Redaction d'une lettre de poli

Sujet du devoir

Sujet:
Dans une lettre adressée à ses parents , un soldat raconte et décrit sa vie dans les tranchées.

Critères de réussite:
-Respecter la disposition et l'écriture propres à une lettre. Pensez à la formule de politesse finale.
-Employer le passé composé en accordant correctement les participes passés.
-Employer le vocabulaire précis
-Evoquer les sensations et les sentiments du soldat(en tenant compte de la censure).
-Donner des nouvelles des camarades connus de la famille.
-Prendre en compte le destinataire : chercher à rassurer la famille.

Où j'en suis dans mon devoir

Bonsoir voici mon travail effectué:
"

Verdun, le 9 novembre 1916



Ma petite maman,



Maman, je suis arrivé à Verdun le 9 mars 1916. Pour arriver à ma tranchée nous avons dû évoluer au milieu des cadavres et des chevaux morts alors que les obus explosaient à quelques mètres de là. J’ai peur de ne plus vous revoir toi et papa.

Aujourd'hui, le 9 novembre 1916, cela fait huit mois que je survis dans les tranchées boueuses dont le sol est jonché de corps en décomposition. J’ai reçu trois accroches-cœurs.

Mon ami Pierre, le fils Pontard est mort il y a deux mois : le chef de troupe donna l’assaut en pleine nuit. Nous évoluions dans le no-man’s land quand soudain, nous entendîmes un boche hurler. C’est alors qu’une rafale de pruneaux tirée par les boches nous assaillit. J’eus le temps de me coucher ce qui ne fut pas le cas de Pierre qui se prit deux abeilles dans le torse. Je ne pu malheureusement pas ramener son corps jusqu’à la tranchée.

J’ai peur, et je me demande si on ne nous sacrifie pas pour rien car nous n’avançons pas.

Les tranchées sont horribles, elles sont tellement sales. J’ai des poux comme tout mon régiment et il y a trois mois, j’ai attrapé une grippe qui m’obligea à me blottir sur une banquette de tir durant une semaine. La mort est omniprésente dans la tranchée et avec les débris de corps que nous rassemblons, nous formons des remparts.

On ne nous nourrit pas, il nous arrive de passer une semaine sans manger. Pour boire, nous devons filtrer l’eau des flaques. Nous mangeons ce que nous pouvons. C’est horrible.

Des dizaines d’obus explosent chaque jour soulevant des gerbes de terre et déterrant des corps en décomposition.

Il m’arrive de penser que dans les tranchées adverses des hommes vivent dans le même calvaire que nous. La guerre est cruelle.

Je vous joint avec cette lettre un photo de moi, peut-être la dernière.

J’attends votre bafouille.

Je vous embrasse et je vous aime.



Richard"

Comme vous pouvez le voir : les points employé le passé composé et le point chercher a rassurer la famille ne sont pas respectée pour l'instant.

Ne voulant pas refaire les memes erreurs que les dernière redactions, faut-il mettre tous les verbes au passé composé ou que certains (dans ce cas lequelles?).
Et aussi comme me conseillierez vous , pour transcrire cette lettre vers le a rassurer la famille.

Si vous trouvez que je n'ai pas respectée les autres points , dites le moi.

Merci d'avance