REECRITURE

Publié le 19 janv. 2012 il y a 12A par Anonyme - Fin › 20 janv. 2012 dans 12A
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Sujet du devoir

Il faut réécrire un passage de Vipère au poing en changeant le point de vue. Il faut qu'il soit interne à Folcoche, la mère.

Où j'en suis dans mon devoir

La prof nous as donné quelques sentiments de Folcoche et une liste des évènements mais elle n'a pas eu le temps de finir de nous expliquer... Pour ceux qui on lu le livre, qui l'on étudié ou quoi, pouvez-vous m'aider? Je peux vous écrire le passage si vous voulez...
Je n'arrive vraiment pas, ça fait deux jours que j'essaie et je dois le rendre demain! Aidez-moi :(. J'avais pensé déjà le faire à la troisième personne car pour le vocabulaire je pense que c'est plus simple...



14 commentaires pour ce devoir


willffy
willffy
Posté le 19 janv. 2012
oui, il; faut au moins le début du passage, on te mettra sur la piste, et ensuite tu pourras continuer.

Bonne soirée.
willffy
willffy
Posté le 19 janv. 2012
"J'avais pensé déjà le faire à la troisième personne car pour le vocabulaire je pense que c'est plus simple... "

Puisque c'est interne à Folcoche, il peut y avoir alternance de 1° personne et de 3° personne, selon qu’elle parle d’elle ou d'autres personnes.
Anonyme
Posté le 19 janv. 2012
Le passage c'est: Déjà nous nous refroidissions. L'enthousiasme tomba tout à fait lorsque nous aperçûmes, au bas du perron, Mme Rezeau, raide, empalée sur son indignation.
" Vous n'avez pas entendu la cloche?
- Quelle cloche?" répondit innocemment mon père.
Mme Rezeau haussa les épaules. Il n'y a qu'une cloche dans le pays: la nôtre.
" Voilà trois fois que je fais sonner à toute volée. Le comte de Soledot est venu vous voir. Vous savez pourquoi... Il s'agit de ce poste de conseiller, qui vous revient de droit.
- Mais je n'en veux pas! cria M. Rezeau, vous savez bien, vous aussi, que je n'en veux pas!
- Ceci est une autre question. En attendant, je ne peux croire qu'aucun d'entre vous n'ait entendu la cloche.
- Nous avons dépassé le vallon des Orfres, hasardai-je.
- Toi, je ne te demande rien, mon garçon! Je me doute bien que vous avez tout fait pour détourner l'attention de votre père. Tu n'iras pas à la chasse la prochaine fois. "
Alors se produisit un évènement considérable. Le grand chasseur se campa devant son épouse, les veines de son cou se gonflèrent et le tonnerre de Dieu lui sortit de la bouche:
" Non, mais, Paul! Est-ce que tu vas nous foutre la paix, oui!
- Vous dîtes?"
Folcoche restait pétrifiée. Papa ne se contrôlait plus. Ce lymphatique devint violet.
" Je dis que tu nous casses les oreilles. Laisse ces enfants tranquilles et fous'moi le camp dans ta chambre."
Nous jubilions.Mais l'excès de cette colère de faible, bien douce à nos tympans, nuisait à notre cause.Folcoche connaissait sont métier. Elle ne bougea
Anonyme
Posté le 19 janv. 2012
pas d'un centimètre, se statufia dans le genre noble.
" Mon pauvre Jacques, dans quel état te mets-tu devant tes enfants! Tu dois être souffrant."
Déjà M. Rezeau regrettait ses cris. D'un ton bourru, qui voulait sauver la face, il commanda: ' Portez ce gibier à la cuisine. Moi, je vais me changer.'
Il battit en retraite, tels ces généraux vainqueurs qui ne savent exploiter un succès provisoire. Restée maîtresse du terrain, Folcoche eu le soin de en pas se venger trop vite.
" Perrault, qu'est-ce que c'est que cette bête-là?
-Mais c'est un renard, madame! et un charbonnier, encore!
- Il n'est pas gros. "
Perrault, vexé, lui dédia un mauvais regard.
Anonyme
Posté le 19 janv. 2012
" Vous en ferez tout de même une belle fourrure, madame. "
Une nuance d'intérêt passa dans les yeux de Folcoche, mais les remerciements lui coûtaient trop. Depuis plusieurs mois, elle cherchait à balayer le garde-chasse jardinier, dont les fonctions, dans son esprit, étaient déjà dévolues à Barbelivien. (De fait, Perrault fut liquidé peu après.)
Anonyme
Posté le 19 janv. 2012
Voilà, c'est ça mon passage. Merci d'avance :$
Anonyme
Posté le 19 janv. 2012
Je ne vois pas comment débuter..
Anonyme
Posté le 19 janv. 2012
Celui que j'ai écris en commentaire juste au dessus :)
willffy
willffy
Posté le 19 janv. 2012
Déjà nous nous refroidissions. L'enthousiasme tomba tout à fait lorsque nous aperçûmes, au bas du perron, Mme Rezeau, raide, empalée sur son indignation.
"Ils n'ont pas entendu la cloche! et mon mari, cet innocent qui demande "quelle cloche?" comme s'il y avait plusieurs cloches dans le pays. Voilà trois fois que je fais sonner à toute volée. Le comte de Soledot est venu le voir pour ce poste de conseiller qui lui revient de droit. Il n'en veut pas, je le sais bien...
Anonyme
Posté le 19 janv. 2012
... Mais je fis revenir le sujet sur nôtre cloche et Jean hasarda:
" Nous avons dépassé le vallon des Orfres.
- Toi, je ne te demande rien, mon garçon! rétorquai-je, je me doute bien que vous avez tout fait pour détourner l'attention de votre père. Tu n'iras pas à la chasse la prochaine fois. "
Je fut ensuite déconcertée. Mon époux, pour la première fois, bien que pathétique, haussa le ton avec moi et me lança des propos plutôt injurieux.
" Non, mais, Paule! Est-ce que tu vas nous foutre la paix, oui!"
Pétrifiée, je répondis d'abord simplement: "Vous dîtes?"
A ce moment là cet homme ne se contrôlait plus. Il devint violet et les veines de son coup avaient gonflées.
" Je dis que tu nous casses les oreilles. Laisse ces enfants tranquilles et fous-moi le camp dans ta chambre."

