
Alotau 211 Nouvelle Guinée, Jean-Paul Clément
55 rue de la Bruyère 75016 Paris


Le 18 Août 2000 à Daru

Monsieur ,

Je suis un fidèle lecteur de votre livre intitulé " l'espoir de tous" et j'éspere que mon courrier retiendra votre attention.
A l'occasion de la relecture des trois articles que vous avez intégrés dans votre livre : de Voltaire « Le nègre de Surinam » , « L'esclavage des nègres» de Montesquieu et « La traite des Négres »du Chevalier de Jaucourt , J'ai décidé de vous adresser mon témoignage pour laisser une trace d'une histoire importante , d'une colère contre cette injustice faite à l'homme .
Moi, Paul Joseph, âgé aujourd'hui de 89 ans, j'ai fait partie des huit millions d'esclaves déportés vers les côtes d'Afrique où j'ai été employé en qualité comme esclaves. C'est ma mère qui a était obligée de me vendre pour une bouchée de pain, soit dix écus de mémoire. Pauvre femme, elle pensait que mon sort serait meilleur et que je pourrais alors faire la fortune des miens. Elle était bien naïve mais je lui pardonne.
Ceci remonte à bon moment maintenant . J'ai été mis sur un bateau où des centaines de noirs gisaient ça et là sur le pont attendant leur même sort, entassés, enchaînés aux pieds par des fers. Je devais me rendre à l'évidence : le même m'attendait. Des négociants allaient nous transporter dans des colonies. Quand j'y repense, nous nous ressemblions tous, nous étions tous noirs des pieds jusqu'à la tête, avec tous un nez écrasé. Devant ce spectacle, je fus envahi par un sentiment très étrange, je bouillonnais de l'intérieur prêt à lever le poing par cette violence interne qui habitait tout mon corps.
Je me retins bien sûr par peur des représailles. Des idées défilaient dans ma tête et me demandais alors de quel droit un homme doté de sa liberté se retrouve piégé et fait l'objet de commerce. Ce commerce etait évidemment illicite et je le savais et il violait la morale humaine. Aucun homme n'a le droit d'être le maître d'un autre homme, en un mot la liberté ne s'achète pas. 
Moi qui suis si chrétien, j'avais toujours cette même question qui me taraudait l'esprit. Dieu était-il si bon pour nous infliger une telle épreuve ? Est ce qu'il avait mis une bonne âme dans un corps tout noir ? Je n'avais pas d'éléments de réponse à mon interrogation.
Mon histoire n'était qu'à son début et le pire restait à venir. Quand je suis arrivé à la plantation, on m'a indiqué ma case, endroit insalubre avec comme simple lit de la paille. Ensuite, on me donna un caleçon de toile en guise de vêtement et on me précisa d'en prendre soin car compte-tenu du nombre d'esclaves à habiller, je n'aurais que deux changes par an. Le lendemain le travail commençait. Avec le recul, je m'aperçois maintenant que mon maître et moi ne faisions qu'un seul homme. En effet, j'étais l'ombre de ses volontés, de ses désirs, de ses mouvements et j'agissais tel un pantin articulé. J'avais souvent le vertige, la rage et surtout cette envie permanente de vouloir m'enfuir. Cependant avoir l'envie et passer à l'acte est une tout autre histoire.
Je savais quel sort était réservé à l'esclave qui faisait une tentative d'évasion. Un de mes compagnons de fortune s'est retrouvé avec une jambe coupée. C'est à ce prix qu'en Europe vous mangiez du sucre, au prix d'un homme sacrifié qui n'a pas demandé d'être esclave. J'ai été accablé de douleurs de coups de fouets, de privations, et comme simple nourriture de l'eau, une ration quotidienne de haricots et de bananes. D'ailleurs , les chiens, les singes et les perroquets étaient certainement mille fois plus heureux que nous tous réunis.
Monsieur, sachez que l'esclavage viole la religion, la morale, et les droits de la nature humaine . 
Est-ce que les hommes et leurs libertés devaient faire l'objet de ce commerce odieux ? Mon maître était il en droit de s'enrichir de la sorte, de façon aussi cruelle et inhumaine ? Non, je ne le pense pas.  L'esclavage n'a été utile qu'à ceux qui en ont tiré profit, il a détruit des vies humaines, il est la honte de ceux qui en ont joui .L'esclavage n'a pas été utile, ce crime aurait dû être dénoncé plus tôt .Je suis en colère aujourd'hui , de cette injustice faite à l'homme . La suppression de l'esclavage a ruiné le commerce et celui-ci a beaucoup souffert et je m'en réjouis car cette violence commise sur tout un peuple, une espèce humaine a affecté l'humanité toute entière.
On ne naît pas esclave, malheureusement on le devient, un être humain ne se dévoue jamais à la servitude mais il le fait par obligation.
Je tiens tous particulièrement à remercier Monsieur Victor Schoelcher , qui par le décret du 27 avril 1848, a rendu la liberté à 260 000 esclaves noirs ou métis .
Je suis énormément heureux qu'aujourd'hui l'esclavage a diminuer mais malheureusement il existe toujours .

