un salut inespéré marc dugain

Publié le 20 déc. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 27 déc. 2013 dans 10A
12.00 / 20
5

Sujet du devoir

III. (4pts)

1. Ou le heros trouve t-il secours ?
Le lieu est -il rassurant pour lui ?
justifiez votre reponse en vous appuyant sur ce que vous savez de sa vie passée

2. Lignes 18-21
a. quel nouveau personnage apparait alors ?
b. quelle impression eprouve le narrateur a son contact ?
c. citez 4 images a l'appui de votre reponce.
relevez a la ligne 16 une image qui annonce cette impression .

3.
a. Quels sentiments eprouve le heros a la fin du texte ?
b. justifiez votre reponse par l'analyse de quelques expressions du texte.

IV. REDACTION

"desole de vous avoir fait attendre, j'ai attendu que personne ne nous regarde pour vous happer"
vous imaginerez la rencontre entre le jeune homme et son sauveur. Ce dernier expliquera son action et son attitude. Vous ferez une large part a l'analyse des sentiments du jeune resistant. VOTRE DEVOIR SE TERMINERA PAR UN COURT PASSAGE QUI RACONTE LE DENOUEMENT DE CETTE SITUATION . merci

Où j'en suis dans mon devoir

la question n°1 ....................................................................MERCI DE VOTRE AIDE



11 commentaires pour ce devoir


willffy
willffy
Posté le 20 déc. 2010
Nous n'avons pas forcément les textes que vous étudiez, par conséquent, il est difficile de vous aider.

Bonne journée.
Anonyme
Posté le 20 déc. 2010
(Para-texte)
Pendant la 2nde guerre mondial un jeune homme devient membre de la résistance comme le veut son père. au cour d'une action le héros se retrouve seul,les trois hommes qui devaient le récupérer en voiture ne viennent pas au rdv .

(Texte)
J'ai attendu une demie heure. Il était convenu entre nous qu'au delà de ce délais on se dispersait. La panique m'a envahie. Pas par peur d’être dénoncer et arrêter. Mais parce que pour la première fois depuis mon saut dans la clandestinité, la machine qui se comportait jusqu'ici comme un mouvement d'horlogerie se déréglait. Ceux qui m'avaient déposé a cet endroit le matin ne risquaient pas de venir me chercher avant de longue heures a condition qu'il sachent et que le quadrillage du canton ne soit pas déjà en place. De grosse gouttes de sueur coulaient le long de mes mains moites. J'étais pris dans la nasse comme un homard distrait. Le cloisonnement opérait contre moi. Impossible de retourner d'ou je venais. Et je ne savait ou aller. Et plus je tournais en rond, plus j'avais l'impression d’être surveillé, plus je voyais dans le regard des autres celui d'un indicateur. Il s'est mit a pleuvoir. Des gouttes plates qui martelaient crescendo comme les applaudissements d'un ovation debout. Je tournais en rond autour de l’église, m'abritant sous ces contre-forts dont chaque sculpture me sautaient au visage tel une apparition satanique. Plus je tournais, plus je me sentais observer. Brusquement une porte de coté c'est ouverte. Tel qui donnait sur sacristie. une main de fer m'a tiré de l’intérieur en referment l’énorme porte en chêne d'un seul coup d'épaule. Un quasimodo en soutane se tenait devant moi. Un tête de démon, une carrure de fort des halles de grosses lèvres qui habitaient des dents irrégulière et gâtées je n'avaient jamais mit les pieds dans une église. pas même au enterrement de famille ou mon père refusait de se rendre a la cérémonie religieuse. Mon père n'avait aucune tolérance pour l'opium du peuple. Du coup on étaient les premiers au cimetière et on subissaient les regards foudroyants des bigots qui accompagnaient le cercueil, comme si on offensait la mort. Une voix de stentor s'était levé :
- désolé de vous avoir fait attendre, j'ai attendu que personnes ne nous regarde pour vous happer
Anonyme
Posté le 20 déc. 2010
(Para-texte)
Pendant la 2nde guerre mondial un jeune homme devient membre de la résistance comme le veut son père. au cour d'une action le héros se retrouve seul,les trois hommes qui devaient le récupérer en voiture ne viennent pas au rdv .

