Vérification d'une rédaction de Français pour un devoir du CNED devoir 3

Publié le 10 déc. 2010 il y a 13A par Anonyme - Fin › 12 déc. 2010 dans 13A
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Sujet du devoir

Veuillez vérifier ma rédaction, merci.

Après avoir fit les tous premiers pas dans la maison, Mme de Rênal l’accueilli chaleureusement, elle le pria de s‘assoir à la table du salon avec une certaine méfiance, elle resta sur ses gardes.

Mme de Rênal : « Veuillez bien vouloir vous assoir afin que l’on puisse discuter tranquillement et calmement à l’égard des enfants. »
Elle se sentit gênée et obligée de faire quelque chose par sa présence, comme si elle faisait face à un criminel.

Julien : « Merci, c’est bien gentil et gracieux de votre part. »

Mme de Rênal : « De rien » affirma-t-elle pas très rassurée et tranquillisée.
- « Il n’y a pas de quoi, vous savez, nous sommes là pour parler et converser sérieusement de l’avenir des enfants. Justement, que me proposez-vous de bien pour l’éducation des enfants? Vous avez droit à la parole!

Julien : « Pour ma part , je serais bien partis et décidé pour vous donner la recette la plus idéale et théorique pour les enfants, c’est-à-dire à savoir la recette qui est en même temps et à la fois la plus complète et intacte, mais aussi et notamment la moins chère et avantageuse; celle qui serait la plus rentable et enrichissant en fait. Elle vous permettra de vous donner et de vous assurer la meilleure éducation possible pour les enfants, je vous le certifie et garantit désormais! Vous pouvez vraiment me faire confiance, et puis une chose est sûre madame, je ne battrai jamais des enfants.

Mme de Rênal : « D’accord, je vous crois; donc on n’est bien d’accord pour ce dont vous avez dit? »

Julien : « Ah ça! Je ne sais pas, j’attends votre décision, c’est avant tout vous qui décidez! »

Mme de Rênal : « D’accord, je suis tout à fait prête pour cette éducation. »

Julien : « Alors, c’est choisie? »

Mme de Rênal: « Oui, c’est choisie! Excusez-moi, je crois bien que mes enfants s’impatientent de vous rencontrer. Patientez un petit instant si vous me le permettez, je vais les cherchers, je reviens tout de suite. »

Elle lui fit un tendre sourire et lui passa tout délicatement et subtilement la main sur son épaule.
Julien la regarda et la défigura de la tête aux pieds, on pouvait apercevoir tout l’amour et le penchant du monde dans ses yeux si émerveillés et enchantés par la beauté et grâce de cette jeune femme. Seulement quelques secondes passées et la revoilà accompagnée de tous ces enfants toutes éblouissantes avec un grand sourire aux lèvres.

Mme de Rênal: « Je vous présente mes enfants! Dites bonjour. »

Les enfants : « Bonjour Monsieur! »

Julien : « Bonjour! Dis donc! De premières approches et de tout premiers abords, vos enfants m’ont l’air très gentils, comme vous, mère et enfants se ressemblent. »

Mme de Rênal: « Mais vous savez, il est sans contredire, nier et démentir que vous aussi vous avez quelque chose de frappant et de particulier à l’œil que beaucoup ne détiennent pas lorsqu‘on vous observe d‘un œil plus attentive et vigilant. »

Mme de rénal trouva en lui un être très sensible, elle ne le regarde plus d’un mauvais œil, elle na plus de suspicion et de méfiance comme au début et au auparavant .

Julien : « Ah ! Vraiment ! » Répliqua-t-il avec un air stupéfié. « Je suis extrêmement, flatté par ces quelques compliments très touchants, ça me fait chaud au cœur. »

Après ces paroles dites d'un son de voix profond, il déroula ses belles paupières pour ne pas laisser lire dans ses yeux. Sans plus attendre, Mme de Rênal lui fessa comprendre qu’il l’intéressait tout en détournant doucement les yeux, comme pour ne pas remarquer son trouble, inquiétude ainsi que dans son affolement, et reprit.

Mme de Rênal: « Si vous voulez bien, vous pouvez vous installer et disposer ici au lieu de vous tracassez la tête tous les jours à venir en faisant beaucoup trop d’aller-retour et d‘énormes efforts. »

Julien : « Ce serait très convenable. »

Il répondit assez gêné, confus par ce qu‘il venait d‘entendre.

Mme de Rênal: « Justement, c’est un peu trop précipité à mes yeux mais ce n’est pas dit que je suis pour autant et en conséquence contre. »

Il regardait Madame Rénal, ce jouvenceau, dont et duquel parmi tant d’autres l’intérieur annonçait tant de hardiesse, d’indépendance et même des nuances et pensées de caractère davantage plus fortes et vigoureuses encore, abaissait ses regards jusqu’à leur faire prendre et accaparer une expression de prière et de supplication.

