Francais

Publié le 9 nov. 2011 il y a 12A par Anonyme - Fin › 11 nov. 2011 dans 12A
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Sujet du devoir

M. Panard était un homme prudent qui avait peur de tout dans la vie. Il avait peur des tuiles, des chutes, des fiacres, des chemins de fer, de tous les accidents possibles, mais surtout des maladies.
Il avait compris, avec une extrême prévoyance, combien notre existence est menacée sans cesse par tout ce qui nous entoure. La vue d'une marche le faisait penser aux entorses, aux bras et aux jambes cassés, la vue d'une vitre aux affreuses blessures par le verre, la vue d'un chat, aux yeux crevés ; et il vivait avec une prudence méticuleuse, une prudence réfléchie, patiente, complète.
Il disait à sa femme, une brave femme qui se prêtait à ses manies : "Songe, ma bonne, comme il faut peu de chose pour estropier ou pour détruire un homme. C'est effrayant d'y penser. On sort bien portant ; on traverse une rue, une voiture arrive et vous passe dessus ; ou bien on s'arrête cinq minutes sous une porte cochère à causer avec un ami ; et on ne sent pas un petit courant d'air qui vous glisse le long du dos et vous flanque une fluxion de poitrine. Et cela suffit. C'en est fait de vous."
Il s'intéressait d'une façon particulière à l'article Santé publique, dans les journaux ; connaissait le chiffre normal des morts en temps ordinaire, suivant les saisons, la marche et les caprices des épidémies, leurs symptômes, leur durée probable, la manière de les prévenir, de les arrêter, de les soigner. Il possédait une bibliothèque médicale de tous les ouvrages relatifs aux traitements mis à la portée du public par les médecins vulgarisateurs et pratiques.
Il avait cru à Raspail, à l'homéopathie, à la médecine dosimétrique, à la métallothérapie, à l'électricité, au massage, à tous les systèmes qu'on suppose infaillibles, pendant six mois, contre tous les maux. Aujourd'hui, il était un peu revenu de sa confiance, et il pensait avec sagesse que le meilleur moyen d'éviter les maladies consiste à les fuir.
Or, vers le commencement de l'hiver dernier, M. Panard apprit par son journal que Paris subissait une légère épidémie de fièvre typhoïde : une inquiétude aussitôt l'envahit, qui devint, en peu de temps, une obsession.

Où j'en suis dans mon devoir

Je dois inventer la suite de cette histoire est ce que vous pouvez me donnez quelques idées ?
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3 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 9 nov. 2011
Bonjour ton personnage et un hypocondriaque. Il va donc aller chercher de l'information un peu partout, journaux , télé etc.. relire les livres de sa bibliothèque.
Ensuite il va penser qu'il développe les symptômes de la fièvre typhoïde (tu peux en chercher sur le net), des frissons de la fièvre etc..
il va consulter des médecins, avaler des traitements etc..
J'espère t'avoir donner quelques idées
Anonyme
Posté le 9 nov. 2011
J'ai oublier de dire le titre de l'histoire c'est '' Voyage de Santé ''
Anonyme
Posté le 9 nov. 2011
Merci pour l'aide

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