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Sujet du devoir
Bonjour j'ai une réecxriture a faire et j'ai un peu de mal si vous pouviez m'aidé sa seré gentilIl faut réecrire les trois phrases après avoir remplacé le passé simple par le passé composé. Effectuez les modifications nécessaires.
voici le texte ...
Octave entra dans un bureau télégraphique, prévint son ami qu’il partait et reviendrait dans deux jours. Puis, il héla un fiacre et se fit transporter à la gare du Nord.
Dès qu’il fut en wagon, il se reprit à développer son rêve.
A deux heures du matin, Octave carillonnait bruyamment à la porte de la maison maternelle et paternelle — sonnette de nuit —, et mettait en émoi le paisible quartier des Aubettes.
« Qui donc est malade ? se demandaient les commères d’une fenêtre à l’autre.
— Le docteur n’est pas en ville ! cria la vieille servante, de sa lucarne au dernier étage.
— C’est moi, Octave !… Descendez m’ouvrir, Francine ! »
Après dix minutes d’attente, Octave réussit à pénétrer dans la maison. Sa mère et sa sœur Jeanne, précipitamment descendues en robe de chambre, attendaient l’explication de cette visite.
merci de vite me répondre =)
Où j'en suis dans mon devoir
Octave eu entrée dans un bureau télégraphique, prévint son ami qu'il parait et reviendrait dans deux jours. Puis, il eu héla un fiacre et se fit ....5 commentaires pour ce devoir
Merci, Merci et encore Merci
merci de m'avoir aidez =)
Bonjour,
Voici les réponses: Octave est entré dans un bureau télégraphique, il a prévenu son ami qu'il était parti et qu'il serait revenu dans deux jours. Puis, il a hélé un fiacre et s'est fait transporter à la gare du Nord.
Voilà, j'éspère t'avoir aider.
Voici les réponses: Octave est entré dans un bureau télégraphique, il a prévenu son ami qu'il était parti et qu'il serait revenu dans deux jours. Puis, il a hélé un fiacre et s'est fait transporter à la gare du Nord.
Voilà, j'éspère t'avoir aider.
merci c'est très gentil a vous :D
Ils ont besoin d'aide !
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Octave est entré dans un bureau télégraphique, il a prevenu son ami qu’il partait et reviendrait dans deux jours. Puis, il a hélé un fiacre et s'est fit transporter à la gare du Nord.
Dès qu’il a eu un wagon, il s'est repris à développer son rêve.
A deux heures du matin, Octave carillonnait bruyamment à la porte de la maison maternelle et paternelle — sonnette de nuit —, et mettait en émoi le paisible quartier des Aubettes.
« Qui donc est malade ? se demandaient les commères d’une fenêtre à l’autre.
— Le docteur n’est pas en ville ! a crié la vieille servante, de sa lucarne au dernier étage.
— C’est moi, Octave !… Descendez m’ouvrir, Francine ! »
Après dix minutes d’attente, Octave a réussi à pénétrer dans la maison. Sa mère et sa sœur Jeanne, précipitamment descendues en robe de chambre, attendaient l’explication de cette visite.