Réecrire un chapitre du Discours de la servitude volontaire sur le sujet de notre choix

Publié le 20 oct. 2016 il y a 7A par Anonyme - Fin › 7 nov. 2016 dans 7A
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Sujet du devoir

Moi sujet exact est :

Sujet d'invention: "Mais,ô grand Dieu, qu'est donc cela?"

A la manière de la Boétie et en vous inspirant du "Discours de la Servitude Volontaire" pour l'écriture, vous vous indignerez face la situation, le fait, l'événement de votre choix. Ce discours sera destiné à être publié dans un journal.

Suite à ce sujet je rencontre deux difficulté que j'ai formulé en question, la première est " comment faire pour écrire comme un homme du XVI siècle ? " et la deuxième est " Quelle situation, fait ou événement choisir ? "

Pour la deuxième question j'ai déjà quelques pistes, comme par exemple :

- Le terrorisme ( mais j'ai peur que tous les élèves de ma classe choisissent le terrorisme )

- L'immigration ( comme pour le terrorisme )

- L'extrême droite  ( je ne sais pas s'il on peut parler de politique dans un devoir de Français )

 

Merci d'avance pour vos réponses je viens de m'inscrire du coup je n'ai pas encore aider de personne mais je compte bien commencer rapidement




1 commentaire pour ce devoir


niogret2m
niogret2m
Posté le 21 oct. 2016

Ecrire à la manière de .... C'est partir d'un passage de La Boétie et reprendre la structure des phrases, les caractéristiques de son style.

Pauvres gens misérables, peuples insensés, nations opiniâtres à votre mal et aveugles à votre bien ! Vous vous laissez enlever sous vos yeux le plus beau et le plus clair de votre revenu, vous laissez piller vos champs, voler et dépouiller vos maisons des vieux meubles de vos ancêtres ! Vous vivez de telle sorte que rien n’est plus à vous. Il semble que vous regarderiez désormais comme un grand bonheur qu’on vous laissât seulement la moitié de vos biens, de vos familles, de vos vies. Et tous ces dégâts, ces malheurs, cette ruine, ne vous viennent pas des ennemis, mais certes bien de l’ennemi, de celui-là même que vous avez fait ce qu’il est, de celui pour qui vous allez si courageusement à la guerre, et pour la grandeur duquel vous ne refusez pas de vous offrir vous-mêmes à la mort. Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes.

 

Pauvre peuple des pays riches, auditeurs crédules, spectateurs indignés et pourtant aveugles et sourds à la détresse de vos frères ! Vous ....

 

 


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