Dissertation sur la littérature et le cinéma.

Publié le 24 avr. 2011 il y a 13A par Anonyme - Fin › 28 avr. 2011 dans 13A
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Sujet du devoir

Bonsoir à tous ! Voici le sujet de ma dissertation :

Georges Duhamel a écrit : " le cinéma est un passe-temps d’illettrés (...) un spectacle qui ne demande aucun effort, ne soulève aucune question. "
Que pensez-vous d'un tel avis ?

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai déjà rédigé l'introduction et la conclusion et j'aimerais avoir quelques avis pour savoir si ce que j'ai fait est bon. J'ai eu un peu plus de mal pour la conclusion parce que j'aurais voulu faire une petite ouverture sur le fait que l'art est subjectif mais je sais pas trop comment m'y prendre.

Voici l'introduction : Le cinéma, souvent qualifié comme étant le septième art, fait son apparition vers la fin du 19ème siècle. Très vite, il suscite l’intérêt général et attise la curiosité jusqu'à devenir un véritable phénomène de société.
Néanmoins, de nos jours, sa popularité lui porte préjudice : le cinéma est-il un art à part entière ou bien un simple divertissement ?
Même si le cinéma est avant tout un lieu de divertissement, certains l'envisagent comme étant un outil de réflexion, voir de pédagogie. D'autres préfèrent s’emparer de ce phénomène et de s'en servir à des fins purement lucratives.

Et voilà la conclusion : Comme nous l'avons vu, le cinéma a de multiples fonctions. Quand on va voir un film, c'est principalement pour se distraire. Mais une fois le film terminé, on ne sort pas de la salle totalement « vides ». Certaines idées abordées dans le film en question sont restées ancrées dans notre esprit et nous pousse à la réflexion.
Personnellement, je pense que Georges Duhamel a en partie raison : le cinéma ne demande pas forcément un grand effort intellectuel. Toutefois, certains films peuvent nous amener - indirectement ou non - à réfléchir. Tout dépend donc du genre, de la qualité de la réalisation mais aussi du spectateur. Certains peuvent penser que tel film est un navet, d'autres que c'est un chef-d’œuvre. La notion d'art varie selon les personnes, elle est subjective. Il est donc difficile d'en donner une véritable définition et difficile de déterminer ce qui distingue un art d'un divertissement.

Le développement n'est pas encore rédigé, j'aurais voulu savoir d'abord si mes trois idées étaient bonnes avant de pouvoir rédiger mes trois paragraphes.

Merci d'avance pour votre aide.



16 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 24 avr. 2011
Je ne prétend pas avoir la bonne réponse. Tu as peut etre un bon raisonnement. Mais mon commentaire :
- Ta réponse à la problématique est correct.
- Cependant, je pense pas que ta problématique de départ répond au mieux au sujet.

Le mot "illétré" a disparu. A moins que j'ai mal compris.

(Je me permet ce commentaire pour me cultiver de la même manière)
Anonyme
Posté le 24 avr. 2011
Autrement, j'aime bien ton introduction. La tournure de phrase est juste, même très bonne.
Conclusion : OK également !
Anonyme
Posté le 24 avr. 2011
Ok, je viens de comprendre ton plan. La problématique est donc correct.
Par contre, ne perd jamais de tête ta problématique. Car le divertissement n'est pas la source. Mais plutôt le "passe temps" qui ne demande pas d'effort.

Bon courage.
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Anonyme
Posté le 24 avr. 2011

Voici l'introduction : Le cinéma, souvent qualifié comme étant le septième art, fait son apparition vers la fin du 19ème siècle. Très vite, il suscite l’intérêt général et éveille la curiosité de chacun et devient peu à peu un véritable phénomène de société.
Néanmoins, de nos jours, sa popularité lui porte préjudice : le cinéma est-il un art à part entière ou bien un simple divertissement ?
Même si le cinéma est avant tout un lieu de divertissement, certains l'envisagent comme étant un outil de réflexion, voire pédagogique. D'autres préfèrent s’emparer de ce phénomène et de s'en servir à des fins purement lucratives.

