Aidez moi c'est urgent, c'est un exercice de français

Publié le 2 nov. 2014 il y a 9A par Anonyme - Fin › 5 nov. 2014 dans 9A
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Sujet du devoir

a) Indiquez quels éléments permettent de reconnaître cette focalisation (verbes de pensée, vocabulaire, thème).
b) Quels effets produit ce choix de narration (personnage du père, registre, vision de la guerre) ?
c) Réécrivez le texte en conservant la 3ème personne mais en adoptant le point de vue du père.

Tout en haut le sentier tournait un peu, et redescendait de l’autre côté de la colline. De tout en haut on verrait la maison. On la voyait très bien. Ce qu’on voyait le mieux, c’était la fenêtre de la cuisine, avec le pot de géranium tout vert et orange dans le soleil, et sa femme
était derrière mais on ne la voyait pas. Mais devait être fatigué, parce qu’avant d’arriver en haut, il s’assit. D’ordinaire on ne s’asseyait jamais sur ce tronc d’arbre. Il s’assit et attira son petit garçon entre ses genoux. Il dit : « Tu n’es pas fatigué ? »
- « Non », dit le petit garçon. Papa souriait mais c’était d’un seul côté de la bouche. Il lui caressait les cheveux, la joue. Il respira très fort et dit : « Il faut être très, très sage avec ta maman », et le petit garçon fit oui de la tête, mais il ne trouva rien à dire. « Un bon petit garçon » dit encore papa, et il se leva. Il prit son petit garçon sous les aisselles et il le souleva jusqu’à son visage et l’embrassa deux fois sur les deux joues, et il le remit par terre et dit d’une voix ferme : « Allons. » Ils se remirent en route. Ils arrivèrent en haut et on vit le mur du jardin, les deux mélèzes, la maison, la fenêtre de la cuisine. Le pot de géranium… il n’y était plus. Le petit garçon vit tout de suite que le pot de géranium n’était plus à la fenêtre de la cuisine. Papa aussi, sûrement. Parce qu’il s’arrêta en serrant la petite main dans la sienne, plus fort que jamais, et il dit : « Ça y est, je m’en doutais. » Il restait immobile, à regarder, regarder, regarder, en répétant : « Bons dieux, comment ai-je pu… puisque je le savais, puisque je le savais… » Le petit garçon aurait bien voulu demander quoi, mais il ne pouvait pas parce que papa lui serrait la main si fort. Et il commença d’avoir mal au cœur, comme le jour où il avait mangé trop de purée aux marrons.

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai fais le 5 a et B mais je n'arrive pas au c, si quelqu'un peut m'aider ça serais top, merci d'avance !;)




8 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 2 nov. 2014

" et ma femme
était derrière mais on ne la voyait pas."

fait ca avec tout le texte 

Anonyme
Posté le 2 nov. 2014

Merci :)

Anonyme
Posté le 2 nov. 2014

c) Pour cette question, remplace tout les dialogues où le fils répond par ce que le père voudrait qu'il réponde, du moins je pense que c'est sa.

Anonyme
Posté le 2 nov. 2014

la narration permet de rappeler des événemens qui ont eu lieu dans le passé, cela produit un effet de flashback (de retour en arrière) c'est peut être aussi de la nostalgie

Anonyme
Posté le 2 nov. 2014

Tu te mets dans la peau du pére et décris comme si tu voyais qu'elqun à il ou elle 

Anonyme
Posté le 2 nov. 2014

exemple: JE devient IL ou ELLE 

Anonyme
Posté le 4 nov. 2014

Bonjour

Pour la réécriture avec le point de vue du père :

Tout en haut le sentier tournait un peu, et redescendait de l’autre côté de la colline. De tout en haut il verrait la maison. Il la verrait très bien. Ce qu’ ilverrait le mieux, ce serait la fenêtre de la cuisine, avec le pot de géranium tout vert et orange dans le soleil, et sa femme
serait derrière mais il ne la verrait pas. Mais il devait être fatigué, parce qu’avant d’arriver en haut, il s’assit. D’ordinaire il ne s’asseyait jamais sur ce tronc d’arbre. Il s’assit et attira son petit garçon entre ses genoux. Il dit : « Tu n’es pas fatigué ? »
- « Non », dit le petit garçon. Son papa souriait mais c’était d’un seul côté de la bouche. Il lui caressait les cheveux, la joue. Il respira très fort et dit : « Il faut être très, très sage avec ta maman », et son petit garçon fit oui de la tête, mais il ne trouva rien à dire. « Un bon petit garçon » dit encore son père, et il se leva. Il prit son petit garçon sous les aisselles et il le souleva jusqu’à son visage et l’embrassa deux fois sur les deux joues, et il le remit par terre et dit d’une voix ferme : « Allons. » Ils se remirent en route. Ils arrivèrent en haut et il vit le mur du jardin, les deux mélèzes, la maison, la fenêtre de la cuisine. Le pot de géranium… il n’y était plus. Son petit garçon vit tout de suite que le pot de géranium n’était plus à la fenêtre de la cuisine. Sonpèreaussi. Parce qu’il s’arrêta en serrant la petite main dans la sienne, plus fort que jamais, et il dit : « Ça y est, je m’en doutais. » Il restait immobile, à regarder, regarder, regarder, en répétant : « Bons dieux, comment ai-je pu… puisque je le savais, puisque je le savais… » Son petit garçon aurait bien voulu demander quoi, mais il ne pouvait pas parce que son papa lui serrait la main si fort. Et il commença d’avoir mal au cœur, comme le jour où il avait mangé trop de purée aux marrons.

Anonyme
Posté le 5 nov. 2014

Stp ajoutes moi comme meilleure réponse ce sera super sympa


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