Texte sur Lysistrata

Publié le 15 nov. 2015 il y a 8A par Anonyme - Fin › 17 nov. 2015 dans 8A
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Sujet du devoir

Bonjour à tous pourriez-vous m'aider s'il vous plait ?

Voilà je dois répondre à des questions sur Lysistrata mais je n'y arrive pas pourriez-vous m'aider s'il vous plait ?

Voici les questions ;

1. Quelles sont les deux visions qui s'affrontent ?
2. Quelles apostrophes les personnages échangent-ils ?
Sur quel ton s'opposent-ils ?
3.a. Quels termes traduisent la façon dont Lysistrata considère les hommes ?
b. Quelle est la fonction des citations qu'elle utilise ?
Expliquez.
4.a. Relevez les connecteurs logiques que Lysistrata emploie dans son résumé des relations entre les hommes et les femmes.
b. Quel poids ces connecteurs donnent-ils à son constat ?
5.a. Quel verbe est répété tout au long de la scène ?
Quelle est la forme de comique alors utilisée ?
b. Que relève l'emploi de ce verbe à propos des relations entre les deux sexes ?

 

Et voici le texte : Lysistrata, citoyenne athénienne, a organisé la révolte des femmes d'Athènes, de Sparte, de Béotie ... qui ont décidé de se
refuser à leurs maris pour que la guerre entre cités grecques prenne fin.
LYSISTRATA. - [ ... ] Au début de la guerre, avec notre bon sens habituel, on a pris sur nous. Quoi que vous fassiez. De
toute façon, on n'avait pas le droit de dire le quart du début d'un mot. Bien sûr, ça ne nous plaisait pas. D'ailleurs on n'était
pas dupes: combien de fois, à la maison, on a compris que vous aviez pris des décisions désastreuses .... Alors on souffrait
en silence, et on vous demandait avec un sourire: « Quelles décisions avez-vous prises pour la paix, aujourd'hui, à l'Assem
-
blée ? - Qu'est-ce que ça peut te faire ? disait le mari. Tais-toi ! » Et je me taisais.
CALONICE. - Ah, mais moi, je ne me taisais jamais !
LE MINISTRE, menaçant. - Oui, mais si tu ne te taisais pas ...
LYSISTRATA. - C'est bien pour ça que moi, je me taisais. (
Elle reprend
.) Et lorsqu'on apprenait que vous aviez pris une
nouvelle décision, encore plus catastrophique, on demandait: « Comment pouvez-vous, chéri, agir avec tant de bêtise ? » Et
il me regardait de travers, et il me répondait: « Retourne à ta couture, ou tu vas en prendre pour ton grade. La guerre est une
affaire d'hommes
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. »
LE MINISTRE. - Il avait bien raison celui-là, tiens.
LYSISTRATA. – Raison ? Comment ça, raison, imbécile ? Vous preniez des décisions désastreuses et il n'aurait fallu faire
aucune remarque
? (
Se reprenant.)
Le jour où on vous a entendu dire en pleine rue :" N'y a-t-il plus un seul homme dans le
pays
? - Non, plus un seul », on a décidé de sauver la Grèce. Toutes ensemble, d’un commun accord. Pourquoi aurions-nous
attendu plus longtemps
? (
Un temps
) À votre tour d'écouter nos conseils et de vous taire, comme nous auparavant. Nous
allons vous remettre sur le droit chemin.
LE MINISTRE. - Vous ? .... Nous ? .... Quelle horreur! C'en est trop.
LYSISTRATA. - Tais-toi !
LE MINISTRE. - Moi
? Me taire devant toi, sale peste ! Alors que tu portes un voile sur la tête ? Plutôt crever.
LYSISTRATA. _ Eh bien, si c'est mon voile qui te gêne, tiens, prends-le, mets-le sur ta tête et tais-toi !
Notes
: 1. Vers d’Homère dans
L’Iliade

Où j'en suis dans mon devoir

je n'y arrive pas le texte est vraiment difficile pourriez-vous m'aider s'il vous plait ?

Je vous en remercie

Merci et bonne journée




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