Et voilà la conclusion : Comme nous l'avons vu, le cinéma a de multiples fonctions. Quand on va voir un film, c'est principalement pour se distraire. Mais une fois le film terminé, on ne sort pas de la salle totalement « vides ». Certaines idées abordées dans le film en question sont restées ancrées dans notre esprit et nous poussent à la réflexion.
Personnellement, je pense que Georges Duhamel a en partie raison : le cinéma ne demande pas forcément un grand effort intellectuel. Toutefois, certains films peuvent nous amener - indirectement ou non - à réfléchir. Tout dépend donc du genre, de la qualité de la réalisation mais aussi du spectateur. Certains peuvent penser que tel film est un navet, d'autres que c'est un chef-d’œuvre. La notion d'art varie selon les personnes, elle est donc subjective. Il est donc difficile d'en donner une véritable définition et difficile de déterminer ce qui distingue un art d'un divertissement.

C'est bon, j'ai corrigé quelques phrases et fautes.

Sinon tu devrais faire une thèse sur la passivité. Tu le compare avec la littérature. Le spectateur est passif et subit plus ou moins. Alors que lorsqu'un lecteur lit un livre, il imagine, rêve, pense. L'auteur l'interpelle. Le poids des mots est plus important dans la littérature qu'au cinéma ou ce sont les images qui jouent un rôle clé.



Anonyme
Posté le 24 avr. 2011
pardon tu le compares...
Anonyme
Posté le 24 avr. 2011
Merci à toi pour ta réponse. ^^ J'essayerais de pas perdre la problématique de vue, comme tu la dis.
Anonyme
Posté le 24 avr. 2011
Merci pour ta réponse et pour tes corrections. ^^
Donc en gros, il faudrait que je recommence tout mon plan ou que j'ajoute juste un paragraphe de plus ?
C'est ma première dissertation, j'suis un peu perdue. x)
Anonyme
Posté le 25 avr. 2011
Ton plan doit répondre à la problèmatique mais aussi la contredire.

Donc en lisant, ton introduction, j'ai l'impression que tu y réponds bien.

Je te mets ce que je mettrais si je devais répondre à ce sujet :

Thèse : oui passivité .... Et là tu le compares au livre plus subjectif
Tu peux citer quelques films qui sont plutôt ludiques que créatifs comme camping.

Tu peux également dire que le cinéma a souvent été utilisé comme un élément de propagande cf Hitler dans le seul but de manipuler la population.

Anithèse : non le cinéma peut émouvoir, susciter de la réflexion et tu cites les films que tu veux et qui selon toi ont éveillé ta curiosité

La conclusion me va.

Sache que généralement une dissertation aborde une problèmatique et il faut également apporter des arguments contre.
Ici, le cinéma est vu par Duhamel comme un art pour illétrés car il n'appelle pas à la réflexion. Les spectateurs sont des moutons

Anonyme
Posté le 25 avr. 2011
D'accord, j'en prend note. Merci beaucoup pour ta réponse. ^^ Je vais commencer à rédiger et je posterais peut-être le résultat final.
Anonyme
Posté le 25 avr. 2011
Merci. ^^ J'ai commencé une partie du développement, serait-il possible d'avoir quelques avis pour voir si je suis toujours sur la bonne route ?
Voici le développement :

« Le cinéma, c'est l'opéra du vingtième siècle. On a tous les arts : les écrivains, les acteurs, les décorateurs, les chefs opérateurs, les musiciens, pour faire une œuvre totale. » Jules Petit-Senn.