Je vous remercie de l'attention que vous avez apporter à ma lettre et J'espère que vos lecteurs porteront un vif intérêt à mon vécu et que certains changeront leur point de vue sur l'esclavage des nègres .


Votre fidèle lecteur,
Paul Joseph .
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Stp aide moi
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Ton texte ne va pas :

Tu indiques 18 août 2000, et tu fais un témoignage de Paul Joseph qui donc à 89 ans en employant "MOI" et "JE"et tu relates des faits du temps de l'esclavage.Tu comprends bien qu'il ne peut pas être de ce monde en 2000, il y a longtemps qu'il est mort !

Ce que tu dois faire : [....]je viens de prendre connaissance des des extraits des livres de Voltaire [...]Montesquieu [...]etc que vous avez fait paraître dans votre dernière revue.J'ai décidé de vous envoyer cette lettre pour vous faire d'un témoignage très poignant qui a été fait par l'arrière grand-mère de ma propre mère au sujet de son fils Paul Mathieu qui vivait dans les îles. C'est un façon de laisser une trace de l'histoire du peuple noir.
Il s'appelait Paul Joseph et quand il a relaté les faits, il était alors âgé de 89 ans etc...

Tu dois obligatoire changer la première personne du singulier "ME", "MOI" "MA" etc en IL LUI TA etc... L'exercice n'est pas dur


flower93


Anonyme
Posté le 13 mars 2011
faute : obligatoirement
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Enfait ce que je voulais savoir c'est est ce que dans une lettre on peut raconter ici une histoire ,est ce quesa répond bien à ce que l'on me demande . ?

J'ai bien aimé ce que vous m'avez proposer : ""l'histoire ce passe de nos jours et on s'indignes de ce qui est arrivé aux esclaves jadis."
"
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Attend dans 10 min je te montre Stp
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Attend dans 10 min je te montre Stp
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Voici ce que j'ai modifier : Jérome Delacroix
21 Avenue de la Fontaine
Alotau 211 Nouvelle Guinée, Jean-Pierre Clément
55 rue de la Bruyère 75016 Paris


