un mouvement litteraire, le Romantisme

Publié le 11 mai 2011 il y a 12A par Anonyme - Fin › 13 mai 2011 dans 12A
5

Sujet du devoir

Texte A. François René de Chateaubriand, Mémoires d’Outre-
Tombe, première partie, livre III, chapitre 10, extraits (1848-1850)
Le chapitre 10 correspond à l’année 1784.
Fantôme d’amour
Je me composai donc une femme de toutes les femmes que j’avais vues : elle avait la taille, les cheveux
et le sourire de l’étrangère qui m’avait pressé contre son sein ; je lui donnai les yeux de telle jeune fille du
village, la fraîcheur de telle autre. Les portraits des grandes dames du temps de François 1er, de Henri IV et
de Louis XIV, dont le salon était orné, m’avaient fourni d’autres traits, et j’avais dérobé des grâces jusqu’aux
tableaux des Vierges suspendues dans les églises.
Cette charmeresse me suivait partout invisible ; je m’entretenais avec elle, comme avec un être réel ; elle variait
au gré de ma folie : Aphrodite sans voile, Diane vêtue d’azur et de rosée, Thalie au masque riant, Hébé1 à la
coupe de la jeunesse, souvent elle devenait une fée qui me soumettait la nature. Sans cesse, je retouchais ma
toile ; j’enlevais un appas à ma beauté pour le remplacer par un autre. Je changeais aussi ses parures ; j’en
empruntais à tous les pays, à tous les siècles, à tous les arts, à toutes les religions. Puis, quand j’avais fait un
chef-d’oeuvre, j’éparpillais de nouveau mes dessins et mes couleurs ; ma femme unique se transformait en une
multitude de femmes, dans lesquelles j’idolâtrais séparément les charmes que j’avais adorés réunis.
Pygmalion fut moins amoureux de sa statue : mon embarras était de plaire à la mienne. Ne me reconnaissant
rien de ce qu’il fallait pour être aimé, je me prodiguais ce qui me manquait. Je montais à cheval comme Castor
et Pollux ; je jouais de la lyre comme Apollon ; Mars2 maniait ses armes avec moins de force et d’adresse :
héros de roman ou d’histoire, que d’aventures fictives j’entassais sur des fictions ! Les ombres des filles de
Morven, les sultanes de Bagdad et de Grenade, les châtelaines des vieux manoirs ; bains, parfums, danses,
délices de l’Asie, tout m’était approprié par une baguette magique. […]
Au sortir de ces rêves, quand je me retrouvais un pauvre petit Breton obscur, sans gloire, sans beauté, sans
talents, qui n’attirerait les regards de personne, qui passerait ignoré, qu’aucune femme n’aimerait jamais,
le désespoir s’emparait de moi : je n’osais plus lever les yeux sur l’image brillante que j’avais attachée à
mes pas.


