Rédaction : peut-on aisément se mettre a la place de ceux qui souffrent de l'injustice et de la cruauté d'autres hommes ?

Tu peux prendre l'exemple de Candide de Voltaire

Peut-on aisément se mettre à la place de ceux qui souffrent de l'injustice et de la cruauté d'autres hommes ?

 

I. Comment sommes-nous informés ?

-ce que nous voyons

-les medias, les reportages, les témoignages

 

II. Comment réagissons-nous

- des réactions spontanées d'indignation, de compassion

-nous nous imaginons à leur place mais pendant quelques instants parce qu'il est difficile de se mettre à la place des exilés, des torturés, des exploités .../...

- puis vient l'oubli

 

III. Ce qui compte, c'est comment aider

- des instances pour que ces personnes s'expriment

- l'intervention de spécialistes

- des lois pour les protéger

-des associations pour accompagner

 

 

Bonjour

Malheureusement l'histoire passée et même actuelle regorgent d'exemples d'injustice,de cruauté, et de souffrances infligées par d'autres hommes...

J'aurais plutôt vu quelque chose comme

1 Intro Poser le sujet de l'existence de l'injustice, de la souffrance, de la cruauté subie par les hommes du fait d'autres hommes depuis très longtemps. Puis la problématique : Voir et comprendre cela, est-ce que cela équivaut à le ressentir, comme si nous étions à la place de ces victimes ? Et annonce du plan.

a- Lorsque nous sommes témoins directs de cela, lorsque nous sommes des témoins indirects (images, télé, radio, presse écrite,etc),( donner des exemples précis (exemple d'un cas individuel, d'un cas collectif etc)), comment réagissons-nous (si nous réagissons...) Là comme tu le vois cela correspond au 1 et 2 de Prairiale, en  gros.

Transition- Notre réaction  est émotionnelle, mais se mettre à la place de l'autre (qui souffre)  est-ce que c'est possible ? C a toi de voir la réponse mais elle est assez évidente. ..

b-Se mettre à la place de l'autre c'est être l'autre, c'est à dire ressentir ce qu'il ressent :

-Si nous avons nous-même été à un moment donné victime d'une injustice, de méchanceté, de cruauté, etc alors notre émotion peut se rapprocher fortement de celle des personnes que l'on voit souffrir, dans certains cas.Donner un exemple

-Si ces sentiments nous sont étrangers alors il paraît plus difficile de s'en rapprocher, mais cela ne signifie pas l'indifférence pour autant. Nous pouvons nous imaginer ce qu'ils vivent ou du moins essayer, en puisant dans notre vécu et celui de nos proches des éléments qui peuvent nous donner des indications

-Dans les deux cas de figure nous pouvons, en fonction de l'éducation que nous avons reçue, éprouver non pas ce qu'ils éprouvent mais un sentiment de colère, d'indignation, trouver tel traitement fait à telle(s) personne(s) injuste suppose que l'on nous ait appris ce qui est censé être juste, bien etc par opposition à ce qui est mal, que l'on nous ait inculqué des notions telles que la valeur des êtres vivants, l 'égalité entre les hommes, etc

Conclu :

Nous ne pouvons pas nous mettre à la place de ces personnes, même si nous réagissons.Car ressentir ce qu'il ressent suppose être lui, et cela ce n'est pas possible.

Ici une prise de position personnelle (exemple : le fait de  réagir est en soi déjà un pas important, l'indifférence serait la pire des options car elle conduirait à une banalisation des comportements cruels, injustes, et à terme à une déliquescence de notre humanité / c'est juste un exemple, il y en a plein d'autres, tu dois trouver ton idée à toi)

En revanche nous pouvons réagir et éprouver des émotions à leur égard, peine, pitié etc, et parfois cela peut nous conduire à agir lorsque cela est possible. = Ouverture de la conclusion = les idées du 3 de Prairiale pourraient convenir ici