Les micro-organismes

Publié le 11 avr. 2012 il y a 12A par Anonyme - Fin › 13 avr. 2012 dans 12A
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Sujet du devoir

Bonjour, j'aurai besoin de savoir par des personnes (et non par internet) quels sont les différents micro-organismes présents dans notre environnement ?

Merci de votre aide.

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai cherché sur internet mais c'est expliqué de façon compliquée c'est pour cela que je fait appel à votre connaissance =)



5 commentaires pour ce devoir


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Anonyme
Posté le 11 avr. 2012
Il y a les bactéries, les champignons filamenteux, les virus, les levures, les protozoaires... Ils ne sont visibles qu'au microscope. Ils existent partout, certains provoquent des maladies (pathogènes) d'autres sont inoffensifs et utiles (flore intestinale, fermentation alcoolique, lactique..)
Anonyme
Posté le 11 avr. 2012
Ta réponse m'a super bien aidée, merci =)
Anonyme
Posté le 12 avr. 2012
PARTIE 2: Protection de l'organisme.
LECON 2: Les défenses de l’organisme.
I. Des réactions de défense immédiates et locales.
L’entrée d’éléments étrangers (microbes par exemple) dans notre organisme déclenche immédiatement des réactions qui font intervenir des cellules sanguines.
L’élément étranger est absorbé puis digéré par les phagocytes (leucocytes) qui ont quitté les vaisseaux sanguins : c’est la phagocytose. Cette défense est non spécifique. Elle provoque une réaction inflammatoire (rougeur, gonflement, douleur et chaleur) qui peut s’accompagner de pus.
Comment agissent les anticorps?
II Des réactions de défense lentes et spécifiques.
Les microbes sont porteurs ou produisent des molécules étrangères à l’organisme : ce sont les antigènes.
Les lymphocytes B produisent alors des anticorps dans les organes lymphoïdes. Ce sont des molécules spécifiques d’un antigène, capables de reconnaître uniquement cet antigène. Les anticorps forment un complexe avec l’antigène, le neutralisent et suppriment alors ses effets.
D’autres leucocytes, les lymphocytes T tueurs détruisent les cellules reconnues comme étrangères car elles portent des antigènes. Dans les deux cas il existe une mémoire immunitaire.
Conclusion : La phagocytose est une réaction immédiate et rapide contre l’infection : des leucocytes alertés quittent les vaisseaux sanguins, se transforment en cellules phagocytaires et détruisent les cellules étrangères.
Les lymphocytes déclenchent plus lentement des réactions spécifiques. Les lymphocytes B sécrètent des anticorps neutralisant spécifiquement les antigènes. Les lymphocytes T détruisent par contact spécifique les cellules infectées.

LECON 3: Prévenir et soigner les maladies.
I. Lutter contre la contamination et l’infection.
En éliminant tous les micro-organismes de l’environnement, on stérilise ce dernier : c’est l’asepsie. Dans un milieu non aseptisé, les microbes présents sur une plaie sont éliminés par des antiseptiques. Les antibiotiques sont utilisés pour éliminer spécifiquement les bactéries pathogènes. Le préservatif est le seul moyen efficace contre la transmission des I.S.T.
Comment prévenir et soigner ces maladies ?
II Les applications médicales.
a. Vaccinothérapie et immunothérapie .
L’injection, au cours de plusieurs rappels, d’un vaccin (antigène à virulence atténuée) développe une mémoire immunitaire en stimulant la production de lymphocytes mémoire : c’est une méthode préventive.
L’immunothérapie (injection de globulines ou sérum) correspond à un transfert d’immunité d’une personne à une autre : c’est une méthode curative.