Il est vrai que le cinéma est avant tout un divertissement. Personne ne nous oblige à nous y rendre, nous le faisons de notre propre initiative. Nous y allons rarement seuls, préférant s'y rendre en compagnie de quelques amis. C'est donc tout sauf une corvée.
Quand nous allons voir un film, quel que soit son genre, tout est mis en œuvre pour que nous, spectateurs, ne nous ennuyons jamais. Les réalisateurs parviennent à créer une atmosphère bien particulière et qui colle parfaitement à l'image du film à l'aide d'effets spéciaux, de musiques et d'autres artifices dont ils ont le secret. Et à peine quelques minutes plus tard, nous voilà les yeux rivés devant les actions qui se déroulent sous nos yeux. Au fur et à mesure, notre cerveau se met en veille et notre intelligence s'efface. Nous devenons en quelques sortes des moutons, subissant l'action sans se poser de questions. C'est la détente de l'esprit : nous devenons des êtres passifs, dénués de la moindre envie réflexion. Là réside toute la différence entre l'art de l'image et celui de l'écrit. Lorsque nous lisons un roman, l'auteur fait appel à notre intellect et nous pousse à faire preuve d'imagination. Le poids des mots nous amène à réfléchir, à imaginer et à rêver. Devant l'écran, les images nous sont imposés et tout ce travail que notre cerveau est censé effectuer est déjà fait à notre place. Ce sont donc les images, plus que les mots, qui jouent un rôle clé.
Aller voir un film nous permet de nous évader de notre train-train quotidien. Ainsi, l'espace de quelques heures, on oublie nos problèmes personnels qui semblent souvent insignifiants faces aux dilemmes auxquels sont confrontés les personnages principaux. En effet, nous avons souvent tendance à nous identifier au héros ou à l'héroïne qui a tout pour plaire. Nous nous mettons alors à vivre notre vie par procuration, à travers les actions du personnage principal. Que ferions-nous si nous étions à sa place ? Réagirions-nous de la même manière ?

« Le cinéma, c'est un œil ouvert sur le monde. » Joseph Bédier.

Inconsciemment, pendant que nous suivons avec avidité les aventures du héros, on se pose des questions. Le cinéma nous pousse à nous poser des questions qui amènent à des réflexions sur nous-mêmes. Nous connaissons-nous vraiment ? Savons-nous de quoi nous serions capables si nous étions face à des situations aussi romanesques que dans ce film ? Nous nous lançons alors dans une introspection. Aller au cinéma, c'est aussi une manière de vraiment se « découvrir ». Le cinéma a donc une visée pédagogique.
Prenons par exemple les films de Disney : ils permettent d'inculquer aux enfants les notions de bien et du mal. Tout y est manichéen, sans le moindre nuance de gris, puisque les gentils sont d'un côté et les méchants, de l'autre. Les gentils finissent toujours par s'en sortir, quel que soit le problème, et un sort moins glorieux est réservé aux méchants. En plus de les divertir, les films de Disney parviennent à « éduquer » les enfants.
Cependant avec l'âge, ces productions considérées comme étant réservées aux enfants prennent un tout autre sens. Ainsi, on se rend compte que dans Blanche Neige la pomme dans laquelle l'héroïne croque pourrait être une référence au péché originel.
Anonyme
Posté le 25 avr. 2011
Bon courage !
Anonyme
Posté le 25 avr. 2011
Encore merci lol. J'ai posté mon développement finalement, tu pourrais me donner ton avis si tu as le temps ? x)
Anonyme
Posté le 25 avr. 2011
Très bon développement, quelques erreurs corrigées et reformulations faites

Devant l'écran, les images nous sont imposées et tout ce travail que notre cerveau est censé effectuer est déjà fait à notre place.
Aller voir un film nous permet de nous évader de notre routine quotidienne.

Le cinéma nous pousse à nous interroger et ces interrogations nous amènent à des réflexions sur nous-mêmes.

As-tu besoin de citer Disney ? Car la pomme tu la retrouves également dans le conte original celui des frères grimm.

Ne pourrais-tu pas Citer le film home de yann arthus bertrand qui nous interpelle sur le réchauffement climatique. Ce film documentaire a une visée pédagogique afin que nous changions notre comportement et devenons éco-citoyens pour sauver la planète.