Ca va comme ça pour la suite? Par contre après j'ai un blanc pour continuer...
Anonyme
Posté le 19 janv. 2012
Je ne bougeai pas d'un centimètre. Je connaissais bien mon métier et ce n'était pas lui qui aller mettre en pièce tout ce que j'avais construit jusque là. Je lui fis alors regretter ses cris.
" Mon pauvre Jacques, dans quel état te met-tu devant tes enfants! Tu dois être souffrant. "
Pour sauver la face, il ordonna d'un ton bourru: "Portez ce gibier à la cuisine. Moi, je vais me changer. "
Anonyme
Posté le 19 janv. 2012
Pouvez vous me dire ce que vous pensez du peu que j'ai fais? (commentaire avec l'autre personne), et m'aider pour la suite? :$
Anonyme
Posté le 19 janv. 2012
Voici un début :

Je les vis arriver, à la queue leu leu, tout rouges et dépenaillés.
Furieuse, je leur demandai :
" Vous n'avez pas entendu la cloche?
- Quelle cloche?" répondit bêtement mon mari.
Comme s'il y avait une autre cloche que la nôtre dans le pays !
" Voilà trois fois que je fais sonner à toute volée. Le comte de Soledot est venu vous voir. Vous savez pourquoi... Il s'agit de ce poste de conseiller, qui vous revient de droit.
Mon mari osa élever la voix et prétendit qu'il ne voulait pas de ce poste !
- Ceci est une autre question, le coupai-je. En attendant, je ne peux croire qu'aucun d'entre vous n'ait entendu la cloche.
Et voilà que Brasse-Bouillon s'y met aussi et me répond :
- Nous avons dépassé le vallon des Orfres.
C'en était trop!
Anonyme
Posté le 19 janv. 2012
Merci pour ton début mais, aurais tu une idée pour la fin? je n'arrive pas à partir de : Il battit en retraite, tels ces généraux vainqueurs qui ne savent exploiter un succès provisoire. Restée maîtresse du terrain, Folcoche eu le soin de en pas se venger trop vite.
" Perrault, qu'est-ce que c'est que cette bête-là?
-Mais c'est un renard, madame! et un charbonnier, encore!
- Il n'est pas gros. "
Perrault, vexé, lui dédia un mauvais regard." Vous en ferez tout de même une belle fourrure, madame. "
Une nuance d'intérêt passa dans les yeux de Folcoche, mais les remerciements lui coûtaient trop. Depuis plusieurs mois, elle cherchait à balayer le garde-chasse jardinier, dont les fonctions, dans son esprit, étaient déjà dévolues à Barbelivien. (De fait, Perrault fut liquidé peu après.

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