b. Pallier les déficiences du système immunitaire.
Le virus d’immunodéficience humaine (VIH) provoque la destruction de lymphocytes T, indispensables à la réponse immunitaire lente. Un état de SIDA permet alors de développer des maladies opportunistes. La tri-thérapie (association de 3 antiviraux) diminue la charge virale mais le malade reste contagieux.
La greffe de moelle osseuse permet de reconstituer un système immunitaire efficace chez des personnes à immunodéficience innée ou accidentelle.
Conclusion : Une bonne hygiéne (antisepsie), l'asepsie et l'usage raisonné d'antibiotiques permettent de lutter contre la contamination et l'infection. Immunothérapie et vaccinothérapie sont des méthodes respectivement curatives et préventives. Le système immunitaire intervient en permanence pour protéger l’organisme d’une infection. Toute déficience a de graves conséquences.










SCHEMA BILAN.

Anonyme
Posté le 12 avr. 2012
PARTIE 2: Protection de l'organisme.
LECON 2: Les défenses de l’organisme.
I. Des réactions de défense immédiates et locales.
L’entrée d’éléments étrangers (microbes par exemple) dans notre organisme déclenche immédiatement des réactions qui font intervenir des cellules sanguines.
L’élément étranger est absorbé puis digéré par les phagocytes (leucocytes) qui ont quitté les vaisseaux sanguins : c’est la phagocytose. Cette défense est non spécifique. Elle provoque une réaction inflammatoire (rougeur, gonflement, douleur et chaleur) qui peut s’accompagner de pus.
Comment agissent les anticorps?
II Des réactions de défense lentes et spécifiques.
Les microbes sont porteurs ou produisent des molécules étrangères à l’organisme : ce sont les antigènes.
Les lymphocytes B produisent alors des anticorps dans les organes lymphoïdes. Ce sont des molécules spécifiques d’un antigène, capables de reconnaître uniquement cet antigène. Les anticorps forment un complexe avec l’antigène, le neutralisent et suppriment alors ses effets.
D’autres leucocytes, les lymphocytes T tueurs détruisent les cellules reconnues comme étrangères car elles portent des antigènes. Dans les deux cas il existe une mémoire immunitaire.
Conclusion : La phagocytose est une réaction immédiate et rapide contre l’infection : des leucocytes alertés quittent les vaisseaux sanguins, se transforment en cellules phagocytaires et détruisent les cellules étrangères.
Les lymphocytes déclenchent plus lentement des réactions spécifiques. Les lymphocytes B sécrètent des anticorps neutralisant spécifiquement les antigènes. Les lymphocytes T détruisent par contact spécifique les cellules infectées.

LECON 3: Prévenir et soigner les maladies.
I. Lutter contre la contamination et l’infection.
En éliminant tous les micro-organismes de l’environnement, on stérilise ce dernier : c’est l’asepsie. Dans un milieu non aseptisé, les microbes présents sur une plaie sont éliminés par des antiseptiques. Les antibiotiques sont utilisés pour éliminer spécifiquement les bactéries pathogènes. Le préservatif est le seul moyen efficace contre la transmission des I.S.T.
Comment prévenir et soigner ces maladies ?
II Les applications médicales.
a. Vaccinothérapie et immunothérapie .
L’injection, au cours de plusieurs rappels, d’un vaccin (antigène à virulence atténuée) développe une mémoire immunitaire en stimulant la production de lymphocytes mémoire : c’est une méthode préventive.
L’immunothérapie (injection de globulines ou sérum) correspond à un transfert d’immunité d’une personne à une autre : c’est une méthode curative.

b. Pallier les déficiences du système immunitaire.
Le virus d’immunodéficience humaine (VIH) provoque la destruction de lymphocytes T, indispensables à la réponse immunitaire lente. Un état de SIDA permet alors de développer des maladies opportunistes. La tri-thérapie (association de 3 antiviraux) diminue la charge virale mais le malade reste contagieux.
La greffe de moelle osseuse permet de reconstituer un système immunitaire efficace chez des personnes à immunodéficience innée ou accidentelle.
Conclusion : Une bonne hygiéne (antisepsie), l'asepsie et l'usage raisonné d'antibiotiques permettent de lutter contre la contamination et l'infection. Immunothérapie et vaccinothérapie sont des méthodes respectivement curatives et préventives. Le système immunitaire intervient en permanence pour protéger l’organisme d’une infection. Toute déficience a de graves conséquences.