Texte B. Gérard de Nerval, Sylvie, chapitre 2, extrait (1854)
Le narrateur, après avoir vu au théâtre Aurélie, une actrice dont il est épris, rentre chez lui et tombe dans une
« demi-somnolence ». Dans cet état ambigu, il se remémore un souvenir de jeunesse presque oublié.
Je me représentais un château du temps de Henri IV avec ses toits pointus couverts d’ardoises et sa face
rougeâtre aux encoignures dentelées de pierres jaunies, une grande place verte encadrée d’ormes et de
tilleuls, dont le soleil couchant perçait le feuillage de ses traits enflammés. Des jeunes filles dansaient en
rond sur la pelouse en chantant de vieux airs transmis par leurs mères, et d’un français si naturellement
pur, que l’on se sentait bien exister dans ce vieux pays du Valois, où, pendant plus de mille ans, a battu le
coeur de la France.
J’étais le seul garçon dans cette ronde, où j’avais amené ma compagne toute jeune encore, Sylvie, une petite
fille du hameau voisin, si vive et si fraîche, avec ses yeux noirs, son profil régulier et sa peau légèrement
halée !... Je n’aimais qu’elle, je ne voyais qu’elle, -jusque-là ! À peine avais-je remarqué, dans la ronde où
nous dansions, une blonde, grande et belle, qu’on appelait Adrienne. Tout d’un coup, suivant les règles de
la danse, Adrienne se trouva placée seule avec moi au milieu du cercle. Nos tailles étaient pareilles. On nous
dit de nous embrasser, et la danse et le choeur tournaient plus vivement que jamais. En lui donnant ce baiser,
je ne pus m’empêcher de lui presser la main. Les longs anneaux roulés de ses cheveux d’or effleuraient mes
joues. De ce moment, un trouble inconnu s’empara de moi. – la belle devait chanter pour avoir le droit de
rentrer dans la danse. On s’assit autour d’elle, et aussitôt, d’une voix fraîche et pénétrante, légèrement voilée,
comme celle des filles de ce pays brumeux, elle chanta une de ces anciennes romances pleines de mélancolie
et d’amour, qui racontent toujours les malheurs d’une princesse enfermée dans sa tour par la volonté d’un
père qui la punit d’avoir aimé. La mélodie se terminait à chaque stance par ces trilles chevrotants que font
valoir si bien les voix jeunes, quand elles imitent par un frisson modulé la voix tremblante des aïeules.
À mesure qu’elle chantait, l’ombre descendait des grands arbres, et le clair de lune naissant tombait sur
elle seule, isolée de notre cercle attentif. – Elle se tut, et personne n’osa rompre le silence. La pelouse était
couverte de faibles vapeurs condensées, qui déroulaient leurs blancs flocons sur les pointes des herbes. Nous
pensions être en paradis. – Je me levai enfin, courant au parterre du château, où se trouvaient des lauriers,
plantés dans de grands vases de faïence peints en camaïeu. Je rapportai deux branches, qui furent tressées
en couronne et nouées d’un ruban. Je posai sur la tête d’Adrienne cet ornement, dont les feuilles lustrées
éclataient sur ses cheveux blonds aux rayons pâles de la lune. Elle ressemblait à la Béatrice de Dante qui
sourit au poète errant sur la lisière des saintes demeures.
Adrienne se leva. Développant sa taille élancée, elle nous fit un salut gracieux, et rentra en courant dans
le château. – C’était, nous dit-on, la petite-fille de l’un des descendants d’une famille alliée aux anciens
rois de France ; le sang des Valois coulait dans ses veines. Pour ce jour de fête, on lui avait permis de se
mêler à nos jeux ; nous ne devions plus la revoir, car le lendemain, elle repartit pour un couvent où elle
était pensionnaire4.

Par la suite, le narrateur déchiffre son rêve : « Cet amour vague et sans espoir, conçu pour une femme de
théâtre […] avait son germe dans le souvenir d’Adrienne », dans la ressemblance entre Adrienne et Aurélie.
Et il s’écrie : « aimer une religieuse sous la forme d’une actrice !... et si c’était la même ! – Il y a de quoi
devenir fou ! »


