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Sujet du devoir
L’ossuaire de Douaumont est très joli. Il contient les restes de 300 000 jeunes gens. Si l’on mettait bout à bout tous les humérus et tous les fémurs de ces garçons et leurs 300 000 crânes par-dessus, on obtiendrait une ravissante barrière blanche de 2 476 kilomètres pour embellir le côté gauche de la route Moscou-Paris.
Le sacrifice des 300 000 morts de Douaumont n’a pas été vain. Sans Verdun, on n’aurait jamais abouti à l’armistice de 1918, grâce auquel l’Allemagne humiliée a pu se retrouver dans Hitler. Hitler sans lequel on n’aurait jamais eu l’idée, en 1945, de couper l’Europe en deux de façon assez subtile pour que la Troisième soit désormais inévitable.
1)Distinguez dans ce texte deux grandes parties,l'une écrite sans modalisation,l'autre avec.
2)Relevez des termes modalisateurs qui expriment un jugement(adjectifs évaluatifs,verbes,,types de phrases).Présentez votre réponse dans un tableau.
3)Que semble penser l'auteur de la bataille de Verdun,de la guerre,de Hitler?Justifiez votre réponse et développez là
4) Ce jugement est il sincère d'aprsè vous?
5)Quel procédé utilise t-il pour exprimer sa pensée,son opinion?Relevez une figure de style caractéristique de ce procédé dans le paragraphe 2
6)Quelle est son opinion réelle sur les thèmes qu'il aborde dans ce texte?
7)Quelle est la tonalité de ce texte?
Où j'en suis dans mon devoir
Bonjour,je vous ai mis ici que les questions qui me posaient problèmes,pour la question 5 il utilise le procédé de l'ironie je crois.
Merci d'avance de m'aider.
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1)Distinguez dans ce texte deux grandes parties,l'une écrite sans modalisation,l'autre avec
L’ossuaire de Douaumont est très joli. Il contient les restes de 300 000 jeunes gens. Si l’on mettait bout à bout tous les humérus et tous les fémurs de ces garçons et leurs 300 000 crânes par-dessus, on obtiendrait une ravissante barrière blanche de 2 476 kilomètres pour embellir le côté gauche de la route Moscou-Paris.
Le sacrifice des 300 000 morts de Douaumont n’a pas été vain.
Sans Verdun, on n’aurait jamais abouti à l’armistice de 1918, grâce auquel l’Allemagne humiliée a pu se retrouver dans Hitler. Hitler sans lequel on n’aurait jamais eu l’idée, en 1945, de couper l’Europe en deux de façon assez subtile pour que la Troisième soit désormais inévitable.