Questions p109 manuel " écume des lettres "texte La ronde et autres fait divers de J.M.G Clézio

Publié le 14 déc. 2011 il y a 12A par Anonyme - Fin › 31 déc. 2011 dans 12A
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Sujet du devoir

Des questions portant sur le texte . Je bloque au niveau de la question 2 et 3.Les connotations descriptives dans un texte, je ne sais ni ce que sait ni j'arrive à trouver des passages descriptifs clés de l'histoire

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai effectué toutes les autres questions sauf ces deux .J'ai effectué le schéma actanciel ( demandé en question 1 ) ainsi que la question 4 sur l'utilisation du présent pour exprimer quelque chose de dramatique cependant je bloque dans la question deux et trois . Besoin de votre aide , c'est un DM !!!



7 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 15 déc. 2011
Bonjour Mimine997,

Pour vous éclairer voici la définition de connotation sur ce lien :

http://www.etudes-litteraires.com/figures-de-style/connotation.php
Anonyme
Posté le 15 déc. 2011
Pouvez vous me dire quel est l'extrait du texte pour que je puisse vous aider ? La phrase de début et de fin.
Anonyme
Posté le 15 déc. 2011
La nouvelle c'est la ronde , sa commence par " Comment tout peut-il être si calme, si lointain ?..." et la fin " ...et son fermoir de métal doré jette aux yeux des éclats meurtriers."
Il y a aussi une autre question où je bloque : Le Clézio refuse toute dramatisation excessive des faits:quels détails l’attestent?

Merci pour le site sur les connotations .
Anonyme
Posté le 15 déc. 2011
Merci de ton aide ! j'aurais besoin d'aide pour une autre question : Le Clézio refuse toute dramatisation excessive des faits:quels détails l’attestent?
Anonyme
Posté le 16 déc. 2011
Bonjour Mimine997,

4) Le Clézio raconte une histoire banale qu'il fait apparaître comme un fait divers.
Un fait divers construit par des circonstances spatio-temporelles (vers treize heures, place de la Liberté), des personnages limités en nombre (Martine, Titi, la dame en tailleur bleu) et une action aux péripéties réduites (le vol, la fuite en cyclomoteur, l’accident tragique). Tout est concentré.
Le fait commence par une petite cause (le vol à l’arraché) qui produit de grands effets (l’héroïne écrasée par un camion).
L’antithèse entre l’insignifiance du vol et la démesure du châtiment imposé par le destin n’a rien de surprenant. Le véritable nœud, l’événement qui vient perturber l’équilibre initial, n’est pas le vol commis par Martine mais la proposition de l’ami de Titi : une sorte de rite de passage pour entrer dans le groupe. Dès lors, la mort du personnage ne relève plus de la coïncidence mais d’une nécessité tragique dont le personnage a lui-même conscience : " Elle vient de s’apercevoir que la rue n’est pas vraiment vide, que tout cela est comme réglé d’avance (...) "
C'est donc la façon qu'utilise Le Clézio pour raconter les faits qui nous fait dire qu'il refuse toute dramatisation excessive.

Bonne journée.
Anonyme
Posté le 16 déc. 2011
Merci beaucoup pour votre aide ! Bonne journée à vous aussi .
Anonyme
Posté le 16 déc. 2011
Merci. A bientôt.

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