Dictée

Publié le 16 mai 2011 il y a 13A par Anonyme - Fin › 23 mai 2011 dans 12A
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Sujet du devoir

Bonjour à tous :)

pouvez vous corriger ma dictée:

O vous qui ne sentez pas, qui ne touchez pas, respirez cet encens, touchez ces offrandes. Puisqu’enfin c’est un général sincère qui vous parle, apprenez que je n’est pas une tendresse égale, un respect égale pour vous tous. Tous morts que vous êtes, il y a chez vous la même proportion de braves et de peureux que chez nous qui avons survécu et vous ne me ferais pas confondre, à la faveur d’une cérémonie, les morts que j’admire avec les morts que je n’admire pas.

Où j'en suis dans mon devoir

O vous qui ne sentez pas, qui ne touchez pas, respirez cet encens, touchez ces offrandes. Puisqu’enfin c’est un général sincère qui vous parle, apprenez que je n’est pas une tendresse égale, un respect égale pour vous tous. Tous morts que vous êtes, il y a chez vous la même proportion de braves et de peureux que chez nous qui avons survécu et vous ne me ferais pas confondre, à la faveur d’une cérémonie, les morts que j’admire avec les morts que je n’admire pas.



2 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 16 mai 2011
O vous qui ne sentez pas, qui ne touchez pas, respirez cet encens, touchez ces offrandes. Puisqu’enfin c’est un général sincère qui vous parle, apprenez que je n’AI pas une tendresse égale, un respect égal(PAS DE E) pour vous tous. TouT morts que vous êtes, il y a chez vous la même proportion de braves et de peureux que chez nous qui avons survécu et vous ne me ferEZ pas confondre, à la faveur d’une cérémonie, les morts que j’admire avec les morts que je n’admire pas.

je yt'ai mis les corrections en majuscule ou avec des parenthèses. Bon courage

Anonyme
Posté le 16 mai 2011
Merci beaucoup Compostelle...

O vous qui ne sentez pas, qui ne touchez pas, respirez cet encens, touchez ces offrandes. Puisqu’enfin c’est un général sincère qui vous parle, apprenez que je n’ai pas une tendresse égale, un respect égal pour vous tous. Tout morts que vous êtes, il y a chez vous la même proportion de braves et de peureux que chez nous qui avons survécu et vous ne me ferez pas confondre, à la faveur d’une cérémonie, les morts que j’admire avec les morts que je n’admire pas.


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