Sculpture a la renaissance

Publié le 20 sept. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 5 oct. 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Bonjour, je dois
repondre a 3 question :
-Quels sont les principales innovations de la peinture de la renaissances
-Quels sont les grand sculpteur de la renaissances?
-Quels sujet choisisent-ils de sculpter?

C'est un travaillent de groupe on est 3 moi je travaillent sur la sculpture et un potes travaillent sur la peinture; le dernier s'ocupe de tout finalisé pour rendre propre et presentable

Où j'en suis dans mon devoir

j'ai commencé par faire les pages de gardes et chercher tout ce qui peut maider
Le travail sera a faire sur power point



6 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 20 sept. 2010
voila je sais pas si c'est sa mais vaut vérifier et ya des truck inutile mais c'était dans mon encyclopédie :

Le concept de Renaissance est difficile à définir.

Selon Jean Delumeau (en 1991), spécialiste de la Renaissance, le mot Renaissance nous est venu d'Italie et des arts dès la fin du XIVe siècle (les Italiens disent aujourd'hui Rinascimento).

Le terme de Renaissance a été repris en 1860 par l'historien de l'art suisse Jacob Burckhardt (1818-1897) dans son livre Civilisation de la Renaissance en Italie.

Pour certains auteurs, cette période peut être très longue, pour d'autres très courte :

* D'un point de vue académique français, l'Histoire de la Renaissance commence après la fin du Moyen Âge, en 1453 (chute de Constantinople), et se termine à la mort de Henri IV en 1610.
* D'autres auteurs la font débuter en 1492 (découverte de l'Amérique par Christophe Colomb, prise de Grenade).
* D'autres auteurs vont de Pétrarque (1303-1374) à la mort de Shakespeare (1616), voire à celle de Galilée (1642).
* D'autres encore vont de la première implantation portugaise en Afrique du Nord (1415) voire jusqu' à la mort de Charles Quint (1558).
* D'autres lui donnent naissance à la fin de la Reconquista Espagnole (2 janvier 1492) alors que Ferdinand II d'Aragon et Isabelle de Castille éliminent le dernier royaume musulman de la péninsule espagnole.

D'autres auteurs enfin vont jusqu'à mettre en doute la pertinence d'une définition temporelle. Au sujet de ce débat, voir, par exemple, Paul Oskar Kristeller (1905-1999).

* D'autres vont croire que c'est vers les années 1450 avec l'invention de l'imprimerie par Gutenberg que la renaissance débuterait.

Jean Delumeau (en 1999) indique que l'on a donné au terme un sens toujours plus large.

Il importe de reconnaître les causes de la Renaissance, ses différents aspects et de distinguer les interactions culturelles entre les différents pays d'Europe, selon chaque domaine.

Jean Delumeau qualifie ainsi la Renaissance de grande marche en avant de l'Europe au XVe siècle et au XVIe siècle.

L'historien René Rémond indique que ce qui caractérise une renaissance, c'est :

* l'apparition de nouveaux modes de diffusion de l'information,
* la lecture scientifique des textes fondamentaux,
* la remise en honneur de la culture antique (littérature, arts, techniques),
* le renouveau des échanges commerciaux,
* les changements de représentation du monde.

Dans le sens de renouveau dans les arts, la littérature, les sciences, le terme de renaissance peut désigner d'autres périodes de l'Histoire : la renaissance carolingienne (les lettrés de cette époque parlaient de renovatio), la renaissance ottono-clunisienne (920-1000), la renaissance du XIIe siècle (1060-1200). Les historiens parlent quelquefois de pré-renaissances, lire à ce sujet l'article Renaissance en historiographie. a♥
Apparition de la notion de Renaissance [modifier]

Dans son cours au Collège de France en 1942-43, l'historien français Lucien Febvre a montré que c'est Jules Michelet qui a inventé le terme de Renaissance autour de 1840 de façon assez arbitraire et pour des raisons personnelles[1]. En effet, Jules Michelet, travaillant sur le roi Louis XI alors qu'il était attristé par la perte de son épouse et contrarié par l'évolution politique conservatrice de la Monarchie de juillet, eut un besoin profond de nouveauté, de renouvellement. Or sa conception de l'histoire était telle qu'il identifiait ce qu'il vivait et ce qu'il ressentait du passé ; il a donc imaginé une Renaissance après le règne de Louis XI, par l'intermédiaire des guerres d'Italie.