(Texte)
J'ai attendu une demie heure. Il était convenu entre nous qu'au delà de ce délais on se dispersait. La panique m'a envahie. Pas par peur d’être dénoncer et arrêter. Mais parce que pour la première fois depuis mon saut dans la clandestinité, la machine qui se comportait jusqu'ici comme un mouvement d'horlogerie se déréglait. Ceux qui m'avaient déposé a cet endroit le matin ne risquaient pas de venir me chercher avant de longue heures a condition qu'il sachent et que le quadrillage du canton ne soit pas déjà en place. De grosse gouttes de sueur coulaient le long de mes mains moites. J'étais pris dans la nasse comme un homard distrait. Le cloisonnement opérait contre moi. Impossible de retourner d'ou je venais. Et je ne savait ou aller. Et plus je tournais en rond, plus j'avais l'impression d’être surveillé, plus je voyais dans le regard des autres celui d'un indicateur. Il s'est mit a pleuvoir. Des gouttes plates qui martelaient crescendo comme les applaudissements d'un ovation debout. Je tournais en rond autour de l’église, m'abritant sous ces contre-forts dont chaque sculpture me sautaient au visage tel une apparition satanique. Plus je tournais, plus je me sentais observer. Brusquement une porte de coté c'est ouverte. Tel qui donnait sur sacristie. une main de fer m'a tiré de l’intérieur en referment l’énorme porte en chêne d'un seul coup d'épaule. Un quasimodo en soutane se tenait devant moi. Un tête de démon, une carrure de fort des halles de grosses lèvres qui habitaient des dents irrégulière et gâtées je n'avaient jamais mit les pieds dans une église. pas même au enterrement de famille ou mon père refusait de se rendre a la cérémonie religieuse. Mon père n'avait aucune tolérance pour l'opium du peuple. Du coup on étaient les premiers au cimetière et on subissaient les regards foudroyants des bigots qui accompagnaient le cercueil, comme si on offensait la mort. Une voix de stentor s'était levé :
- désolé de vous avoir fait attendre, j'ai attendu que personnes ne nous regarde pour vous happer
Anonyme
Posté le 20 déc. 2010
le héros se trouve dans une église,ce n'est pas rassurant pour luinsa famille est athée;à la fin le protagoniste est soulagé car l'homme qui l'a happé,l'a sauvé.mais cet être lui était apparu comme un mostre,un Quasimodo,un laideron féroce(main de fer).....
continue tu es en bonne voie
Anonyme
Posté le 20 déc. 2010
sil vou plai vs pouver finir merci je comprenpa du tout
willffy
willffy
Posté le 20 déc. 2010
1. Ou le héros trouve t-il secours ?
Le lieu est -il rassurant pour lui ?

Dans une église;
Il est athée, n'a jamais mis les pieds dans une église, il ignore tout de ces lieux. Il est en droit de se poser des questions sur ce qui va lui arriver, d'autant plus que le curé n'a pas une allure rassurante.
willffy
willffy
Posté le 20 déc. 2010
2. Lignes 18-21
a. quel nouveau personnage apparait alors ?
b. quelle impression éprouve le narrateur a son contact ?
c. citez 4 images a l'appui de votre reponse.
relevez a la ligne 16 une image qui annonce cette impression .

Qui le happe par la porte? Quels mots utilisent le héros pour le décrire? Que ressent-il?
willffy
willffy
Posté le 20 déc. 2010
"Un quasimodo en soutane" l'auteur fait référence au "Quasimodo" de Notre Dame (Victor Hugo), un sacristain difforme et bossu qui est amoureux de la belle Esmeralda.
Celui-là n'est pas sacristain, mais.... parce qu'il est précisé "en soutane"
willffy
willffy
Posté le 20 déc. 2010
Vous ferez une large part a l'analyse des sentiments du jeune résistant.

Il vient d'avoir très peur, peur de se faire arrêter, peur d'être dénoncé, peur quand il est happé par la porte.

Décris sa peur, son état physique et mental, son soulagement.
Anonyme
Posté le 20 déc. 2010
mersi bocou mes pour la redaction je ne compren pa
Anonyme
Posté le 20 déc. 2010
je les ai faite mai c pour savoir si ele son corect et pour la redaction ce nest pa mon fort je ni arrive pa du tout merci

Ils ont besoin d'aide !

Il faut être inscrit pour aider

Crée un compte gratuit pour aider

Je m'inscrisOU

J'ai déjà un compte

Je me connecte