Les Fleurs du mal

Publié le 21 sept. 2016 il y a 7A par Anonyme - Fin › 24 sept. 2016 dans 7A
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Sujet du devoir

Bonjour ! Je dois faire le résumé d'un poème qui m'a plut dans Les Fleurs du mal. Mais le problème, c'est que je n'ai de préférence pour aucun des poèmes que j'ai lu. Je voulais donc avoir votre avis. Quelle poème avez-vous aimé ? Ne me résumé pas le poème ! Je voudrais juste avoir quelques idées ... 

Où j'en suis dans mon devoir

Merci 




2 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 21 sept. 2016

Bonjour,

Le plus connu et celui sur lequel il y a, à mon sens, le plus de choses à dire c'est les 4 Spleen, puisque c'est un terme inventé par Baudelaire pour décrire un profond mal-être, et qu'à mon sens ça ne peut être, du coup, que les poèmes les plus parlants et les plus personnels de l'auteur.

Anonyme
Posté le 22 sept. 2016

Avant tout le mot poème est masculin donc quel poème serait mieux.

J'aime bien le poème intitulé " l'albatros" . En effet, Baudelaire y donne sa propre vision du poète , une vision certes un peu noire mais très intéressante.

Ce poème lui a été inspiré  lors d'un voyage sur un navire qui devait le mener aux Indes, mais dont le terme fut  l'île Maurice. L'albatros traduit chez Baudelaire la conscience d'être différent des autres. Il a recours à une image très suggestive pour dépeindre sa propre condition dans une société qui l'ignore complètement. L'image de l'albatros capturé évoque l'idée d'un être totalement étranger au monde qui l'entoure. Baudelaire faisait partie de la génération des poètes maudits, c'est-à-dire non compris par les gens de son époque. Les trois premières strophes concernent l'albatros tandis que la dernière est dédiée au poète.

première lecture racontant une petite scène de vie en mer, seconde lecture symbolique qui nous amène à percevoir l’amour de Baudelaire pour son art, car c’est la poésie qui lui permet de se libérer de la pesanteur terrestre (comme l’oiseau), de l’ennui de la vie quotidienne, de la corruption du monde social. Cependant, la poésie ne suffit pas à fuir le spleen, comme le dernier vers du poème nous le fait entendre (pessimisme final).


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