Anonyme
Posté le 25 avr. 2011
Je pense avoir terminé ma dissertation. J'ai pris en compte tes remarques et j'ai modifié quelques petites choses. J'ai aussi mentionné le film "Home" mais penses-tu que je devrais totalement retirer le passage sur les films de Disney ?
Voici le résultat final au complet :

Le cinéma, souvent qualifié comme étant le septième art, fait son apparition vers la fin du 19ème siècle. Très vite, il suscite l’intérêt général et attise la curiosité de chacun. Peu à peu, il devient un véritable phénomène de société.
Néanmoins, de nos jours, sa popularité lui porte préjudice : le cinéma est-il un art à part entière ou bien un simple divertissement ?
Même si le cinéma est avant tout un lieu de divertissement, certains l'envisagent comme étant un outil de réflexion, voire pédagogique. D'autres préfèrent s’emparer de ce phénomène et de s'en servir à des fins purement lucratives.

« Le cinéma, c'est l'opéra du vingtième siècle. On a tous les arts : les écrivains, les acteurs, les décorateurs, les chefs opérateurs, les musiciens, pour faire une œuvre totale. » Jules Petit-Senn.

Il est vrai que le cinéma est avant tout un divertissement. Personne ne nous oblige à nous y rendre, nous le faisons de notre propre initiative. Nous y allons rarement seuls, préférant s'y rendre en compagnie de quelques amis. C'est donc tout sauf une corvée.
Quand nous allons voir un film, quel que soit son genre, tout est mis en œuvre pour que nous, spectateurs, ne nous ennuyons jamais. Les réalisateurs parviennent à créer une atmosphère bien particulière et qui colle parfaitement à l'image du film à l'aide d'effets spéciaux, de musiques et d'autres artifices dont ils ont le secret. Et à peine quelques minutes plus tard, nous voilà les yeux rivés devant les actions qui se déroulent sous nos yeux. Au fur et à mesure, notre cerveau se met en veille et notre intelligence s'efface. Nous devenons en quelques sortes des moutons, subissant l'action sans se poser de questions. C'est la détente de l'esprit : nous devenons des êtres passifs, dénués de la moindre envie réflexion. Là réside toute la différence entre l'art de l'image et celui de l'écrit. Lorsque nous lisons un roman, l'auteur fait appel à notre intellect et nous pousse à faire preuve d'imagination. Le poids des mots nous amène à réfléchir, à imaginer et à rêver. Devant l'écran, les images nous sont imposées et tout ce travail que notre cerveau est censé effectuer est déjà fait à notre place. Ce sont donc les images, plus que les mots, qui jouent un rôle clé.
Aller voir un film nous permet de nous évader de notre routine quotidienne. Ainsi, l'espace de quelques heures, on oublie nos problèmes personnels qui semblent souvent insignifiants faces aux dilemmes auxquels sont confrontés les personnages principaux. En effet, nous avons souvent tendance à nous identifier au héros ou à l'héroïne qui a tout pour plaire. Nous nous mettons alors à vivre notre vie par procuration, à travers les actions du personnage principal. Que ferions-nous si nous étions à sa place ? Réagirions-nous de la même manière ?

« Le cinéma, c'est un œil ouvert sur le monde. » Joseph Bédier.

Inconsciemment, pendant que nous suivons avec avidité les aventures du héros, on se pose des questions. Le cinéma nous pousse à nous poser des questions qui amènent à des réflexions sur nous-mêmes. Nous connaissons-nous vraiment ? Savons-nous de quoi nous serions capables si nous étions face à des situations aussi romanesques que dans ce film ? Nous nous lançons alors dans une introspection. Aller au cinéma, c'est aussi une manière de vraiment se « découvrir ». Le cinéma a donc une visée pédagogique.
Prenons par exemple les films de Disney : ils permettent d'inculquer aux enfants les notions de bien et du mal. Tout y est manichéen, sans le moindre nuance de gris, puisque les gentils sont d'un côté et les méchants, de l'autre. Les gentils finissent toujours par s'en sortir, quel que soit le problème, et un sort moins glorieux est réservé aux méchants. En plus de les divertir, les films de Disney parviennent à « éduquer » les enfants.
Cependant avec l'âge, ces productions considérées comme étant réservées aux enfants prennent un tout autre sens. Ainsi, on se rend compte que dans Blanche Neige la pomme dans laquelle l'héroïne croque pourrait être une référence au péché originel. C'est une référence que nous retrouvons aussi dans de nombreux contes des Frères Grimm.
De plus, tous les films ne sont pas forcément faits pour nous distraire. Quelques personnes apprécient le fait d'aller voir un film historique ou même un documentaire dans le but de s'informer un peu plus sur un sujet quelconque. Prenons comme second exemple le film Home, réalisé par Yann Arthus Bertrand, un autre film avec une visée pédagogique puisqu'il nous interpelle en attirant notre attention sur un sujet qui nous concerne tous : le réchauffement climatique. À travers son œuvre, l'auteur partage avec nous spectateurs, son émerveillement face à la beauté de la nature mais aussi son inquiétude face au danger qui la menace. Il cherche à nous faire réfléchir pour finalement nous faire changer de comportement. Par le biais de son film, Yann Arthus Bertrand essaye de nous « convertir » à l’écocitoyenneté, espérant ainsi que nous contribuerons à sauver la planète.