Texte C. Théophile Gautier, La Morte amoureuse, extrait (1836)
Le narrateur, un vieux prêtre, raconte, que dans sa jeunesse, pendant plus de trois ans, il a mené en
rêve, toutes les nuits, une vie de luxe et de débauche. Le jour même de son ordination, il s’est épris
d’une superbe jeune femme nommée Clarimonde… Mais il a été nommé au loin dans une cure de
campagne. Un an après, en pleine nuit, un homme étrange vient le chercher pour sa maîtresse, une
grande dame à l’article de la mort. Au terme d’une chevauchée infernale, ils arrivent dans un château
« royal et féerique ». Mais il est trop tard ; ayant reconnu son page, le narrateur comprend que la morte
est Clarimonde. On le laisse faire seul la veillée funèbre.
Cependant, pris d’un léger doute sur l’identité de la défunte, il soulève le linceul pour la voir.
C’était en effet la Clarimonde telle que je l’avais vue à l’église lors de mon ordination ; elle était aussi
charmante, et la mort chez elle semblait une coquetterie de plus. La pâleur de ses joues, le rose moins vif
de ses lèvres, ses longs cils baissés et découpant leur frange brune sur cette blancheur, lui donnaient une
expression de chasteté mélancolique et de souffrance pensive d’une puissance de séduction inexprimable ;
ses longs cheveux dénoués, où se trouvaient encore mêlées quelques petites fleurs bleues, faisaient un
oreiller à sa tête et protégeaient de leurs boucles la nudité de ses épaules ; ses belles mains, plus pures,
plus diaphanes5 que des hosties, étaient croisées dans une attitude de pieux repos et de tacite6 prière,
qui corrigeait ce qu’auraient pu avoir de trop séduisant, même dans la mort, l’exquise rondeur et le poli
d’ivoire de ses bras nus dont on n’avait pas ôté les bracelets de perles. Je restai longtemps absorbé dans
une muette contemplation, et, plus je la regardais, moins je pouvais croire que la vie avait pour toujours
abandonné ce beau corps. Je ne sais si cela était une illusion ou un reflet de la lampe, mais on eût dit que
le sang recommençait à circuler sous cette mate pâleur ; cependant, elle était toujours de la plus parfaite
immobilité. Je touchai légèrement son bras ; il était froid, mais pas plus froid pourtant que sa main le
jour qu’elle avait effleuré la mienne sous le portail de l’église. Je repris ma position, penchant ma figure
sur la sienne et laissant pleuvoir sur ses joues la tiède rosée de mes larmes. Ah ! quel sentiment amer de
désespoir et d’impuissance ! quelle agonie que cette veille ! J’aurais voulu pouvoir ramasser ma vie en
un monceau pour la lui donner et souffler sur sa dépouille glacée la flamme qui me dévorait. La nuit
s’avançait, et, sentant approcher le moment de la séparation éternelle, je ne pus me refuser cette triste
et suprême douceur de déposer un baiser sur les lèvres mortes de celle qui avait eu tout mon amour.
Ô prodige ! un léger souffle se mêla à mon souffle, et la bouche de Clarimonde répondit à la pression
de la mienne : ses yeux s’ouvrirent et reprirent un peu d’éclat, elle fit un soupir, et, décroisant ses bras,
elle les passa derrière mon cou avec un air de ravissement ineffable. « Ah ! c’est toi, Romuald, dit-elle
d’une voix languissante et douce comme les dernières vibrations d’une harpe ; que fais-tu donc ? Je
t’ai attendu si longtemps, que je suis morte ; mais maintenant nous sommes fiancés, je pourrai te voir
et aller chez toi. Adieu, Romuald, adieu ! je t’aime ; c’est tout ce que je voulais te dire, et je rends la vie
que tu as rappelée sur moi une minute avec ton baiser ; à bientôt. »
Sa tête retomba en arrière, mais elle m’entourait toujours de ses bras comme pour me retenir. Un tourbillon
de vent furieux défonça la fenêtre et entra dans la chambre ; la dernière feuille de la rose blanche
palpita quelque temps comme une aile au bout de la tige, puis elle se détacha et s’envola par la croisée
ouverte, emportant avec elle l’âme de Clarimonde. La lampe s’éteignit et je tombai évanoui sur le sein
de la belle morte.
Quand je revins à moi, j’étais couché sur mon lit, dans ma petite chambre du presbytère, et le vieux chien
de l’ancien curé léchait ma main allongée hors de la couverture. Barbara s’agitait dans la chambre avec un
tremblement sénile, ouvrant et fermant des tiroirs, ou remuant des poudres dans des verres. En me voyant ouvrir les yeux, la vieille poussa un cri de joie, le chien jappa et frétilla de la queue, mais j’étais si faible,
que je ne pus prononcer une seule parole ni faire aucun mouvement. J’ai su depuis que j’étais resté trois
jours ainsi, ne donnant d’autre signe d’existence qu’une respiration presque insensible. Ces trois jours ne
comptent pas dans ma vie, et je ne sais où mon esprit était allé pendant tout ce temps ; je n’en ai gardé
aucun souvenir. Barbara m’a conté que le même homme au teint cuivré, qui m’était venu chercher
pendant la nuit, m’avait ramené le matin dans une litière fermée et s’en était retourné aussitôt.
durant sa convalescence, l’abbé Sérapion vient rendre visite au narrateur et lui annonce la mort de « la
grande courtisane Clarimonde » à la suite d’une orgie. Il ajoute : « Il a couru de tout temps sur cette
Clarimonde de bien étranges histoires et tous ses amants ont fini d’une manière misérable ou violente.
On a dit que c’était une goule7, un vampire femelle (…) La pierre de Clarimonde devrait être scellée
d’un triple sceau ; car ce n’est pas, à ce qu’on dit, la première fois qu’elle est morte. »


