Devoir 10 de Français URGENT!!!!! Je dois le finir cette après midi ! !!

Publié le 7 avr. 2016 il y a 8A par Anonyme - Fin › 10 avr. 2016 dans 8A
1

Sujet du devoir

Voici le texte :

Lis attentivement le texte suivant, puis réponds aux questions en rédigeant des phrases.
Un jour, Malabar, un cheval de la ferme, se blesse : il doit désormais rester à l’écurie. Douce et l’âne Benjamin prennent soin de lui. Un après-midi, les animaux travaillent aux champs.


Les animaux étaient à sarcler des navets sous la garde d’un cochon quand ils furent stupéfaits de voir Benjamin accouru au galop des dépendances et brayant à tue-tête. Ils ne l’avaient jamais connu dans un état pareil — de fait, ils ne l’avaient même jamais vu prendre le galop. « Vite, vite ! criait-il. Venez tout de suite ! Ils emmènent Malabar ! » Sans attendre les ordres du cochon, les animaux plantèrent là le travail et se hâtèrent de regagner les bâtiments. Et, à n’en pas douter, il y avait dans la cour, tiré par deux chevaux et conduit par un homme à la mine chafouine, un melon rabattu sur le front, un immense fourgon fermé. Sur le côté du fourgon, on pouvait lire des lettres en caractères imposants. Et le box de Malabar était vide.


Les animaux se pressèrent autour du fourgon, criant en choeur : « Au revoir, Malabar ! Au revoir, au revoir ! »
« Bande d’idiots ! se mit à braire Benjamin. Il piaffait et trépignait de ses petits sabots. Bande d’idiots ! Est-ce que vous ne voyez pas comme c’est écrit sur le côté du fourgon ? »
Les animaux se turent, et même ce fut un profond silence. Edmée s’était mise à épeler les lettres mais Benjamin l’écarta brusquement, et dans le mutisme des autres, lut :
« "Alfred Simmonds, Equarisseur et Fabriquant de Matières adhésives, Willington. Négociant en Peaux et Engrais animal. Fourniture de chenils." Y êtes-vous maintenant ? Ils emmènent Malabar pour l’abattre ! »
Un cri d’horreur s’éleva, poussé par tous. Dans l’instant, l’homme fouetta ses chevaux et à bon trot le fourgon quitta la cour. Les animaux s’élancèrent après lui, criant de toutes leurs forces. Douce s’était faufilée en tête. Le fourgon commença à prendre de la vitesse. Et la jument, s’efforçant de pousser sur ses jambes trop fortes, tout juste avançait au petit galop. « Malabar ! cria-t-elle, Malabar ! Malabar ! Malabar ! » Et à ce moment précis, comme si lui fût parvenu le vacarme du dehors, Malabar, à l’arrière du fourgon, montra le mufle et la raie blanche qui lui descendait jusqu’aux naseaux.


« Malabar ! lui cria Douce d’une voix de catastrophe. Malabar ! Sauve-toi ! Sauve-toi vite ! Ils te mènent à la mort ! »
Tous les animaux reprirent son cri : « Sauve-toi, Malabar ! Sauve-toi ! » Mais déjà la voiture les gagnait de vitesse.
Il n’était pas sûr que Malabar eût entendu l’appel de Douce. Bientôt son visage s’effaça de la lucarne, mais ensuite on l’entendit tambouriner et trépigner à l’intérieur du fourgon, de tous ses sabots. Un fracas terrifiant. Il essayait à grandes ruades, de défoncer le fourgon. Le temps avait été où de quelques coups de sabots il aurait pulvérisé cette voiture. Mais hélas sa force l’avait abandonné, et bientôt le fracas de ses sabots tambourinant s’atténua puis s’éteignit.


Au désespoir, les animaux se prirent à conjurer les deux chevaux qui tiraient le fourgon. Qu’ils s’arrêtent donc ! « Camarades, camarades ! criaient les animaux, ne menez pas votre propre frère à la mort ! » Mais c’étaient des brutes bien trop ignares pour se rendre compte de ce qui était en jeu. Ces chevaux-là se contentèrent de rabattre les oreilles et forcèrent le train.
Les traits de Malabar ne réapparurent plus à la lucarne. Trop tard, quelqu’un eut l’idée de filer devant et de refermer la clôture aux cinq barreaux. Le fourgon la franchissait déjà, et bientôt dévala la route et disparut. On ne revit jamais Malabar.
George Orwell, La Ferme des animaux, 1945. Traduit de l’anglais par Jean Queval. © Éditions Champ Libre / Ivrea, Paris, 1981 et 2009. www.editions-ivrea.fr

 

Et voici les question :

7- « On (le "On" est souligné) l’entendit tambouriner et trépigner à l’intérieur du fourgon » (l. 30)
a) Quelle est la nature grammaticale du mot souligné ? (0,5 point)
b) Par l’utilisation de ce mot, à travers les yeux de quels personnages le lecteur perçoit-il la scène ? Quel est donc le point de vue du narrateur ? (1 point)
8- a) Qu’est-ce que le « mufle » (l. 23) ? Par quels autres mots ce nom est-il repris lignes
29 à 38. (1,5 point)
b) Quelle est la figure de style ainsi utilisée ? Pourquoi l’exécution de Malabar semble-t- elle alors plus cruelle encore ? (1 point)
9- Qu’ils s’arrêtent donc ! « Camarades, camarades ! criaient les animaux, ne menez pas votre propre frère à la mort ! » (l. 35-36) (1 point)
Quelle remarque peux-tu faire au sujet de la manière dont les paroles sont rapportées dans ces lignes ?

10- Quel regard a le narrateur sur les animaux tirant le fourgon ? Justifie ta réponse par des éléments du texte. (1 point)
11- a) En quoi peut-on dire que le rythme du récit commence « à prendre de la vitesse » comme le fourgon (l. 20) à partir de la ligne 27 jusqu’à la fin du passage ? Appuie-toi notamment sur les indices de temps et sur la construction des phrases. (2 points)
b) Quel effet provoque cette accélération du rythme du récit ?




2 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 7 avr. 2016

........................

 

Merci d'aider et d'accompagner, mais de ne pas faire le devoir dans son intégralité.

La modération

Anonyme
Posté le 7 avr. 2016

Salut Anas dsl j'ai les reponses mais la moderation vient de supprimer mon message en disant qu'on devait seulement aider et non pas donner les reponses ds je vais essayer de t'aider:

7-On est un pronom a toi de voir si il est indefini ou defini.

On voit la scene a travers les yeux des animaux le point de vue est donc ....tu dois le trouver soit exterieur soit interieur ou bien omniscient.

8-Tu vois dans le dictionnaire.

Et il est remplacer par tous ce qui a un rapport avec le visage a toi de les trouver dans le texte.

-La figure de style a un rapport avec le fait d'accorder un caractère humain a un animal ^^ fastoche a trouver.Explique  pourquoi sa parait plus cruelle( on a parfois plus pitié d'un humain que d'un animal).

9-Le discours est-il direct ou indirect?

10-Negatif péjoratif ou mélioratif positif.Tu dois trouver une phrase dans le texte c'ets tres facile.

11-Le rythme accelere mais que ressens tu avec cette acceleration .

 

J'esperes avoir pu t'aider mais mes indications sont peut-etre pas necessaire.

Bonne chance pour la suite^^

 

 

 


Ils ont besoin d'aide !

Il faut être inscrit pour aider

Crée un compte gratuit pour aider

Je m'inscrisOU

J'ai déjà un compte

Je me connecte