Redaction

Publié le 2 janv. 2012 il y a 12A par Anonyme - Fin › 9 janv. 2012 dans 12A
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Sujet du devoir

J'ai une rédaction à faire au point de vue interne et en insérant des passage descriptifs. J'ai corigé mes fautes mes je voudrais en être sur et savoir si je suis bien en point de vue interne . Merci

Où j'en suis dans mon devoir

Rédaction
Je souhaiterais tellement décrire l'effet que cet endroit m'a fait ressentir lorsque je l'ai aperçu. Aujourd'hui encore , quand je le vois ,je suis ébloui par la joie de vivre que fait ressortir ce quartier.

Je venais de déménagé avec mes parents , mon frère et ma sœur dans la ville. Nous nous sommes installés dans un grand appartement meublé qui contenait quatre chambres dont une chambre d'ami où se trouvait un balcon qui donnait la vue sur le parc du quartier où jouissait une ambiance familiale entre les voisins . De là , je vis des enfants heureux , s'amusant entre eux . Je voulus en voir d'avantage mais ma petite taille m'en empêchaient . Je dû donc demander à ma mère de me porter , se qu'elle fit sans rouspéter . Je voyait un grand parc munit de deux grands toboggans rouges , un trampoline vert et une balançoire en bois . En face des jeux en plein air se trouvait un terrain d'herbe où étaient assises de jeunes mamans qui discutaient entre-elles tout en jetant un coup d'œil sur leurs enfants . Plus loin , sur des bancs du parc étaient assis de jeunes garçons innocent qui fumaient et qui rigolaient.

Tout me rendait joyeuse ; les enfants qui couraient , les mamans qui parlaient , les jeunes garçons qui rigolaient . Je me sentait déjà parmi eux , parmi cette famille , cette joie de vivre . Je me voyait déjà sortir tout les jours après l'école pour retrouver mes amis. Je me dépêchait donc d'enfiler mes chaussures , de demander l'autorisation à ma mère et je descendit les escalier en courant . Arrivée au parc , je regardait tout au tour de moi jusqu'à ce que je vis des enfants de mon âge venir vers moi . Cinq minutes plus tard , nous étions déjà en train de joués ensemble.

Quelque heures plus tard , je vis ma mère parlé avec les jeunes mamans. Elle me fit signe de la rejoindre . Arrivée a ses cotés , les jeunes mamans me souriait et l'une d'elle me pris dans ses bras et m'embrassa . Ma mère me fis comprendre que c'était ma tante . Je me disais bien que ce quartier m'était familier car j'appris plus tard que j'y venait étant plus petite .



9 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 2 janv. 2012
Oui, les récits à la première personne utilisent presque nécessairement le point de vue interne.
Anonyme
Posté le 2 janv. 2012
d'accord merci , mais pouvez vous me corriger sur mes fautes d'ortographe ou bien d'accord ? merci d'avance
Anonyme
Posté le 2 janv. 2012
Bonsoir, voici les fautes que j'ai relevé:
-je venais de déménager
- qui donnait la vue sur le parc n'est pas une faute d’orthographe mais grammaticalement cela est faux, tu dois dire qui donnait sur le parc tout simplement.
- ma petite taille m'en empêchait
-ce qu'elle fît
- sans rouspéter sonne très faux, sans discuter convient mieux.
-je me sentais déjà parmi eux
-je me voyais déjà sortir tous les jours
-je me dépêchais
-en train de jouer ensemble
-je vis ma mère parler
- les jeunes mamans me souriaient
- ce quartier m'étais familier
- j'y venais étant petite

J'en ai peut être oublié
Anonyme
Posté le 3 janv. 2012
merci beaucoup de votre aide
Anonyme
Posté le 3 janv. 2012
Mais je trouve que si je mais sans discuter , sa fait comme si la fille donne un ordre a la mère , que puis-je mettre ?
Anonyme
Posté le 3 janv. 2012
Mets alors sans chercher à comprendre
Anonyme
Posté le 3 janv. 2012
Rédaction y-a-t'il un sujet précis?
désolée, j'avais corrigé les fautes en rouge, mais ça ne passe pas.

Je souhaiterais tellement décrire l'effet (incroyable, formidable) que cet endroit m'a fait (ressentir : supprimer ou que j’ai ressenti en apercevant cet endroit) lorsque je l'ai aperçu. Aujourd'hui encore, quand je le vois (j’y retourne), je suis ébloui(e) par la joie de vivre (que fait ressortir) qui règne dans ce quartier.

Je venais de déménager avec mes parents, mon frère et ma sœur, dans la ville. Nous nous sommes installés dans un grand appartement meublé qui (contenait comportait, se composait de ) quatre chambres dont une chambre d'ami où se trouvait un balcon qui donnait (la vue : supprimer) sur le parc du quartier (où jouissait une ambiance familiale entre les voisins : mal dit, à reformuler : par exemple, « où on voyait tout de suite que tout le monde se connaissait : on aurait dit une grande famille, tellement l’ambiance paraissait chaleureuse .... » . De là, je vis des enfants heureux, s'amusant entre eux. Je voulus en voir davantage mais ma petite taille m'en empêchait. Je dus donc demander à ma mère de me porter, ce qu'elle fit sans (rouspéter) protester. Je voyais un grand parc muni (ou équipé, aménagé )de deux grands toboggans rouges , un trampoline vert et une balançoire en bois . En face des jeux de plein air se trouvait un terrain d'herbe où étaient assises de jeunes mamans qui discutaient entre elles tout en jetant un coup d'œil sur leurs enfants. Plus loin, sur des bancs du parc étaient assis de jeunes garçons innocents qui fumaient et qui rigolaient ( attention, style populaire. remplacer par plaisantaient ,?)

Tout me rendait joyeuse ; les enfants qui couraient, les mamans qui parlaient, les jeunes garçons qui riaient. Je me sentais déjà parmi eux , (parmi) appartenant à cette famille , partageant cette joie de vivre . Je me voyais déjà sortir tous les jours après l'école pour retrouver mes amis. Je me dépêchai (passé simple, pas de s : on peut remplacer par il se dépêcha) donc d'enfiler mes chaussures, de demander l'autorisation à ma mère et je descendis les escaliers en courant. Arrivée au parc, je regardai (remplacer par il pour savoir si imparfait ou passé simple : ici, il regarda ...) tout autour de moi jusqu'à ce que je vis des enfants de mon âge venir vers moi. Cinq minutes plus tard, nous étions déjà en train de jouer ensemble.

Quelque heures plus tard , je vis ma mère parler avec les jeunes mamans. Elle me fit signe de la rejoindre. Arrivée à ses côtés, les jeunes mamans me souriaient et l'une d'elle me prit dans ses bras et m'embrassa. Ma mère me fit comprendre que c'était ma tante . Je me disais bien que ce quartier m'était familier et j'appris plus tard que j'y venais étant plus petite.

ajouter une phrase ou deux sur l'émotion, la nostalgie, l'espoir de retrouver ces conditions idéales
Anonyme
Posté le 3 janv. 2012
magestiic95 , attention à ce que vous dites
Bonsoir, voici les fautes que j'ai relevé (relevées, les fautes
-je me dépêchai (sans s, c'est du passé simple)
- ce quartier m'était familier (avec un t, le quartier était familier à moi)

faites attention de ne pas embrouiller les choses davantage.
Mais au moins, vous avez le mérite de donner une réponse





Anonyme
Posté le 3 janv. 2012
Oui effectivement j'ai relevé deux fautes qui n'en étaient pas et en ait commis une.

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