Questions (6 points)
1. Identifiez les différents registres de ces textes en les confrontant les uns aux autres. Vous justifierez votre réponse à partir d’un
relevé de procédés stylistiques qui caractérisent ces registres. (3 points)

2. Dégagez la spécificité de chacun de ces textes dans le traitement du thème du rêve, en soulignant ses relations avec d’autres
thèmes caractéristiques du mouvement romantique (3 points).
Chacune de vos réponses comptera entre vingt et trente lignes.

Où j'en suis dans mon devoir

j'ai deja répondu à la question 1, mais je ne comprends pas et n'arrive pas a faire la question 2. Merci d'avance pour votre aide



9 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 12 mai 2011
Salut j'avais déjà travaillé sur ce corpus !

Question 2
Le texte A est autobiographique. Les narrateurs des textes B et C sont fictifs (un jeune garçon et un prêtre). Les trois textes traitent du rêve sous des angles différents.
Dans le texte A, le rêve est un fantasme , celui qu'a Chateaubriand pour un idéal féminin et pour son idéal d'homme, dont il se fait le peintre et le créateur. On peut voir dans ce poème une métaphore filée du« mal du siècle », qui oppose l'imagination débordante et l'existence réelle, pauvre. En effet, il y a une antithèse forte entre la description de l'idéal par le narrateur, très créatif en imagination, « j'avais fait un chef d'oeuvre » , « je me prodiguais ce qui me manquait » ; les comparaisons le magnifient (« comme Castor et Pollux », « comme Apollon » (l 16) , ainsi que la métaphore de son habileté : « Mars maniait ses armes avec moins de force et d'adresse » (l 16), et la deuxième partie du texte où il se montre misérable, « pauvre » et « petit » dans la réalité. Quand ils concernent la femme idéale, les épithètes valorisent l'être unique créé par Chateaubriand : invisible , réel , riant ) unique (l 11), réunis (l 13), brillante (l 22).
Quand ils concernent l'auteur, les épithètes le dénigrent « que d'aventures fictives » (l 17). « Pauvre petit » (l 20) : la juxtaposition des deux épithètes souligne l'indignité que ressent l'auteur dans la vie réelle.
On trouve également dans ce texte des thèmes caractéristiques du mouvement romantique :
le thème de l'évasion et de l'exotisme : « l'étrangère » (l 2), « Bagdad » et « Grenade » (l 18), « l'Asie « (l 19) ;
les personnages de légendes : « fée » (l 8), « baguette magique » (l 19), « Morven » (l 18) :
la religiosité : « des grâces » (l 4), « des vierges » (l 5), « les églises » (l 5).
l'art et la création : « Puis, quand j'avais fait un chef d'oeuvre, j'éparpillais de nouveau mes dessins et mes couleurs » (l 10 et 11), « je retouchais ma toile » (l 9).
Le texte B est une rêverie éveillée, une rêverie amoureuse. Une rencontre si ancienne qu'elle semble être un rêve revient à la mémoire du narrateur. Le thème de la nature, privilégié par les romantiques du 19e siècle, est très présent sous la forme du paysage campagnard : « verte encadrée d'ormes » (l2), « tilleuls » (…) « feuillages » (l 3), «brumeux » (l 16), « grands arbres » « clair de lune » (l 20), « pelouse » (l 21), « faibles vapeurs condensées », « herbes » (l 22), « lauriers » (l 23), « feuilles » (l 25), « rayons pâles de la lune » (l 26), « le sang », « ses veines » (l 30). Ce champ lexical est utilisé pour donner un caractère idyllique aux descriptions : « Nous pensions être en paradis » (l 23) et pour évoquer le sentiment amoureux du garçon et les qualités vives et naturelles d'Adrienne. Dans ce texte, le rêve est merveilleux, légèrement mystérieux « le clair de lune naissant tombait sur elle seule » (l 21). Il évoque une fascination mais n'inquiète pas.
On trouve ici aussi des références aux thèmes romantiques de l'époque :
l'art et la création, sous forme de création littéraire : Béatrice de Dante (l 26).
la religiosité : la lisière des saintes demeures (l 27).
Dans le texte C, le rêve est une hallucination ou un cauchemar. Son thème est celui de la mort, pour laquelle les romantiques éprouvent une fascination.
Le thème de la nature est également présent, mais beaucoup moins que dans le texte B. Ici, il sert l'antithèse entre la vie et la mort qui est contrariée par le registre fantastique du texte. En effet, l'auteur utilise le champ lexical de la nature vivante {text:soft-page-break} pour décrire la morte : « petites fleurs bleues » (l 5), « ivoire » (l 8), « le sang » (l 11), « tiède rosée » (l 14). Il suggère ainsi que la morte ne l'est peut-être pas. Ensuite, il l'utilise la sauvagerie de la nature, comme pour souligner que les faits sont surnaturels : « un vent furieux défonça la fenêtre et entra dans la chambre » (l 26). Et il utilise encore ce thème avec une métaphore qui évoque l'âme de Clarimonde : « la dernière feuille de la rose blanche palpita (…) puis elle se détacha » (l 26 et 27).
On trouve aussi dans ce texte le thème de la religiosité avec la profession du narrateur - il est prêtre - mais aussi avec la tentation que représente son désir pour Clarimonde. En outre, il la pare de qualités appréciées par l'Eglise : la chasteté « une expression de chasteté mélancolique et de souffrance pensive » (l 4 et 5), la pureté « ses belles mains (…) plus pures que des hosties » (l 6), la dévotion « pieux repos » (l 7), « tacite prière » (l 7).


