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Sujet du devoir
bonjour,aidez moi svp
c un dm
1. recrivez ce texte en un recit a la 1er personne ayant Mme Forestier pour narratrice.
Elle s'approcha.
-Bonjour Jeanne.
l'autre ne la reconnaissait point, s'etonnant d'etre appelée ainsi familierement par cette bourgeaoise.Elle balbutia:
-Mais ... madame!... Je ne sais... Vous devez vous tromper.
-Non. Je suis Mathilde Loisel.
Son amie poussa un cri:
-Oh!... ma pauvre Mathilde, comme tu es changée!...
-Oui, j'ai eu des jours bien durs, depuis que je ne t'ai vue; et bien des miséres... et cela a cause de toi!...
-De moi... Coment sa ?
-Tu te rapelle bien cette riviére de diaments que tu m'as pretée pour aller a la fete du ministére.
-Oui. Eh bien ?
-Comment! Puisque tu me l'as rapportée.
-Je t'en ai rapporté une autre toute pareile. Et voila dix ans que nous la payons. Tu comprends que ça n'etaot pas aisé pour nous, qui n'avions rien... Enfin,c'est fini et je suis rudement contente.
Mme Forestier s'etait arretée.
-Tu dis que tu as acheté une riviére de diaments pour remplacer la mienne?
-Oui. Tu ne t'en étais pas apercue, hein ? Elles étaient bien pareilles.
Et elle souriait d'une joie orgueilleuse et naive.
Mme Forestier, fort émue, lui prit les deux mains.
-Oh! ma pauvre Mathilde! Mais la mienne était fausse. Elle voulait au plus cinq cent francs!...
Où j'en suis dans mon devoir
j'arrive pas cmt il faut faire ?1 commentaire pour ce devoir
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donc c
j'approchais
-Bonjour Jeanne.
l'autre ne la reconnaissait point, s'etonnant d'etre appelée ainsi familierement par cette bourgeaoise.Elle balbutia:
-Mais ... madame!... Je ne sais... Vous devez vous tromper.
-Non. Je suis Mathilde Loisel.
Son amie poussa un cri:
-Oh!... ma pauvre Mathilde, comme tu es changée!...
-Oui, j'ai eu des jours bien durs, depuis que je ne t'ai vue; et bien des miséres... et cela a cause de toi!...
-De moi... Coment sa ?
-je me rapelle bien cette riviére de diaments que tu m'as pretée pour aller a la fete du ministére.
-Oui. Eh bien ?
-Comment! Puisque tu me l'as rapportée.
-Je t'en ai rapporté une autre toute pareile. Et voila dix ans que nous la payons. Tu comprends que ça n'etaot pas aisé pour nous, qui n'avions rien... Enfin,c'est fini et je suis rudement contente.
Mme Forestier est arretée.
-Tu dis que tu as acheté une riviére de diaments pour remplacer la mienne?
-Oui. Tu ne t'en étais pas apercue, hein ? Elles étaient bien pareilles.
Et elle souriait d'une joie orgueilleuse et naive.
Mme Forestier, fort émue, lui prit les deux mains.
-Oh! ma pauvre Mathilde! Mais la mienne était fausse. Elle voulait au plus cinq cent francs!...