Le 18 Août 2010 à Daru

Monsieur ,

Je suis un fidèle lecteur de votre revue intitulé " l'espoir de tous" et j'espère que mon courrier retiendra votre attention.
Je viens de prendre connaissance des extraits des livres de Voltaire « Le nègre de Surinam » , « L'esclavage des nègres» de Montesquieu et « La traite des Négres »du Chevalier de Jaucourt , que vous avez fait paraître dans votre dernière revue . .J'ai décidé de vous envoyer cette lettre pour vous faire d'un témoignage très poignant qui a été fait par l'arrière grand-mère de ma propre mère au sujet de son fils Paul Mathieu qui vivait dans les îles. C'est un façon de laisser une trace de l'histoire du peuple noir.
Il s'appelait Paul Joseph et quand il a relaté les faits, il était alors âgé de 89 ans , il a fait partie des huit millions d'esclaves déportés vers les côtes d'Afrique où il a été employé en qualité comme esclaves. C'est sa mère qui a était obligée de le vendre pour une bouchée de pain, soit dix écus de mémoire. Pauvre femme, elle pensait que son sort serait meilleur et qu'il pourrait alors faire la fortune des siens. Elle était bien naïve ...
Ceci remonte à bon moment maintenant .
Il a été mis sur un bateau où des centaines de noirs gisaient ça et sur le pont attendant leur même sort, entassés, enchaînés aux pieds par des fers. Il devait se rendre à l'évidence : le même l'attendait. Des négociants allaient les transporter dans des colonies. Quand il y avait repensé, ils se ressemblé tous, ils étaient tous noirs des pieds jusqu'à la tête, avec tous un nez écrasé. Devant ce spectacle, il fus envahi par un sentiment très étrange, il bouillonnait de l'intérieur prêt à lever le poing par cette violence interne qui habitait tout son corps.
Il se retient bien sûr par peur des représailles. Des idées défilaient dans sa tête et se demandait alors de quel droit un homme doté de sa liberté se retrouve piégé et fait l'objet de commerce. Ce commerce etait évidemment illicite et il le savait , il violait la morale humaine. Aucun homme n'a le droit d'être le maître d'un autre homme, en un mot la liberté ne s'achète pas. 
Lui qui était si chrétien, il avait toujours cette même question qui le taraudait l'esprit. «Dieu était-il si bon pour nous infliger une telle épreuve ? Est ce qu'il avait mis une bonne âme dans un corps tout noir ? »Il n'avait pas d'éléments de réponse à son interrogation.
Son histoire n'était qu'à son début et le pire restait à venir. Quand il est arrivé à la plantation, on lui a indiqué sa case, endroit insalubre avec comme simple lit de la paille. Ensuite, on lui donna un caleçon de toile en guise de vêtement et on lui précisa d'en prendre soin car compte-tenu du nombre d'esclaves à habiller, il n'aurais que deux changes par an. Le lendemain le travail commençait. Avec le recul, il s'aperçois maintenant que son maître et lui ne faisions qu'un seul homme. En effet, il était l'ombre de ses volontés, de ses désirs, de ses mouvements et il agissait tel un pantin articulé. D'ailleurs il avait souvent le vertige, la rage et surtout cette envie permanente de vouloir s'enfuir. Cependant avoir l'envie et passer à l'acte est une tout autre histoire.
Il savais quel sort était réservé à l'esclave qui faisait une tentative d'évasion. Un de ses compagnons de fortune s'est retrouvé avec une jambe coupée.
C'est à ce prix qu'en Europe les hommes mange du sucre, au prix d'un homme sacrifié qui n'a pas demandé d'être esclave. Il a été accablé de douleurs de coups de fouets, de privations, et comme simple nourriture de l'eau, une ration quotidienne de haricots et de bananes. D'ailleurs , les chiens, les singes et les perroquets étaient certainement mille fois plus heureux que tous ces esclaves réunis.
Monsieur, sachez que l'esclavage viole la religion, la morale, et les droits de la nature humaine . 
Est-ce que les hommes et leurs libertés devaient faire l'objet de ce commerce odieux ? Le maître de Paul Mathieu était il en droit de s'enrichir de la sorte, de façon aussi cruelle et inhumaine ? Non, je ne le pense pas.  L'esclavage n'a été utile qu'à ceux qui en ont tiré profit, il a détruit des vies humaines, il est la honte de ceux qui en ont joui .L'esclavage n'a pas été utile, ce crime aurait dû être dénoncé plus tôt .Je suis en colère aujourd'hui , de cette injustice faite à l'homme . La suppression de l'esclavage a ruiné le commerce et celui-ci a beaucoup souffert et je m'en réjouis car cette violence commise sur tout un peuple, une espèce humaine a affecté l'humanité toute entière.
On ne naît pas esclave, malheureusement on le devient, un être humain ne se dévoue jamais à la servitude mais il le fait par obligation.
Je tiens tous particulièrement à remercier Monsieur Victor Schoelcher , qui par le décret du 27 avril 1848, a rendu la liberté à 260 000 esclaves noirs ou métis .
Je suis énormément heureux qu'aujourd'hui l'esclavage a diminuer mais malheureusement il existe toujours .

Je vous remercie de l'attention que vous avez apporter à ma lettre et J'espère que vos lecteurs porteront un vif intérêt a ce témoignage et que certains changeront leur point de vue sur l'esclavage des nègres .


Votre fidèle lecteur,
Paul Joseph .
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
oui, c'est cela tu as compris la manip... Tu as donc inclus les phrases des corpus car tu avais un doute de mémoire.

Fautes d'orthographe :

il se retint (du verbe retenir Passé simple) et non pas retient qui est du présent

Il savait et non pas il savais

Ton devoir tient la route j'espère qu'il y aura une bonne note au bout.

Flower93

Paul Joseph ou Paul Mathieu (tu as du faire un erreur d'étourderie dans le corps de ton devoir)

Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Voici ce que j'ai tout modifier : je te rappele la consigne pour que tu te souvient tu devoirs , est ce que tu peux regarder si tu peux changer ou rajoouter des choses :


Voici la consigne :


( ce qui va nous permettre de faire l'ecriture d'invention , l'aide : )
Rechercher dans les 3 documents ( en surlignant) les marques de : - la privation de la libérté , la maltraitance , la pauvreté .
-Cause : ° le commerce
° couleur de peau
° Intolérance soutenue par le Clergé


2/ Rédiger une lettre , ou un article , ou un discours qui fasse part de votre indignation en utilisant les marques que vous avez trouvez ( 60 lignes)