Ce point de vue original a été présenté par Thomas Lepeltier dans un article de la Revue des Livres en 2000[2]. Il est cependant contesté par de nombreux historiens qui voient des aspects de césure entre le Moyen Âge et la Renaissance. Ce qui est certain, c'est que la rupture entre Moyen Âge et Renaissance est moins radicale que ce qu'on ne le disait jadis.
Naissance d'une identité européenne [modifier]

L'historien anglais John Hale, quant à lui, souligne que les lettrés du Moyen Âge avaient conscience qu'ils vivaient sur un continent appelé Europe par les géographes, pour le distinguer de l'Asie et de l'Afrique.

En revanche, la grande masse des habitants de l'Europe n'avaient jamais entendu ce terme : ils lisaient difficilement et « le clergé leur parlait comme à des chrétiens appartenant au continent choisi par la Divine providence pour être le foyer de la vraie foi. »

En somme, les Européens n'avaient pas pleinement conscience de leur identité culturelle.

Voir aussi Mondialisation avant le XVIIe siècle
Diffusion de l'information par l'imprimerie [modifier]

L'une des inventions qui eut le plus d'impact sur les hommes de la Renaissance était la création de l'imprimerie[3].

Avant l'invention de ce procédé par Gutenberg vers 1450, l'écriture des livres était faite à la main, par des clercs, qui étaient les seuls capables de maîtriser les techniques d'écritures : au XIe siècle et XIIe siècle, les manuscrits étaient retranscrits par des moines dans les scriptoria. C'était l'une des deux principales tâches des moines à l'époque ; ils les embellissaient par des enluminures. D'autre part, la langue employée dans les manuscrits était le latin.

Les universités disposaient d'un quasi-monopole dans l'éducation et la diffusion de l'information. Les puissantes universités de Bologne, de Paris, de Salamanque, d'Oxford et de Cambridge, étaient seules habilitées à diffuser le savoir, selon les méthodes éprouvées de la scolastique. Le droit était l'une des principales disciplines dans ces universités.

Le savoir était ainsi réservé aux clercs, qui disposaient de l'éducation nécessaire à la compréhension des textes.

L'imprimerie permit brusquement d'ouvrir l'accès à la connaissance à d'autres cercles. Il devint possible, par l'édition de livres à partir du milieu du XVe siècle, de mieux comprendre les faits.

Par exemple, l'Imago mundi de Pierre d'Ailly fut écrit en 1410 et imprimé en 1478. Il fut l'un des fondements de la connaissance géographique utilisée par Christophe Colomb et les navigateurs pendant les grandes découvertes.

Les textes imprimés bouleversèrent la hiérarchie des valeurs. À l'université de Paris, par exemple, la faculté des arts devint au XVIe siècle la faculté la plus prestigieuse, devant celle de théologie.

Les bibliothèques commencèrent à se développer. En France, les rois installèrent des bibliothèques dans leurs résidences.
Lecture scientifique des textes fondamentaux [modifier]

La première édition de la Bible apparut en 1455. Ses traductions en langues vulgaires apparurent ensuite à des dates échelonnées selon les différents pays :

Les premiers textes imprimés concernaient assez souvent la religion et ceci pendant une cinquantaine d'années.

À partir du début du XVIe siècle, l'impression de textes profanes prit plus de place, ce qui explique le bouleversement des idées à cette époque.

Il faut mentionner la Grande Charte anglaise, qui existait déjà depuis 1215.

On vit aussi la formation des grandes langues européennes au XVIe siècle, comme le français qui devint langue officielle de l'administration en France par l'ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539.
Relecture de l'Antiquité [modifier]
Article détaillé : Humanisme de la Renaissance.

Il est fréquent de dire que durant la Renaissance, on s'intéressa de nouveau à l'Antiquité, ce qui accompagna le mouvement intellectuel de l'« humanisme »[4].

En fait, l'Antiquité n'était pas inconnue au Moyen Âge :

* La culture antique était conservée bien avant le XVe siècle par Isidore de Séville, Bède le Vénérable…,
* Platon était déjà connu à la cour de Charlemagne (même si celui-ci avait des difficultés à écrire), sous l'influence de plusieurs lettrés (Alcuin…),
* Les auteurs tels qu'Ovide, Virgile, Cicéron, (liste très incomplète)…étaient connus.

