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Sujet du devoir
Je dois faire un commentaire de texte sur cette extres, et je suis totalement perdu, je ne sais pas comment faire. Pouvez-vous m'aider ?J'avais passé deux nuits à me promener sur le tillac, au glapissement
des ondes dans les ténèbres, au bourdonnement du vent dans les cordages,
et sous les sauts de la mer qui couvrait et découvrait le pont : c'était
tout autour de nous une émeute de vagues. Fatigué des chocs et des
heurts, à l'entrée de la troisième nuit, je m'allai coucher. Le temps
était horrible ; mon hamac craquait et blutait aux coups du flot qui,
crevant sur le navire, en disloquait la carcasse. Bientôt j'entends
courir d'un bout du pont à l'autre et tomber des paquets de cordages :
j'éprouve le mouvement que l'on ressent lorsqu'un vaisseau vire de bord.
Le couvercle de l'échelle de l'entrepont s'ouvre ; une voix effrayée
appelle le capitaine : cette voix, au milieu de la nuit et de la
tempête, avait quelque chose de formidable. Je prête l'oreille ; il me
semble ouïr des marins discutant sur le gisement d'une terre. Je me
jette en bas de mon branle ; une vague enfonce le château de poupe,
inonde la chambre du capitaine, renverse et roule pêle-mêle tables,
lits, coffres, meubles et armes ; je gagne le tillac à demi-noyé.
En mettant la tête hors de l'entrepont, je fus frappé d'un spectacle
sublime. Le bâtiment avait essayé de virer de bord ; mais n'ayant pu y
parvenir, il s'était affalé sous le vent. A la lueur de la lune écornée,
qui émergeait des nuages pour s'y replonger aussitôt, on découvrait sur
les deux bords du navire, à travers une brume jaune, des côtes hérissées
de rochers. La mer boursouflait ses flots comme des monts dans le canal
où nous nous trouvions engouffrés ; tantôt ils s'épanouissaient en
écumes et en étincelles ; tantôt ils n'offraient qu'une surface huileuse
et vitreuse, marbrée de taches noires, cuivrées, verdâtres, selon la
couleur des bas-fonds sur lesquels ils mugissaient. Pendant deux ou
trois minutes, les vagissements de l'abîme et ceux du vent étaient
confondus ; l'instant d'après, on distinguait le détaler des courants,
le sifflement des récifs, la voix de la lame lointaine. De la concavité
du bâtiment sortaient des bruits qui faisaient battre le c½ur aux plus
intrépides matelots. La proue du navire tranchait la masse épaisse des
vagues avec un froissement affreux, et au gouvernail des torrents d'eau
s'écoulaient en tourbillonnant, comme à l'échappée d'une écluse. Au
milieu de ce fracas, rien n'était aussi alarmant qu'un certain murmure
sourd, pareil à celui d'un vase qui se remplit.
Eclairés d'un falot et contenus sous des plombs
Où j'en suis dans mon devoir
Pour le moment je n'ai effectué aucun travail.J'y ai réfléchi , mais je suis vraiment totalement perdu.
Merci d'avance:).
4 commentaires pour ce devoir
Non le prof ne nous a rien dit de plus, il faut qu'on développe tout ce qui est dit. Enfin c'est super compliquer je capte pas trop.
Non le prof ne nous a rien dit de plus, il faut qu'on développe tout ce qui est dit. Enfin c'est super compliquer je capte pas trop.
Mais on a pas de problematique, et on doit partir loin dans les explication de tout ce qu'il dit dans cette extres , on doit tout expliquer --'
Ils ont besoin d'aide !
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Si le prof de vous a rien expliqué, c'est normal que tu sèche ! Ton soucis c'est pour trouver le plan ? Ou pour développer ?