Jérôme De la-croix
21 Avenue de la Fontaine
75000 Paris Jean-Pierre Clément
55 rue de la Bruyère 75016 Paris


Le 18 Janvier 2011 à Paris

Monsieur ,

Je suis un fidèle lecteur de votre revue intitulé " l'espoir de tous" et j'espère que mon courrier retiendra votre attention.
Je viens de prendre connaissance des extraits des livres de: Voltaire « Le nègre de Surinam » , « L'esclavage des nègres» de Montesquieu et « La traite des Négres »du Chevalier de Jaucourt , que vous avez fait paraître dans votre dernière revue .J'ai décidé de vous envoyer cette lettre pour vous faire part d'un témoignage très poignant qui a été fait par l'arrière grand-mère de ma propre mère au sujet de son fils Paul Mathieu qui vivait dans les îles. C'est une façon de laisser une trace de l'histoire du peuple noir, ainsi que d'un odieux commerce fait à l'homme .
Il s'appelait Paul Mathieu et quand il a relaté les faits, il était alors âgé de 89 ans , il a fait partie des huit millions d'esclaves déportés vers les côtes d'Afrique où il a été employé en qualité comme esclaves. C'est sa mère qui a était obligée de le vendre pour une bouchée de pain, soit dix écus de mémoire. Pauvre femme, elle pensait que son sort serait meilleur et qu'il pourrait alors faire la fortune des siens. Elle était bien naïve ...
Cette histoire remonte remonte en 1766 .
Il a été mis sur un bateau où des centaines de noirs gisaient ça et sur le pont attendant leur même sort, entassés, enchaînés aux pieds par des fers. Il devait se rendre à l'évidence : le même l'attendait. Des négociants allaient les transporter dans des colonies. Ils se ressemblé tous, ils étaient tous noirs des pieds jusqu'à la tête, avec un nez écrasé. Devant ce spectacle, il fut envahi par un sentiment très étrange, il bouillonnait de l'intérieur prêt à lever le poing par cette violence interne qui habitait tout son corps.
il se retint bien sûr par peur des représailles. Des idées défilaient dans sa tête et se demandait alors de quel droit un homme doté de sa liberté se retrouve piégé et fait l'objet de commerce. Ce commerce était évidemment illicite et il le savait ,ce commerce violait la morale humaine. Aucun homme n'a le droit d'être le maître d'un autre homme, en un mot la liberté ne s'achète pas. 
Lui qui était si chrétien, il avait toujours cette même question qui le taraudait l'esprit. «Dieu était-il si bon pour nous infliger une telle épreuve ? Est ce qu'il avait mis une bonne âme dans un corps tout noir ? »Il n'avait pas d'éléments de réponse à son interrogation.
Son histoire n'était qu'à son début et le pire restait à venir. Quand il est arrivé à la plantation, on lui a indiqué sa case, endroit insalubre avec comme simple lit de la paille. Ensuite, on lui donna un caleçon de toile en guise de vêtement et on lui précisa d'en prendre soin car compte-tenu du nombre d'esclaves à habiller, il n'aurait que deux changes par an. Le lendemain le travail commençait. Avec le recul, il s'est aperçu que son maître et lui ne faisaient qu'un seul homme. En effet, il était l'ombre des volontés de son maitre , de ses désirs, de ses mouvements et il agissait tel un pantin articulé. D'ailleurs il avait souvent le vertige, la rage et surtout cette envie permanente de vouloir s'enfuir. Cependant avoir l'envie et passer à l'acte est une tout autre histoire.
Il savait quel sort était réservé à l'esclave qui faisait une tentative d'évasion. Un de ses compagnons de fortune s'est retrouvé avec une jambe coupée.
C'est à ce prix qu'en Europe , les hommes mangent du sucre,au prix d'un homme sacrifié qui n'a pas demandé d'être esclave. Il a été accablé de douleurs de coups de fouets, de privations, et comme simple nourriture de l'eau, une ration quotidienne de haricots et de bananes. D'ailleurs , les chiens, les singes et les perroquets étaient certainement mille fois plus heureux que tous ces esclaves réunis.
Monsieur, sachez que l'esclavage a violé la religion, la morale, et les droits de la nature humaine . 
Est-ce que les hommes et leurs libertés devaient faire l'objet de ce commerce odieux ? Le maître de Paul Mathieu était il en droit de s'enrichir de la sorte, de façon aussi cruelle et inhumaine ? Non, je ne le pense pas. L'esclavage n'a été utile qu'à ceux qui en ont tiré profit, il a détruit des vies humaines, il est la honte de ceux qui en ont joui .L'esclavage n'a pas été utile, ce crime aurait dû être dénoncé plus tôt .Je suis en colère aujourd'hui , de cette injustice faite à l'homme . La suppression de l'esclavage a ruiné le commerce et celui-ci a beaucoup souffert et je m'en réjouis car cette violence commise sur tout un peuple, une espèce humaine a affecté l'humanité toute entière.
On ne naît pas esclave, malheureusement on le devient, un être humain ne se dévoue jamais à la servitude mais il le fait par obligation.
Je tiens à remercier Monsieur Victor Schoelcher , qui par le décret du 27 avril 1848, a rendu la liberté à 260 000 esclaves noirs ou métis .
Je suis énormément heureux qu'aujourd'hui l'esclavage a diminuer mais malheureusement il existe toujours .