Ce qui est juste, c'est que cette culture était réservée à une élite composée essentiellement de clercs, dans les monastères, puis, à partir du XIIIe siècle, dans les écoles urbaines, c'est-à-dire les premières universités européennes (école scolastique).

On sortit progressivement de cette situation de monopole :

* Pétrarque et ses amis, dès le XIVe siècle (Trecento) élargirent la gamme des auteurs antiques connus,
* L'« humaniste » Flavio Biondo découvrit de nouvelles œuvres d'auteurs romains et entreprit des fouilles archéologiques dans le Forum romain (vers 1430),
* En 1453, Constantinople fut prise par les Turcs ottomans, qui brûlèrent la bibliothèque,

La même année l'invention de l'imprimerie allait permettre d'amplifier le phénomène.

Par conséquent :

* L'archéologie permit de redécouvrir l'art antique : sculpture, arts décoratifs...
* La connaissance de la culture antique s'élargit à davantage d'auteurs antiques (latins et grecs) et se répandit d'abord en Italie, puis en Europe. Cette culture imprégna un nouveau réseau d'« humanistes » (Érasme, Thomas More, Guillaume Budé…), qui constituèrent une nouvelle élite.

En fait, si le terme humanités existait déjà, le terme humanisme ne fut employé qu'à partir du XVIIIe siècle (selon Jean Delumeau).
Changement de représentation du monde [modifier]

Dans le monde cultivé des universités occidentales, on avait conscience depuis l’intégration des systèmes de l’antiquité grecque (Ptolémée, Aristote, Ératosthène), c’est-à-dire depuis les XIIe et XIIIe siècles, que la Terre était ronde. Cette représentation n’était pas encore très diffusée dans la société occidentale avant le XVe siècle.

Entre les XIIe et XVe siècles, les informations géographiques se sont enrichies considérablement à partir d'un ensemble de sources, incluant, outre les philosophes et géographes grecs déjà cités, l’astronome arabe Al-Farghani, l’explorateur vénitien Marco Polo (voyages en Asie), le cardinal français Pierre d'Ailly (auteur de l’Imago Mundi, xxx en 1410, imprimé en 1478).

Avant la Renaissance, on se représentait donc, dans les milieux cultivés, la terre comme sphérique, les terres émergées connues (Europe, Asie, Afrique) occupant l'hémisphère nord, dans un secteur d'environ 180 °.

On savait donc qu’il était théoriquement possible d’atteindre l’Asie sans passer par le bassin oriental de la Méditerranée et le Moyen-Orient, occupés par les Turcs, après la prise de Constantinople (1453), soit en contournant l’Afrique par voie de mer en passant au sud, soit en allant vers l’ouest.

On était à la recherche d’autres voies commerciales. Les navigateurs portugais cherchèrent d’abord à contourner l’Afrique. On évitait ainsi les dangers liés à l’emprise ottomane sur l’est du bassin méditerranéen.

La boussole, le sextant, le loch et l’astrolabe (utilisé pour la première fois par Christophe Colomb) apparurent en Europe. Ils permettaient de s’aventurer plus loin des terres. Mais on ne connaissait pas bien la distance à parcourir.

Christophe Colomb se lança donc à l’assaut de l’océan Atlantique (500 ans après les Vikings). Un ensemble de navigateurs portugais et espagnols découvrirent l’Amérique centrale puis du sud, les Français et les Anglais atteignant l’Amérique du Nord.

La découverte du nouveau monde eut un très grand retentissement en Europe : elle diffusa la connaissance de l’existence d’un nouveau continent, auquel le Gymnase Vosgien à Saint-Dié donna le nom d’Amérique en 1507.

Ces explorations, connues sous le nom de Grandes découvertes, enrichirent considérablement les relevés cartographiques (voir Mercator). Elles permirent d’identifier de nouvelles terres émergées et d’affiner les contours des continents.

Des expéditions chinoises s’étaient lancées aussi à l’assaut des océans (indien) pour établir des échanges avec l’Arabie et l’Afrique (amiral Zheng He, 1415, soit 80 ans auparavant), mais furent arrêtées par l’administration chinoise.

