questions brevet

1. a. On te demande le point de vue du texte, il y a trois types de points de vue : le point de vue omniscient, le point de vue interne et le point de vue externe b. Tu dois donner des preuves bon je pense que tu as compris comment faire, en citant le texte et tout 2. a. Dans les registres il y a le langage soutenu, c'est le langage de l'écrit le plus souvent on en l'utilise pas beaucoup à l'oral, le langage courant, c'est celui qu'on utilise tout les jours et le langage familier, c'est le langage un peu vulgaire ou utilisé entre amis b. Cette question là c'est par rapport à la question 2.a. donc normalement tu peux y répondre facilement 3.a. Pour cette question je peux te dire que c'est une métaphore mais je ne saurai comment te l'expliquer b. L'impression suggérée c'est celle d'une grande quantité d'images c. Ce mot peut être remplacé par "bêtises", "âneries" ou "stupidités" 4. Le mot vacarme est justifié par le fait que toutes les activités énumérées dans la description de la salle sont des activités bruyantes 5. On voit qu'Eva refuse le contact avec les autres malades au niveau des adjectifs : "indifférente" (l.8) et "rêveuse" (l.8) 6. Ces deux phrases sont des phrases très courtes sans verbe (phrases nominales). Et l'auteur joue sur les sonorités en employant une allitération en "v" " RêVeuse à Vide. regard Vague", ce son se retrouve dans le prénom de la petite fille. 7. Le "mais" exprime un rappirt d'oppisition 8.a. "...Personne ne l'a jamais emmenée marcher, toute seule, sur les chemins autour du centre parce que sa maman a rarement le temps" ( proposition subordonnée conjonctive ) b. "Vollard serrait à peine, mais les petits doigts bougeaient aussi, agrippaient doucement, acceptant de se lover dans cette chair chaude creusée de lignes de vie, de malchance et de coeur" (l. 18-20) 9. Elle est perturbée par son accident parce qu'elle s'isole ("regard vague" l.9; "la fillette ne réagit mas" l.13), mais elle ne semble pas éprouver de rancune vis-à-vis du responsable de son état puisqu'elle accepte qu'il lui prenne la main (l.17) 10. a. "disproportionnées" veut dire de tailles très différentes, qui ne vont pas ensemble b. La main de Vollard est qualifiée d'"immense" (l.13) alors que celle d'Eva, avec ses "petits doigts" (l.18) est comparé à un "petit animal, grenouille-fauvette ou sauterelle-hermine" (l.16) 11. a. L'adverbe "imperceptiblement" est constitué du préfixe négatif "im-", de la base adjectivale "perceptible" et du suffixe adverbial "-ment" b. Il nous apprend que le contact se fait en douceur, lentement 12. a. "Comme il eût fait d'un petit animal" (l.15) C'est une comparaison b. On peut déduire que Vollard fait attention à ne pas brusquer Eva, qu'il la considère comme un être fragile. 13. a. Pendant la promenade elle se sert de son odorat "respirant fort, narines dilatées" (l.29-30) b. Elle semble à peine utiliser la vue puisqu'elle "ferme par instants les yeux" (l.30) c. On peut expliquer cette attitude en tenant compte de l'attitude rêveuse d'Eva lorsqu'elle était dans la salle du centre et qu'elle ne regardait déjà pas autour d'elle. Elle n'est pas quelqu'un qui observe, de plus elle sort peu et a donc rarement l'occasion de respirer l'air frais.