Je vous remercie de l'attention que vous avez apporter à ma lettre et J'espère que vos lecteurs porteront un vif intérêt à ce témoignage et que certains changeront leur point de vue sur l'esclavage des nègres .


Votre fidèle lecteur,
Jérôme de la-Croix .



Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Une seule chose :

Cause : commerce. Peut être insister un tout petit peu plus sur la notion de commerce triangulaire.Quand tu mets "des négociants allaient les transporter dans des colonies. Rajouter, le pauvre, il ignorait à cette époque la notion de commerce triangulaire.(je ne sais pas c'est toi qui vois)

Je viens de trouver une faute : ils se ressemblaient tous (et non pas ils se ressemblé tous)

Au niveau de l'adresse en haut à gauche j'ai pas saisi c'est 21 avenue de la Fontaine ou 5 rue de la Bruyère ??

Flower93

Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Une seule chose :

Cause : commerce. Peut être insister un tout petit peu plus sur la notion de commerce triangulaire.Quand tu mets "des négociants allaient les transporter dans des colonies. Rajouter, le pauvre, il ignorait à cette époque la notion de commerce triangulaire.(je ne sais pas c'est toi qui vois)

Je viens de trouver une faute : ils se ressemblaient tous (et non pas ils se ressemblé tous)

Au niveau de l'adresse en haut à gauche j'ai pas saisi c'est 21 avenue de la Fontaine ou 5 rue de la Bruyère ??

Flower93

Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Tu pense que j'ai bien répondu à la question ui m'est pposé ?
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
oui, tu as répondu (selon moi) au sujet que tu m'as présenté mais essaie de ne pas douter sans cesse car sinon tu n'as pas fini de "galèrer" pendant toutes tes études.
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Mais enfait sa me parait biz de mettre un témoignage dans une lettre dans un sujet d'invention ( est ce que l'on a le droit ) ?
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Tu a raison :) , Aufait j'ai vu que tu en Bac +3 quelle sorte d'etude fait tu ?
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
J'ai fait des études de droit et après avoir travaillé comme juriste dans de grande sté j'ai cessé pour devenir prof. et me suis arrêtée pour élever mes enfants qui sont maintenant en école d'ingénieur et comme ils volent de leurs propres ailes (enfin presque) je reprends mon travail en septembre prochain en qualité de prof.
Pour revenir à "nos moutons" si tu as vraiment un doute car je vois bien ton inquiétude, pourquoi ne te rapproches tu pas d'une ou d'un camarade de classe pour savoir comment son devoir à évolué ?
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Il faut le rendre demain , et de p+ on ne peut pas faire un devoir similaire , à sa non . Est ce que tu pourrait aller sur le site suivant : http://www.cyberpapy.com/viewtopic.php?f=7&t=719910&st=0&sk=t&sd=a&start=20
car j'ai poster mon sujet et il n'est pas convaincu comme toi :'(
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
essaye de me donner une réponse car je vais bientot aller dodo
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
J'y perds mon latin car cyber papy remet tout en cause pas seulement tes propos mêmes ceux des auteurs : quand tu mets dans ta copie qu'on lui fournit un caleçon de toile, lui réponds un calecon et une veste ...

Ecoute de toute façon tu as donné tout ce que tu pouvais, tu m'as l'air d'être sérieuse donc tu n'as rien à te reprocher "c'est que j'ai toujours dit à mes enfants" .

BON GROS DODO Myriiaamm moi aussi je pars du site.
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Tu a raison c'est ce que je me disais Cyberpapy critique tout oui .

Merci Flower93 , très bonne fin de soirée.
Anonyme
Posté le 13 mars 2011
Eu juste pour terminer est ce que je peux changer la date et mettre a al place 2003 ?

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