Voila je pense que tu peux y répondre! Et si tu veux que je corrige ta première question poste ta réponse. Peace
Anonyme
Posté le 12 mai 2011
Merci pour ton aide, pour la question 1 je pense que je me suis assez bien débrouiller, maintenant il faut que je me concentre sur l'ecriture d'invention qui suit, qui elle aussi est difficile je trouve
mais merci
Anonyme
Posté le 12 mai 2011
Merci pour ton aide, pour la question 1 je pense que je me suis assez bien débrouiller, maintenant il faut que je me concentre sur l'ecriture d'invention qui suit, qui elle aussi est difficile je trouve
mais merci
Anonyme
Posté le 12 mai 2011
Merci pour ton aide, pour la question 1 je pense que je me suis assez bien débrouiller, maintenant il faut que je me concentre sur l'ecriture d'invention qui suit, qui elle aussi est difficile je trouve
mais merci
Anonyme
Posté le 12 mai 2011
Merci pour ton aide, pour la question 1 je pense que je me suis assez bien débrouiller, maintenant il faut que je me concentre sur l'ecriture d'invention qui suit, qui elle aussi est difficile je trouve
mais merci
Anonyme
Posté le 12 mai 2011
Merci pour ton aide, pour la question 1 je pense que je me suis assez bien débrouiller, maintenant il faut que je me concentre sur l'ecriture d'invention qui suit, qui elle aussi est difficile je trouve
mais merci
Anonyme
Posté le 12 mai 2011
Merci pour ton aide, pour la question 1 je pense que je me suis assez bien débrouiller, maintenant il faut que je me concentre sur l'ecriture d'invention qui suit, qui elle aussi est difficile je trouve
mais merci
Anonyme
Posté le 12 mai 2011
Merci pour ton aide, pour la question 1 je pense que je me suis assez bien débrouiller, maintenant il faut que je me concentre sur l'ecriture d'invention qui suit, qui elle aussi est difficile je trouve
mais merci
Anonyme
Posté le 12 mai 2011
Bonne chance. Et si t'as besoin d'aide n’hésite pas.

Ils ont besoin d'aide !

Il faut être inscrit pour aider

Crée un compte gratuit pour aider

Je m'inscrisOU

J'ai déjà un compte

Je me connecte