La découverte de l'héliocentrisme, objet de nombreux débats, n’a pas eu d'influence pendant la Renaissance : Nicolas Copernic fit publier ses thèses héliocentristes à sa mort en 1543, mais celles-ci furent interdites en 1616 puis « enterrées » au moment de l’affaire Galilée (1633, pendant la guerre de Trente Ans) jusqu’au milieu du XVIIIe siècle. Il serait donc inexact de parler de révolution copernicienne pour la Renaissance, même s’il y eut effectivement un changement important de représentation du monde.
Échanges commerciaux [modifier]

Les échanges commerciaux en Méditerranée c'est-à-dire la triade amorcés après la période des Croisades, continuèrent, surtout depuis les ports italiens de Venise et Gênes. Ces Républiques acquirent ainsi une grande puissance.

La nouveauté vint, dès le XVe siècle, du contournement de l'Espagne par les grandes voies maritimes, délaissant les routes commerciales continentales traditionnelles, qui passaient par les anciennes foires de Champagne par exemple.

La conséquence fut le déclin des foires de Champagne, très florissantes au Moyen Âge et le développement dès le XVe siècle des grands ports d'Europe du Nord (Bruges, Londres, villes hanséatiques…), qui devinrent en même temps des foyers d'activité culturelle importants.

Alors que la France était encore en pleine guerre de Cent Ans, on assistait ainsi à des échanges entre les grandes villes d'Italie et les grands ports du nord de l'Europe (Bruges, Londres…). La Bourgogne était également prospère.

Au XVIe siècle, les puissances ibériques s'initièrent grâce aux grandes découvertes, permirent des échanges avec l'Afrique, l'Amérique centrale et du Sud, l'Inde (épices), l'Amérique du Nord, l'Extrême-Orient.
En France : le français devient langue officielle [modifier]

En 1539, François Ier, par l'ordonnance de Villers-Cotterêts, proclame le français comme langue officielle. Le français devient ainsi la langue officielle du droit et de l'administration, dans les actes juridiques, à la place du latin. François Ier installe également la bibliothèque royale au château de Fontainebleau.

Le travail linguistique au sein des Institutions permet à la langue française de dépasser les frontières des seules communautés de clercs. Il atteint les érudits (les humanistes).

L'usage des dialectes tend à diminuer, mais il reste très important dans l'ensemble de la France : à la veille de la Révolution française les trois quarts de la population parlaient encore un dialecte.
Changement de représentation [modifier]

Les critères de la Renaissance identifiés par René Rémond correspondent à un changement de représentation du monde.

Le philosophe Michel Foucault considère que la représentation du monde change à différentes époques de l'Histoire : Renaissance, âge classique et Lumières, Mondialisation. Il appelle épistémè la conception du monde liée à une époque. On peut considérer que la Renaissance correspond à un changement d'épistémè par rapport à celui du Moyen Âge.
Grandes périodes de la Renaissance [modifier]
Anonyme
Posté le 20 sept. 2010
j'espère t'avoir aider
a bientôt !!
Anonyme
Posté le 20 sept. 2010
merci c gentil jaime bien c e site comme meme sans conaitre els personnes les personnes il taident
Anonyme
Posté le 21 sept. 2010
Prend comme exemple Michel Ange : il a renoué avec l'art antique qui montrait le mouvement et la perfection de l'anatomie. Les inspirations de Michel Ange reflètent la renaissance avec certains thèmes propres à l'antiquité même si il a sculpté des oeuvres religieuses (car c'était de là que venaient les principales commandes).

vois le lien suivant :http://fr.wikipedia.org/wiki/Michel-Ange
Anonyme
Posté le 1 oct. 2010
Donc si tu bosses sur la sculpture voilà qq indications ;)
Grands sculpteurs de la Renaissance : Michel Ange bien sûr, Donatello, Giambologna pour les plus connus mais il y en a bien d'autres...
Les sujets représentés sont le plus souvent mythologiques (David par exemple qui a été représenté par les trois) mais aussi religieux car les artistes à l'époque n'avaient pas tellement le choix du sujet, ils répondaient à la commande !
Voilà pour t'aider à démarrer ;)
Anonyme
Posté le 4 oct. 2010
pour les grands sculpteurs de la renaissance :
Giovan Francesco Rustici 1475-1554. Un sculpteur de la Renaissance entre Florence et Paris.
Tu as aussi le célébre Boticcelli ou encore Giovan Francesco Rustici 1475-1554, sculpteur de la Renaissance entre Florence et Paris, Marco della Robbia....
Les sculptures sont surtout les corps humains souvent représentés nus.
Tu peux parler de "la piéta".


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