expression écrite

A son retour en France, Florent rencontre Gavard qui tenait sous chacun de ses bras une oie grasse, dont la tête pendait et lui tapait sur les cuisses. Il eut un geste de joie :il courut derrière cet homme et cria Gavard en lui frappant sur l’épaule .Il leva sa tête ,examina d’un air surpris de cet longue figure noire .Il reconnut Florent .Il laissa tomber ses oies grasses et alla causer sous une rue couverte .Florent lui raconta qu’il était aller à la rue pirouette.

Florent découvrit les halles en pleine effervescence très tôt le matin, il fut surpris par cette affluence de nourriture, ces amoncellements de victuailles, ces charrettes et camions qui arrivaient les uns derrière les autres, ces étalages de fruits, légumes, viandes et marchandises de toutes sortes, ses flamboiements de couleurs, ses odeurs puissantes. Le tout au milieu des bruits de pas, des voix des marchands, du bourdonnement de toute cette vie en mouvement.
Qu’elle ne fut pas sa joie de rencontrer Gavard dans ce tumulte, il l’aperçut de dos, c’était un petit homme, carré, les cheveux gris et taillés en brosse, qui tenaient sous chacun de ses bras une oie grasse. Il se dirigea vers lui et en prononçant son nom il lui frappa sur l’épaule.
Gavard se retourna surpris et tout heureux de reconnaitre son ami Florent il l’invita à se diriger vers la rue couverte pour discuter et lui apprendre tout ce qui c’était passé en son absence.