Julien : « Bon, bien merci beaucoup de votre accueille et gentillesse. Je vous dit à demain alors… »

Mme de Rênal : « A demain Julien! Oh, attendez, j’ai un petit quelque chose pour vous. »

Julien : « Qu’est-ce que c’est ce petit quelque chose? »

Mme de Rênal : « C’est un gâteau que les enfant et moi-même nous avons préparé pour l’heure du gouter, mais vu que vous n’allez pas rester pour le gouter, je vous coupe une part… »

Julien : « Oh, que ça a l’air bon… Merci beaucoup. A demain! »

Mme de Rênal et les enfants : « A demain »

Merci beaucoup d'avance.

Où j'en suis dans mon devoir

Après avoir fit les tous premiers pas dans la maison, Mme de Rênal l’accueilli chaleureusement, elle le pria de s‘assoir à la table du salon avec une certaine méfiance, elle resta sur ses gardes.

Mme de Rênal : « Veuillez bien vouloir vous assoir afin que l’on puisse discuter tranquillement et calmement à l’égard des enfants. »
Elle se sentit gênée et obligée de faire quelque chose par sa présence, comme si elle faisait face à un criminel.

Julien : « Merci, c’est bien gentil et gracieux de votre part. »

Mme de Rênal : « De rien » affirma-t-elle pas très rassurée et tranquillisée.
- « Il n’y a pas de quoi, vous savez, nous sommes là pour parler et converser sérieusement de l’avenir des enfants. Justement, que me proposez-vous de bien pour l’éducation des enfants? Vous avez droit à la parole!

Julien : « Pour ma part , je serais bien partis et décidé pour vous donner la recette la plus idéale et théorique pour les enfants, c’est-à-dire à savoir la recette qui est en même temps et à la fois la plus complète et intacte, mais aussi et notamment la moins chère et avantageuse; celle qui serait la plus rentable et enrichissant en fait. Elle vous permettra de vous donner et de vous assurer la meilleure éducation possible pour les enfants, je vous le certifie et garantit désormais! Vous pouvez vraiment me faire confiance, et puis une chose est sûre madame, je ne battrai jamais des enfants.

Mme de Rênal : « D’accord, je vous crois; donc on n’est bien d’accord pour ce dont vous avez dit? »

Julien : « Ah ça! Je ne sais pas, j’attends votre décision, c’est avant tout vous qui décidez! »

Mme de Rênal : « D’accord, je suis tout à fait prête pour cette éducation. »

Julien : « Alors, c’est choisie? »

Mme de Rênal: « Oui, c’est choisie! Excusez-moi, je crois bien que mes enfants s’impatientent de vous rencontrer. Patientez un petit instant si vous me le permettez, je vais les cherchers, je reviens tout de suite. »

Elle lui fit un tendre sourire et lui passa tout délicatement et subtilement la main sur son épaule.
Julien la regarda et la défigura de la tête aux pieds, on pouvait apercevoir tout l’amour et le penchant du monde dans ses yeux si émerveillés et enchantés par la beauté et grâce de cette jeune femme. Seulement quelques secondes passées et la revoilà accompagnée de tous ces enfants toutes éblouissantes avec un grand sourire aux lèvres.

Mme de Rênal: « Je vous présente mes enfants! Dites bonjour. »

Les enfants : « Bonjour Monsieur! »

Julien : « Bonjour! Dis donc! De premières approches et de tout premiers abords, vos enfants m’ont l’air très gentils, comme vous, mère et enfants se ressemblent. »

Mme de Rênal: « Mais vous savez, il est sans contredire, nier et démentir que vous aussi vous avez quelque chose de frappant et de particulier à l’œil que beaucoup ne détiennent pas lorsqu‘on vous observe d‘un œil plus attentive et vigilant. »

Mme de rénal trouva en lui un être très sensible, elle ne le regarde plus d’un mauvais œil, elle na plus de suspicion et de méfiance comme au début et au auparavant .

Julien : « Ah ! Vraiment ! » Répliqua-t-il avec un air stupéfié. « Je suis extrêmement, flatté par ces quelques compliments très touchants, ça me fait chaud au cœur. »

Après ces paroles dites d'un son de voix profond, il déroula ses belles paupières pour ne pas laisser lire dans ses yeux. Sans plus attendre, Mme de Rênal lui fessa comprendre qu’il l’intéressait tout en détournant doucement les yeux, comme pour ne pas remarquer son trouble, inquiétude ainsi que dans son affolement, et reprit.

Mme de Rênal: « Si vous voulez bien, vous pouvez vous installer et disposer ici au lieu de vous tracassez la tête tous les jours à venir en faisant beaucoup trop d’aller-retour et d‘énormes efforts. »

Julien : « Ce serait très convenable. »

Il répondit assez gêné, confus par ce qu‘il venait d‘entendre.

