Quel avenir pour le syndicalisme ? / ! \ AIDER MOI C'EST TRES URGENT / ! \

Publié le 15 avr. 2010 il y a 14A par Anonyme - Fin › 17 avr. 2010 dans 14A
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Sujet du devoir

J'ai besoin d'aide pour un exercice d'SES pour demain !
Le problème c'est que je n'ai pas très bien compris le texte, donc je n'arrive pas a répondre aux questions..

Voici le texte :

Avec un taux de syndicalisation global de 8% et de 5% seulement dans le secteur privé, le syndicalisme français ressemnle à l'homme malade de l'Europe. Cette faiblesse est accentuée par l'éclatement du paysage syndical français, qui voit cinq confédérations disposer de la présomption irréfragable de représentativité: la CFDT, la CFE-CGC, la CFTC, la CGT et FO. [...]
L'avenir des syndicats français passe par l'élargissement de leur base et par la diversification des services qu'ils offrent aux salariés. L'augmentation du nombre de personnes syndiquées ne se décrète pas. Dans les pays nordiques, où le taux de syndicalisation atteint 80%, les syndicats offrent plusieurs servives à leurs adhérents. Ils participent à l'identification des besoins de formation. Ils accompagnent l'évolution des compétences des salariés en dispensant eux-mêmes une partie des formations. Ils négocient les salaires et ont su résister aux tentatives visant à décentraliser les négociations au niveau de l'entreprise, qui est le plus défavorable aux salariés. Ils offrent des avantages par les accords qu'ils concluent et dont le bénéfice est réservé à leurs seuls membres. Autant de pistes qui pourraient nourrir la réflexion actuelle sur l'avenir du syndicalisme français.

Cyril Coulet, les Echos, 5 janvier 2007

Les questions :

1. EXPLIQUER. En quoi " l'éclatement du paysage syndical " peut - il expliquer les difficultés du syndicalisme français ?

2. COMPARER. Comparez les services rendus par les syndicats nordiques à leurs adhérents à ceux rendus par les syndicats français.

3. RECAPITULER. La crise du syndicalisme français est-elle inéluctable (= inévitable ) ?

Où j'en suis dans mon devoir

1. ?

2 ( Je ne suis pas sur du tout !!!! ) . Le taux de syndicalisation en FRance s'évèle entre 8 et 5% contre 80% pour les pays nordiques. Dans ces ppays, les adhérents obtiennent plus de droits de la parts des syndicats. Les ouvriers disposent d'une partie des formation, il obtiennent le droit de négocier leur salaire et par conséquent.

3 ?

JE NE PENSE PAS QUE CE QUE J'AI FAIS SOIT JUSTE, PUISQUE JE NE COMPREND PAS MON TEXTE.




1 commentaire pour ce devoir


Anonyme
Posté le 16 avr. 2010
1- L'essence même du syndicat est de baser sa légitimité sur son nombre d'adhérents (plus il y a d'adhérents, plus sa voix compte; plus son influence est importante). Le fait que le paysage syndical français soit "eclaté" en 5 fédérations divise de la même manière le poids de chaque fédération, et réduit son poids donc son influence et sa capacité à obtenir des avantages pour ses adhérents. En gros, au lieu d'un ou deux gros syndicats qui pèseraient lourd, on en a 5, très divergents en plus, qui ne pèsent pas lourds.

2- Le fort taux de syndicalisation dans les pays nordiques permet aux syndicats d'avoir un poids élevé et d'obtenir beaucoup plus de choses, comme un accompagnement constant des salariés, la possibilité de négocier les salaires et surtout la possibilité d'obtenir des avantages "pour leur seuls membres". Leur poids leur donne ce possibilités que le poids réduit des syndicats français ne permet pas. De plus, avoir 5 syndicats ralentit les négociations et permet d'obtenir moins, car chacun veut des choses différentes pour ses propres adhérents.

3- Rien n'empêche l'évolution des structures syndicales et on pourrait à juste titre imaginer une Union des fédérations dans une confédération les réunissant et permettant de mettre au point des revendications communes. leur poids sera ainsi plus important et leur message plus clair

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