URGENT je dois faire un commentaire de texte sur la piéce de théatre Andrmaque de J. Racine de l'acte 1 scène 2

Publié le 16 nov. 2014 il y a 9A par Anonyme - Fin › 18 nov. 2014 dans 9A
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Sujet du devoir

Je dois faire un commentaire de texte sur la pièce de théâtre "Andromaque" de J. Racine de l'acte 1 scène 2.

Voici la problématique: Nous montrerons que cette scène d'exposition contient déjà l'intrigue à venir.

C'est mon 2eme commentaire de texte que je réalise et j'ai complètement raté le 1er, j'espère pouvoir me rattraper avec celui ci et que vous pourriez m'aider au plus vite.

Merci !

Où j'en suis dans mon devoir

L'entretiende Pyrrhus et Oreste, ne semblent pas avoir songé à de sincères préoccupations politiques. Avant tout Pyrrhus ne songe qu’à sauver Astyanax donc le fils de celle qu’il aime.
Les deux personnages prennent longuement la parole, Il ne sont pas d'accord Oreste qui lui justifie sa demande et de l'autre coté Pyrrhus justifie son refus.
Ils ont tous deux un objectif qui semble dissimuler.

Oreste flatte Pyrrhus en lui rappelant sa victoire:
"Souffrez que j'ose ici me flatter de leur choix,
Et qu'à vos yeux, Seigneur, je montre quelque joie
De voir le fils d'Achille et le vainqueur de Troie."

"Le reste", c'est ici le survivant Astyanax, le fils d'Hector.
"Mais ce qu'il n'eût point fait, la Grèce avec douleur
Vous voit du sang troyen relever le malheur,
Et vous laissant toucher d'une pitié funeste,
D'une guerre si longue entretenir le reste."

"Ne vous souvient-il plus, Seigneur, quel fut Hector ?
Nos peuples affaiblis s'en souviennent encor."
L'interrogative est ici rhétorique ; Oreste en donne tout de suite la réponse.

"Et qui sait ce qu'un jour ce fils peut entreprendre ?
Peut-être dans nos ports nous le verrons descendre,
Tel qu'on a vu son père embraser nos vaisseaux,
Et, la flamme à la main, les suivre sur les eaux."
Oreste précise la menace que représente Astyanax en lui remémorant la menace qu'était Hector, le père d'Astyanax. Il sous entend qu'Astyanax pourrait achever ce que son père à commencé.

"Et que dans votre sein ce serpent élevé
Ne vous punisse un jour de l'avoir conservé."
Oreste désigne Astyanax comme "un serpent" il faut le tuer avant qu'il ne morde !

Oreste utilise la peur, la menace qu’évoque le souvenir d'Hector. Il imagine la violence future que peut engendrer le fils d'Hector s'il l’épargne.

Pyrrhus prend la parole en défendant Astyanax, Il trouve quelconque arguments.
"Qui croirait en effet qu'une telle entreprise
Du fils d'Agamemnon méritât l'entremise;
Qu'un peuple tout entier, tant de fois triomphant,
N'eut daigné conspirer que la mort d'un enfant ?"
S'attaquer à un enfant est lâche, ce n'est pas digne des héros grecs.

"Et seul de tous les Grecs ne m'est-il pas permis
D'ordonner d'un captif que le sort m'a soumis ?"
Droit du souverain sur son captif.

"On craint qu'avec Hector Troie un jour ne renaisse;
Son fils peut me ravir le jour que je lui laisse;"
Pyrrhus prétend que s'il refusait de livrer Astyanax, en retours quand il aura grandit Astyanax pourra lui "ravir le jour" qu'il lui laisse.

"Je ne vois que des tours que la cendre a couvertes,
Un fleuve teint de sang, des campagnes désertes,
Un enfant dans les fers; et je ne puis songer
Que Troie en cet état aspire à se venger."
Pyrrhus, ici inscrit son argumentation dans une logique temporelle : Troie a été détruite. Il n'en reste rien d'autre qu'un nom. Troie est comme un désert, un néant. Ni lui, ni Troie ne sont donc de réelles menaces pour la Grèce.
Dès lors, si les Grecs voulaient l'élimination d'Astyanax, pourquoi ne l'ont-ils pas tué un an plus tôt, après la destruction de la ville ?

Pyrrhus ensuite énonce la problématique de son argumentation :
"Mais que ma cruauté survive à ma colère ?"
Et répond au problème posé bien que cette réponse soit déjà induite par la question : le massacre des Troyens a prouvé que, possédés par la colère, "la victoire et la nuit", les Grecs avaient agi avec un maximum de cruauté et qu'en conséquence, une fois cette colère apaisée, il semble juste que la cruauté soit mise de côté au profit de sentiments plus nobles.

"Que malgré la pitié dont je me sens saisir,
Dans le sang d'un enfant je me baigne à loisir ?"
Le vers ne semble guère heureux ; aussi s'agit-il d'une hyperbole, une exagération de la part de Pyrrhus, une provocation ironique destinée à vexer, sinon à convaincre, son interlocuteur.

"Non, Seigneur. Que les Grecs cherchent quelque autre proie ;
Qu'ils poursuivent ailleurs ce qui reste de Troie :
De mes inimitiés le cours est achevé ;
L’Épire sauvera ce que Troie a sauvé."
Pyrrhus n’éprouve plus de colère, il ne peut donc pas être cruel il a pitié.

 

Pyrrhus ne peut avouer sa motivation réel qui est l'amour qu'il éprouve pour Andromaque, il ne peut l'a décevoir en livrant son fils il sait que s'il le fessait il perdra Andromaque à tout jamais.

Tandis qu'Oreste aime Hermione en secret et son unique but est de la voir.

 




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