Mme de Rênal: « Justement, c’est un peu trop précipité à mes yeux mais ce n’est pas dit que je suis pour autant et en conséquence contre. »

Il regardait Madame Rénal, ce jouvenceau, dont et duquel parmi tant d’autres l’intérieur annonçait tant de hardiesse, d’indépendance et même des nuances et pensées de caractère davantage plus fortes et vigoureuses encore, abaissait ses regards jusqu’à leur faire prendre et accaparer une expression de prière et de supplication.

Julien : « Bon, bien merci beaucoup de votre accueille et gentillesse. Je vous dit à demain alors… »

Mme de Rênal : « A demain Julien! Oh, attendez, j’ai un petit quelque chose pour vous. »

Julien : « Qu’est-ce que c’est ce petit quelque chose? »

Mme de Rênal : « C’est un gâteau que les enfant et moi-même nous avons préparé pour l’heure du gouter, mais vu que vous n’allez pas rester pour le gouter, je vous coupe une part… »

Julien : « Oh, que ça a l’air bon… Merci beaucoup. A demain! »

Mme de Rênal et les enfants : « A demain »



5 commentaires pour ce devoir


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willffy
willffy
Posté le 10 déc. 2010
fait les tout premiers pas

Mme de Rênal l’accueillit

elle le pria de s‘asseoir

Veuillez bien vous asseoir

que l’on puisse discuter tranquillement et calmement au sujet des enfants.

Pour ma part , je peux tenter de vous donner la recette la meilleure pour les enfants, c’est-à-dire la recette qui est la plus complète et la plus éducative , mais aussi la moins chère. Elle vous permettra de donner à vos enfants , je puis vous le certifier et vous le garantir désormais! Vous pouvez vraiment me faire confiance, et puis une chose est sûre madame, je ne battrai jamais des enfants.

on est bien d’accord

Alors, c’est décidé? »

Oui, c’est décidé!

si vous le permettez, je vais les chercher,

subtilement la main sur l'épaule.

Julien la regarda et l'observa de la tête

on pouvait apercevoir tout l’amour et le penchant(???) du monde

par la beauté et la grâce de cette jeune femme.

accompagnée de tous ses enfants (supprime "éblouissants")

Bonjour! ! De premières approches et de tous premiers abords

Mme de Rênal: « Mais vous savez, je ne puis nier que vous aussi vous avez quelque chose de frappant et de particulier dans votre regard que peu de personnes détiennent . »

Mme de rénal trouvait en lui un être très sensible, elle ne le regardait plus d’un mauvais œil, elle n'avait plus de suspicion et de méfiance comme au début .
willffy
willffy
Posté le 10 déc. 2010
« Ah ! Vraiment ! » Répliqua-t-il avec un air stupéfait.

Mme de Rênal lui fit comprendre qu’il l’intéressait tout en détournant doucement les yeux, comme pour ne pas dévoiler son trouble, son inquiétude ainsi que son affolement, et reprit.

Mme de Rênal: « Si vous voulez bien, vous pouvez vous installer ici plutôt que de vous imposer des trajets qui pourraient vous fatiguer.


Il répondit assez gêné, et confus par ce qu'il venait d‘entendre.
Julien : « Je vous remercie de votre proposition et je l'accepte. »

Mme de Rênal: « Justement, c’est un peu trop précipité à mes yeux mais ce n’est pas dit que je suis pour autant et en conséquence contre. » Là, je ne comprends pas ce que tu as voulu dire après la réponse de Julien.

Il regardait Madame Rénal, ce jouvenceau, qui manifestait tant de hardiesse, d’indépendance et de caractère, il baissait son regard pour laisser supposer une expression de prière et de supplication.


Julien : « Bon, je vous remercie pour votre accueil et votre générosité . Permettez-moi de prendre congé et à demain donc… »


Julien : « Oh! »

Mme de Rênal : « C’est un gâteau que les enfants et moi-même avons préparé pour le goûter, mais comme vous allez nous quitter , prenez un petit morceau… »

Julien : « Je pense que je vais me régaler…

J'ai corrigé quelques erreurs, revois les passages qui ne conviennent pas. Pense que Julien ne peut pas avoir un langage négligé.


Bonne soirée.

Anonyme
Posté le 10 déc. 2010
Bonjour Gamy,

Merci Gamy, de ton aide pour la correction de ma rédaction... Et bien, je voit qu'il y a pas mal de fautes dedans... Je rectifierai tout ça. Mais, es tu sûr que la correction de ma rédaction que tu as apporté sont correctes? Merci beaucoup, beaucoup encore; tu m'a vraiment aidé! MERCIIII =)

A bientôt,

Cordialement,

Benjamin CNED 3ème
willffy
willffy
Posté le 11 déc. 2010
Je n'ai corrigé que l'orthographe et quelques tournures de phrases un peu lourdes.
Anonyme
Posté le 11 déc. 2010
D'accord, merci

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