veuve aphrodissia narrateur

Publié le 13 sept. 2011 il y a 12A par Anonyme - Fin › 20 sept. 2011 dans 12A
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Sujet du devoir

La veuve Aphrodissia s'essuya les yeux et s'assit sur [l'unique] escabeau de la cuisine, appuyant sur le rebord de la table ses deux mains, et sur ses mains son menton qui tremblait comme celui d'une vieille femme. C'était un mercredi, et [elle n'avait pas mangé depuis dimanche] . [Il y avait trois jours aussi] qu'elle n'avait pas dormi. Ses sanglots [réprimés] secouaient sa poitrine sous les plis épais de sa robe d'étamine noire. Elle s'assoupissait malgré elle, bercée par sa propre plainte; d'un sursaut, elle se redressa : [ce n'était pas encore pour elle le moment de la sieste et de l'oubli].

je doit reecrire se passage avec un point de vue externe

Où j'en suis dans mon devoir

pouver vous m aider jai mis entre parenthese le chose que je conte changer si vous pouviier me dire si c est juste est m aider a trouver



4 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 13 sept. 2011
merci donc c'est correcte le reste
Anonyme
Posté le 13 sept. 2011
Je te dis tout, car tu as déjà fais pas mal de truc :


La veuve Aphrodissia s'essuya les yeux et s'assit sur l'unique [On le laisse car on peut voir même sans lire dans ses pensées qu'il y a un seul et unique escabeau] de la cuisine, appuyant sur le rebord de la table ses deux mains, et sur ses mains son menton qui tremblait comme celui d'une vieille femme. C'était un mercredi [ On supprime tout sans exception]. Ses sanglots réprimés [ On peut voir qu'elle arrête de pleurer] secouaient sa poitrine sous les plis épais de sa robe d'étamine noire. Elle s'assoupissait malgré elle [ On enlève : bercée par sa propre plainte, comme sait-on qu'elle est plaignante?] ; d'un sursaut, elle se redressa.
Anonyme
Posté le 13 sept. 2011
REPRIMES comment le sais ton
Anonyme
Posté le 14 sept. 2011
Si tu te mets à la place d'un narrateur qui REGARDE la scène, essaie de transformer la description en commençant par "Il vit"
exemple: "Il vit" la veuve Aphrodissia qui s'essuyait les yeux, assise sur un escabeau de la cuisine, les deux mains appuyées sur le rebord de la table et sur ses mains......C'était un mercredi.Sous les plis épais de sa robe noire,sa poitrine était secouée par les sanglots."Il lui sembla" qu'elle s'assoupissait, puis d'un sursaut, elle se redressa.

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