« Ce n'est pas parce que c'est un succès qu'un film est bon et ce n'est pas parce qu'un film est bon que c'est un succès. » William Goldman.

De nos jours, le cinéma est devenu un produit commercial à part entière. Son objectif premier est d'être rentable et l'art de l'image est donc devenu un divertissement populaire ayant pour but d’intéresser la plus grande partie de la population possible. Plus de personnes intéressées entraîne logiquement plus de bénéfices. C'est pour cette raison qu'il y a désormais différents genres cinématographiques comme la comédie, l'horreur, le fantastique …
De nombreux cinéastes sont prêts à tout pour attirer l'attention de potentiels spectateurs, au détriment de la qualité de leurs œuvres. Les auteurs de productions hollywoodiennes vont jusqu'à dépenser des sommes colossales d'argent et ne pensent malheureusement plus souvent à la qualité du scénario.

Comme nous l'avons vu, le cinéma a de multiples fonctions. Quand nous allons voir un film, c'est essentiellement pour se distraire. Mais une fois l’œuvre terminée, nous ne sortons pas de la salle totalement « vides ». Certaines idées abordées dans le film en question sont restées ancrées dans notre esprit et nous poussent à la réflexion.
Personnellement, je pense que Georges Duhamel a en partie raison : rester plusieurs heures dans une salle obscure, les yeux rivés sur un écran, ne demande pas forcément un grand effort intellectuel. Toutefois, certains films peuvent nous amener - indirectement ou non - à réfléchir. Tout dépend du genre, de la qualité de la réalisation mais aussi du spectateur. Certains peuvent penser que telle production est un navet, d'autres que c'est un chef-d’œuvre. La notion d'art varie selon les personnes, elle est donc subjective. Il est difficile d'en donner une véritable définition ainsi que de déterminer ce qui distingue un art d'un divertissement.

J'espère que je ne t'ennuies pas avec toutes mes questions x) et que la dissertation ne serait pas trop longue à lire pour toi.
Anonyme
Posté le 25 avr. 2011
C'est bien. Cependant, je suis moins de ton avis quand tu dis que Disney éduque les enfants. Ca les évade, et leur montre un monde sans violence où tout est beau.

J'ai pensé à une autre idée quand Duhamel parle des illétrés.
Tu pourrais rappeler la définition d'illétrés et le rapporter au contexte? Un illétré ne comprend pas ce qu'il lit. Ce qui signifie que le spectateur n'a pas besoin de comprendre car les images font foi.

De plus, tu pourrais dire également que le cinéma s'adresse à tout public alors qu'un livre s'adresse plus à des gens lettrés car les mots et tournures de phrases peuvent être complexes et rebuter un certain nombre. Le cinéma permet de rendre des oeuvres très difficiles à lire accessibles à un grand nombre quand elles sont réalisées sous la forme d'un film. On comprend mieux l'histoire.
Anonyme
Posté le 25 avr. 2011
Merci pour ton aide. :)
Malheureusement, je dois rendre la dissertation demain vu que ce sera la rentrée pour moi et je dois arrêter l'ordinateur donc pas le temps d'apporter des modifications. x) Peut-être qu'a midi j'aurais le temps de rajouter ce que tu m'as dit.
En tout cas, encore une fois merci pour ton aide. ^^

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