Rédiger une sous partie de commentaire

Publié le 12 févr. 2014 il y a 10A par Anonyme - Fin › 15 févr. 2014 dans 10A
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Sujet du devoir

En français j'ai cette extrait de la nouvelle Une partie de campagne de Maupassant.

" La jeune fille pleurait toujours, pénétrée de sensations très douces, la peau chaude et piquée partout de chatouillements inconnus. La tête de Henri était sur son épaule ; et, brusquement, il la baisa sur les lèvres. Elle eut une révolte furieuse et, pour l'éviter, se rejeta sur le dos. Mais il s'abattit sur elle, la couvrant de tout son corps. Il poursuivit longtemps cette bouche qui le fuyait, puis, la joignant, y attacha la sienne. Alors, affolée par un désir formidable, elle lui rendit son baiser en l'étreignant sur sa poitrine, et toute sa résistance tomba comme écrasée par un poids trop lourd.
    Tout était calme aux environs. L'oiseau se mit à chanter. Il jeta d'abord trois notes pénétrantes qui semblaient un appel d'amour, puis, après un silence d'un moment, il commença d'une voix affaiblie des modulations très lentes.
    Une brise molle glissa, soulevant un murmure de feuilles, et dans la profondeur des branches passaient deux soupirs ardents qui se mêlaient au chant du rossignol et au souffle léger du bois.
    Une ivresse envahissait l'oiseau, et sa voix s'accélérant peu à peu comme un incendie qui s'allume ou une passion qui grandit, semblait accompagner sous l'arbre un crépitement de baisers. Puis le délire de son gosier se déchaînait éperdument. Il avait des pâmoisons prolongées sur un trait, de grands spasmes mélodieux.
    Quelquefois il se reposait un peu, filant seulement deux ou trois sons légers qu'il terminait soudain par une note suraiguë. Ou bien il partait d'une course affolée, avec des jaillissements de gammes, des frémissements, des saccades, comme un chant d'amour furieux, suivi par des cris de triomphe.
    Mais il se tut, écoutant sous lui un gémissement tellement profond qu'on l'eût pris pour l'adieu d'une âme. Le bruit s'en prolongea quelque temps et s'acheva dans un sanglot.
    Ils étaient bien pâles, tous les deux, en quittant leur lit de verdure. Le ciel bleu leur paraissait obscurci ; l'ardent soleil était éteint pour leurs yeux ; ils s'apercevaient de la solitude et du silence. Ils marchaient rapidement l'un près de l'autre, sans se parler, sans se toucher, car ils semblaient devenus ennemis irréconciliables, comme si un dégoût se fût élevé entre leurs corps, une haine entre leurs esprits."

Je doit rédigé une sous partie de commentaire. Avec la sous partie suivante:

I- Une évocation poétique de l'amour : la métâphore du chat du rossignol.

  1. Une nature vivante et complice
  • Champ lexical
  • Personnification et periphrase

J'ai besoin d'aide poru la rédaction.

Où j'en suis dans mon devoir

- J'ai ce champs lexical à inséré dans ma rédaction :

  • Brise, Feuille, branche, bois, arbre (Champ lexical de la nature)

Je n'ai pas d'interprétation pour le champ lexical.

 -Et j'ai c'est Personification et périphrase :

  • "Murmures des feuilles" (personnification)
  • "Souffle léger du bois" (personnification)
  • "Lit de verdure" (périphrase)

Comme interprétation j'ai "Une nature vivante" pour les personnifications et "Douce, Acceuillante" pour la periphrase.

 

J'ai besoin d'aide poru la rédaction.




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