Les valeurs des temps.

Sujet du devoir

Bonjour, j'ai un DM de Français, et je galère un peu pour ses quelques exercices, j'ai des doutes. Alors voilà :

Exercice 1 :

Dans le passage suivant distinguez les valeurs du présent.
(je fais une liste des verbes apparaissant dans le texte)
aurais/commençais/vaut/pillait/fusse/fallut/quittais/allaient/appelle/reprends/nourissent/vais.

Exercice 2 :

Le texte suivant vous est proposé au présent : transposez-le au passé en utilisant à bon escient imparfait et passé simple ; une forme pourrait rester au présent : laquelle et pourquoi ?

Mon guide s'installe au volant, je m'assieds près de lui. La voiture bondit. La brousse s'ouvre et se referme sans cesse autour de notre course...Il n'y a que des fourrés, des arbres immenses, des champs de ronces, des buissons aux dards aigus entre lesquels mon guide, conduit par je ne sais quels repères, fait glisser, voler, virer sa voiture.
Il me semble que nous tournons indéfiniment sur nos propres traces. Et nous roulons toujours et, à chaque instant, changent le cap, la beauté, le mystère. Enfin cette jungle sèche s'ouvre sur un grand espace libre.

Où j'en suis dans mon devoir

Pour l'exercice 1 (je voudrais savoir si vous êtes d'accord)
(je précise que le texte est majoritairement au passé et à l'imparfait)

-"vaut" (extrait de la phrase : "le savoir-faire vaut mieux que le savoir" : présent de vérité générale.

-"appelle" (extrait de la phrase : " (...) lorsqu'un Dieu bienfaisant m'appelle à mon premier état" : présent de narration

-"reprends" (extrait de la phrase : "je reprends ma trousse et mon cuir anglais") : présent de narration

-"vais" (extrait de la phrase : "puis laissant la fumée aux sots qui s'en nourrissent, et la honte au milieu du chemin, comme trop lourde à un piéton, je vais") : présent de narration.

Exercice 2 :

J'ai déjà mis le texte au passé et à l'imparfait, mais je le trouve pas quel phrase pourrait rester au présent :/

Mon guide s'installa au volant, je m'assis près de lui. La voiture bondit. La brousse s'ouvrait et se refermait sans cesse autour de notre course... Il n'y avait que des fourrés, des arbres immenses, des champs de ronces, des buissons aux dards aigus entre lesquels mon guide, conduit par je ne sais quels repères, fesait glisser, voler, virer sa voiture. Il me semblait que nous tournions indéfiniment sur nos propres traces. Et nous roulions toujours et, à chaque instant, changent le cap, la beauté, le mystère. Enfin cette jungle sèche s'ouvrit sur un grand espace libre.