Rédaction - Racontez votre naissance

Publié le 19 avr. 2013 il y a 11A par Anonyme - Fin › 26 avr. 2013 dans 11A
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Sujet du devoir

Racontez votre naissance, comme dans une autobiographie.
-Récit a la 1ere personne
-Emploi des temps du récit (mais des passages au présent sont possibles)
Il s’agit d’une reconstruction à partir des souvenirs des autres : sélectionner quelques détails et les développer.

PS:ce devoir est noté.

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai rien fait encore , j’arrive pas du tout a faire ce devoir demandé, je suis bloqué.Je comprends rien a rien. S'il vous plait , aidez-moi.



10 commentaires pour ce devoir


willffy
willffy
Posté le 19 avr. 2013
Tu pourrais comencer par les contractions qui te font souffrir, ...

Et tu aborderas la lumière trop vive, l'impression d'étouffer , les mains qui te saisissent, le froid...

Bonne soirée.
Anonyme
Posté le 19 avr. 2013
C'est a dire ?
Anonyme
Posté le 19 avr. 2013
je crois que la naissance est à raconter par rapport aux souvenirs des uns et des autres, je ne crois pas qu'il s'agisse de raconter les impressions du bébé !


Je suis née un dimanche. Ce jour là mes parents avaient décidé de partir faire un tour à la campagne. Il faut dire que je n'étais pas du tout attendue, ma mère n'était qu'à 8 mois et une semaine de grossesse.

Donc mes parents avaient décidé de profiter des derniers beaux jours d'octobre........ etc.....

Vous racontez qu'ils ont pris la voiture tôt le matin, que votre père conduisait lorsqu'ils se sont retrouvés pris dans un grand embouteillage....les douleurs ont commencé.....

Décrivez les cris, les énervements, le fait que la voiture est bloquée.... il appelle les pompiers....


Enfin j'invente une histoire un peu rocambolesque, vous pouvez en inventer une autre !
Anonyme
Posté le 20 avr. 2013
J’ai pris ce que vous m’aviez proposez et ça donne ça pour l’instant :
Je suis née un jour d’été, un samedi, le 22 juin 1998. Ce jour là mes parents avaient décidé de partir faire un tour dans la maison de ma grand-mère a coté de la plage dans le Sud de la France.
Il faut dire que je n'étais pas du tout attendue, ma mère n'était qu'à 8 mois et une semaine de grossesse.
Donc mes parents avaient décidé de profiter des premiers jours d’été pour aller à la plage...

Après ça je ne sais pas quoi mettre… Pour l’embouteillage, je le mets dans le chemin de l’allée ou du retour ?
Anonyme
Posté le 20 avr. 2013
Essayez de raconter les choses avec une accélération progressive des événements

Au début, tout va bien, ils profitent de la plage, votre mère s'est reposé, tout va bien.
Soudain , alors qu'ils s'apprêtaient à quitter la plage vers le soir, votre ressent comme une petite douleur. Elle n'y fait pas attention, elle croit qu'elle a mal digéré quelque chose. Introduisez des dialogues. Décrivez le paysage, surtout au début quand les personnages ne sont pas pris par l'urgence...


Votre mère est prise de contractions de plus en plus rapprochées, ils décident de partir , elle commence à être pliée en deux, mais impossible de rejoindre l'hôpital car la voiture est coincée.

Imaginez l'énervement de votre père qui conduit, les cris de votre mère dans la voiture qui crie à son mari dépêche toi, je ne vais pas tenir longtemps. Le père qui dit à sa femme "respire respire!"

Imaginez la douleur de la mère et le fait que le père ne peut rien faire.

Finalement ils appellent les pompiers qui arrivent et accouchent la femme dans le camion de secours
Anonyme
Posté le 20 avr. 2013
voici une naissance racontée par un grand auteur (Chateaubriand)


La maison qu’habitaient alors mes parents est située dans une rue sombre et étroite de Saint-Malo, appelée la rue des Juifs : cette maison est aujourd’hui transformée en auberge. La chambre où ma mère accoucha domine une partie déserte des murs de la ville, et à travers les fenêtres de cette chambre on aperçoit une mer qui s’étend à perte de vue, en se brisant sur des écueils. J’eus pour parrain, comme on le voit dans mon extrait de baptême, mon frère, et pour marraine la comtesse de Plouër, fille du maréchal de Contades. J’étais presque mort quand je vins au jour. Le mugissement des vagues, soulevées par une bourrasque annonçant l’équinoxe d’automne, empêchait d’entendre mes cris : on m’a souvent conté ces détails ; leur tristesse ne s’est jamais effacée de ma mémoire. Il n’y a pas de jour où, rêvant à ce que j’ai été, je ne revoie en pensée le rocher sur lequel je suis né, la chambre où ma mère m’infligea la vie, la tempête dont le bruit berça mon premier sommeil, le frère infortuné qui me donna un nom que j’ai presque toujours traîné dans le malheur1

Lire la suite sur : http://www.etudes-litteraires.com/chateaubriand.php#ixzz2R1hswXbs
Anonyme
Posté le 21 avr. 2013
Merci beaucoup et voila ça donne ça : c'est bon ?
Je suis née un jour d’été, un samedi, le 22 juin 1998. Ce jour là mes parents avaient décidé de partir faire un tour dans la maison de ma grand-mère a coté de la plage dans le Sud de la France.
Il faut dire que je n'étais pas du tout attendue, ma mère n'était qu'à 8 mois et une semaine de grossesse.
Donc mes parents avaient décidé de profiter des premiers jours d’été pour aller à la plage...
Au début, tout va bien, ils profitent de la plage, ma mère se repose, tout va bien.
Soudain, alors qu'ils s'apprêtaient à quitter la plage vers le soir, ma mère ressent comme une petite douleur. Elle n'y fait pas attention, elle croit qu'elle a mal digéré quelque chose.

Et soudain ma mère est prise de contractions de plus en plus rapprochées, ils décident de partir, elle commence à être pliée en deux, mais impossible de rejoindre l'hôpital car la voiture est coincée. Mon père arrive quand même à prendre le volant et conduire ma mère a l’hôpital. Pendant tout le trajet ma mère hurler de douleur et répéter a mon père de se dépêcher car elle pensait ne pas tenir longtemps. Mon père lui disait de respirer.
Mon père qui conduisait se sentait inutile face à ma mère qui criait de douleur et de souffrance.
Finalement mes parents appellent les pompiers qui arrivent et accouchent ma mère dans le camion de secours.
Anonyme
Posté le 21 avr. 2013
Pour le texte de chateaubriand , on vient juste de l'étudier.
Anonyme
Posté le 21 avr. 2013
ce qui est embêtant c'est qu'il n'y a rien de vous....

Que faites vous des dialogues, des descriptions que je vous ai proposé d'ajouter.


Par ailleurs je vous suggère aussi de faire des remarques de votre point de vue d'aujourd'hui (des remarques qui seront au présent comme quand Chateaubriand dit "je ne revoie en pensée...")

Vous pouvez aussi parler de photos qui aujourd'hui sont dans les albums avec vous , nouveau né dans les bras de ....
Anonyme
Posté le 21 avr. 2013
on vous dit

sélectionner quelques détails et les développer. Choisissez un passage ou deux et développez , cela veut dire rajouter des éléments des dialogues, des commentaires etc...

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