REDACTİON URGENTTTTTTTT

Publié le 27 oct. 2011 il y a 12A par Anonyme - Fin › 5 nov. 2011 dans 12A
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Sujet du devoir

Un passager témoin de la scéne rapporte et le commente dans une lettre adressée a un ami.
Consignes d'écriture:
*Votre texte doit etre une lettre et en présentera toutes les spécifités.
*Le réCİT de l'épisode du train doit etre indroduit (recit cadre)
*La syntaxe et le vocabulaire choisis sont coherents avec les personnalités de l'émetteur et du destinataire de la lettre.

Où j'en suis dans mon devoir

Voila pouvez vous maider car je ne trouve rien
voıla je suıs nul en redactıon en meme tant et je voudraıs bıen le réussir :)



8 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 27 oct. 2011
Témoin de quelle scène ?
Il s'est passé quoi dans ce train ?
Anonyme
Posté le 27 oct. 2011
enfete c'est nous qui doit l'inventer car dans le sujet ce nest pas marquer :S
Anonyme
Posté le 27 oct. 2011
Oui, mais je comprends pas: c'est toi le témoin ou c'est toi qui a commis la scène ?
Anonyme
Posté le 27 oct. 2011
ouı moi non plus je ne comprends pas la prof elle a dit d'ecrire une lettre temoin de la scene dans le train je pense je ne sais pas :( maıs on doıt faire une lettre
Anonyme
Posté le 27 oct. 2011
Donc je pense que c'est toi le témoin de la scène.
Si tu n'as vraiment pas d'idée, tu peux faire un truc à la Agatha Christie, genre tu as été témoin du meurtre d'une vieille dame poignardée lors de ton trajet en train, mais il y a un problème parce que tu t'es rendu-compte que l'arme du crime est attérrie dans ton sac à main.
A partir de ça, tu dis à ton ami(e) que tu n'oses pas aller raconter ce que tu as vu à la police, parce que tu as peur que les policiers croient que tu es la coupable puisque tu as l'arme du crime.
Anonyme
Posté le 27 oct. 2011
il s'agit d'un extrait de " Lotissement du ciel, publié en 1949 et écrit par Blaise Cendarts"
Je l'écrirerais (le texte)
Anonyme
Posté le 27 oct. 2011
Le narrateur raconte comment l'année précédente, alors
qu'il traversait la Suisse en train, il s'était risqué à «faire
une blague».


J' étais debout dans le couloir, en arrêt devant une
plaque émaillée énumérant la réglementation
du mode et de l'emploi autorisé du signal
d'alarme et j'en étais arrivé ,à l'article stipulant une
amende de cent francs en cas d'usage abusif de ce
frein de secours, quand ma main se porta d'elle-même
sur la poignée peinte en rouge et tira fort, de haut en
bas. J'étais curieux de voir ce qui allait arriver. J'avais
préparé les cent francs, un billet que je tenais à la
main. J'aurais pu imaginer une catastrophe mais, sans
elle, je jure que j'en ai eu pour mon argent! Le train
s'arrêta en effet sur un stop violent, après avoir patiné
sur toutes ses roues sur quelque cent mètres, lâchant
de la vapeur qui fusait en sifflant de partout. Il y eut
un brusque coup de recul et ce fut la ruée des voyageurs qui voulaient se rendre compte de ce qui se passait. Les portières claquaient. On courait sur le ballast.
On s'interpellait. Les passagers de mon wagon sortaient
peureusement de leurs compartiments en se
frottant le front, qui avaient reçu leur propre valise
sur la tête, reluquaient dans le couloir, s'interrogeant
l'un l'autre, chuchotant, me dévisageant, et je devinais
qu'un chacun était convaincu que c'était moi l'auteur
de cette frasque, de cette incartade, et que tous
savaient que j'avais agi pour rire. Et soudain fit irruption dans le wagon et se rua sur moi comme poussé par une bande d'émeutiers qui se bousculaient dans
le couloir derrière son dos en hurlant: «C'est lui! C’est lui! on l'a vu! .. », Le chef de train, avec sa belle sacoche rouge sur le ventre, un crayon-encre et son livre de procès-verbal à la main, de la sueur coulant de dessous sa haute casquette soutachée d'un galon d'argent,
congestionné, les yeux exorbités par l'émotion, qui
m'apostropha à bout de souffle:
C'est vous, jeune homme, qui avez fait ça? ... Pourquoi? ...Qu’est-ce qui vous arrive?.. Vous êtes
fou? . . .
Les autres m'auraient fait un mauvais parti si le chef de train n'avait été aussi corpulent, qui bouchait
le passage, car je ne pouvais pas parler, pris de fou rire.
Je désignais le règlement du doigt. Je tendais les cent
francs. Je me laissais aller en arrière dans mon fauteuil. Je m'affalais à ma place, n'en pouvant plus. Le rire me tordait en deux. J'en pleurais. Et derrière le
chef de train qui comprenait bien que sa responsabilité était engagée mais qui ne comprenait pas comment je pouvais payer l'amende sans un mot d'explication, ce qu'il ressentait comme une atteint à sa dignité, les voyageurs qui vitupéraient à qui mieux m'amusaient indiciblement, tous ces bons bourgeois révoltés, outrés, la face grimaçante, l'œil mauvais et qui enrageaient à la pensée que je pouvais me payer leur tête. On eût dit des personnages de Breughel le Vieux. Ils ne se possédaient plus. Chacun se sentait visé. Les femmes étaient les plus furieuses. Quelle joie de ne plus appartenir à, ce monde-là
Anonyme
Posté le 27 oct. 2011
il s'agit d'un extrait de " Lotissement du ciel, publié en 1949 et écrit par Blaise Cendarts" (le texte en haut )

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