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Sujet du devoir
Bonjour !En fait dans cette rédaction je dois être en statut interne et parler soit à la première, soit à la troisième personne du singulier.
Je dois m'imaginer à la place d'un objet, aliment, animal etc . Tout ce que je veux et puis dire ce qu'il se passe sans montrer de quoi je parle.
Le professeur nous a donné un exemple :
"J'étais dans ce pré vert, au milieu de nul part et je voyais au loin plusieurs taches blanches, des barrières peut-être. Puis je me fis projeter je ne sais comment au loin, je montais, montais, montais et atteignis une mousse blanche, puis je retombai très vite jusqu'à atteindre ce pré et je passai la barrière que j'avais aperçu et entendis : BUT !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!"
A peu près cela ^^' , mais bon si vous l'avez compris, on parlait d'un ballon (Rugby plutôt).
Je vous montre mon travail.
Où j'en suis dans mon devoir
J'ai choisi " L'oreiller ", je n'ai pas encore écrit grand grand chose mais j'ai des idées à vous faire part pour m'aider à tout mettre en place.Ce que j'ai écrit :
"Je venais de me poser, blanc comme j'étais. A chaque fois que j'avançais je changeais de forme, me remoulais ... J'avais l'impression d'être un oiseau, mes plumes étaient si blanches, j'en avais tellement."
Je n'ai écrit que cela.
Pour demain !!
Ah oui, une chose importante que le professeur à dit : " MINIMUM 15 LIGNES ".
Merci d'avance de votre aide ! Mademoiselle.M
10 commentaires pour ce devoir
Merci énormément, j'essaye de me débrouiller pour la suite, car à la fin il faut faire deviner l'oreillet.
oreiller *
Rédaction finale :
On venait de me poser ou plutôt de me jet, sans aucune délicatesse sur un espace qui semblait confortable, mais le choc fut dur !
Et un coup de poing par ci, et un coup de poing par là. Mes plumes en frémissaient d'horreur. Qu'avais-je donc fait pour mériter un tel traitement ?
Et puis le calme, mes plumes bien gonflées pouvaient enfin respirer, se caresser, s'aérer. Je restais seul, mais tout juste le temps pour qu'une tête vienne se poser sur moi. Mon corps devenait mou et aplatit, puis quand cette tête s'enleva je repris mes esprits et redevenait moi même.
La journée personne ne prête attention à moi, et la nuit, je suis là pour leur confort et pour le faire plaisir. On m'écrase, me fais mal, me torture, se sert de moi. Et je reste silencieux, je ne parle pas. Je reste muet. J'ai l'impression que le jour je suis un oiseau serein et le soir un pigeon de laboratoire.
Je reste quand même sur mes gardes.
On venait de me poser ou plutôt de me jet, sans aucune délicatesse sur un espace qui semblait confortable, mais le choc fut dur !
Et un coup de poing par ci, et un coup de poing par là. Mes plumes en frémissaient d'horreur. Qu'avais-je donc fait pour mériter un tel traitement ?
Et puis le calme, mes plumes bien gonflées pouvaient enfin respirer, se caresser, s'aérer. Je restais seul, mais tout juste le temps pour qu'une tête vienne se poser sur moi. Mon corps devenait mou et aplatit, puis quand cette tête s'enleva je repris mes esprits et redevenait moi même.
La journée personne ne prête attention à moi, et la nuit, je suis là pour leur confort et pour le faire plaisir. On m'écrase, me fais mal, me torture, se sert de moi. Et je reste silencieux, je ne parle pas. Je reste muet. J'ai l'impression que le jour je suis un oiseau serein et le soir un pigeon de laboratoire.
Je reste quand même sur mes gardes.
Bonsoir,
Tu aurais pu aussi partir sur une note positive, comme quoi l'oreiller était content que le soir quelqu'un se pose sur lui, pour lui tenir compagnie, toute la journée il n'attendait que ça, et espérait même que son propriétaire rentre un peu plus tôt, pour faire une petite sieste...^^
Voilà, Bonne Continuation à toi =)
Tu aurais pu aussi partir sur une note positive, comme quoi l'oreiller était content que le soir quelqu'un se pose sur lui, pour lui tenir compagnie, toute la journée il n'attendait que ça, et espérait même que son propriétaire rentre un peu plus tôt, pour faire une petite sieste...^^
Voilà, Bonne Continuation à toi =)
Je confirme. Merci ! Sinon ça faisait sobre .
Je confirme. Merci ! Sinon ça faisait sobre .
Désolé pour le double .
Je restai (passé simple)
Mon corps devint (passé simple)
aplati (participe passé)
redevint (passé simple)
pour leur faire...
me fait (3) personne du singulier)
J'aime bien l'avant dernière phrase.
Mon corps devint (passé simple)
aplati (participe passé)
redevint (passé simple)
pour leur faire...
me fait (3) personne du singulier)
J'aime bien l'avant dernière phrase.
3° personne du singulier!!
Ils ont besoin d'aide !
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"Je venais de me poser, blanc comme j'étais. A chaque fois que j'avançais je changeais de forme, me remoulais ... J'avais l'impression d'être un oiseau, mes plumes étaient si blanches, j'en avais tellement."
On venait de me poser ou plutôt de me jeter, sans aucune délicatesse sur un espace qui semblait confortable, mais le choc fut dur! Et un coup de poing par ci et un coup de poing par là. Mes plumes en frémissaient d’horreur. Qu'avais-je donc fait pour mériter un pareil traitement?
Et puis, le calme, mes plumes bien gonflées pouvaient enfin respirer, se caresser, s'aérer. Je restai tout de même sur mes gardes....
à toi!
Bonne soirée