SCHEMA BILAN.

Anonyme
Posté le 12 avr. 2012
La défense de l’organisme
I les agresseurs de l’organisme
Les agresseurs de l’organisme se repartissent en deux grands groupes :
- Les microbes
- Les vers
1- Les microbes
Les microbes ou micro-organismes sont des êtres vivants extrêmement petits, invisible à l’œil nu, mais visible au microscope. LES MICROBE se repartissent en quatre grandes familles qui sont :
a) Les bactéries
Elles constituent la plus grande famille des microbes, selon leurs formes on distingue
• LES BACILLES ce sont des bactéries en forme des bâtonnets ; elles peuvent êtres couvertes de cils ou non
• LES COQUES OU COCCI, qui sont des bactéries en forme des grains (méningocoque)
• LES BACTERIES SPIRALLEES en forme de bouchon (syphilis)
b) Les protozoaires
Ces sont des microbes des signe animal (paramécie plasmodium….)
c) Les champions microscopiques
Ce sont, les moisissures et les levures (trichophyton de la teigne, pénicillium)
d) Les virus
Ce sont des êtres extrêmement petits qui ne sont visibles qu’au microscope électronique
2- Les vers
3- Les vers sont des organismes pluricellulaires et peuvent êtres des grande taille (plusieurs mètres)
Exemples : la dracunculose ou ver de guinée ; le ténia ; le schistosome ou bilharzie ; les oxyures ….

TROISIEME
1) Risque infectieux et protection de l'organisme
2) Diversité et unité des êtres humains
3) Evolution des organismes et histoire de la Terre
4) Responsabilité humaine en matière de santé et d'environnement


Risques infectieux et protection de l'organisme

Rappels et pré-requis
Schéma d’une cellule - Milieu de vie - Micro-organisme - Organisation de l’organisme d’un être humain - Molécule - Symptôme
Qu'est-ce qu'un microbe ? Quels sont les milieux de vie des micro-organismes pathogènes ?
Discussion introductive
Etude documentaire – Quelques micro-organismes et leur milieu de vie

Des micro-organismes non pathogènes :
Un yaourt contient des milliards de bactéries qui sont l'origine de la transformation du lait en yaourt : elles transforment une partie du sucre du lait en acide lactique, ce qui fait cailler le lait.
x 1 000
Ces protozoaires (animaux unicellulaires) abondants dans l'eau stagnante sont des paramécies :
x 400
Ce pénicillium (moisissure) est un champignon qui porte des spores disposées en pinceaux :
x 1 200
Des microbes, micro-organismes pathogènes :
1 - Virus* de la grippe :
x 400 000
2 - Staphylocoques dorés (bactéries responsables d'un grand nombre d'infections cutanées comme abcès, furoncles... ) :
x 10 000

1) Que veut dire pathogène ?
2) Qu’appelle-t-on un microbe ?
3) Les micro-organismes sont-ils toujours dangereux pour l’homme ? Justifiez votre réponse en donnant des exemples.
4) Quels sont les différents milieux de vie que peuvent occuper les micro-organismes ?

Étude pages 74 et 75 – Les barrières naturelles et les modes de transmission
1) Doc 3 - Quels sont les différents milieux de vie occupés par les micro-organismes ?
2) Doc 5, 6, 7, 8 - Qu'est-ce qu'une muqueuse ? Quelle est son rôle dans l'organisme ?

Animation du logiciel VIH.exe – Définition de virus et antigène
Télécharger le logiciel

Comment les micro-organismes sont-ils à l’origine de maladies ?
Étude pages 76 et 77 – Mode d’action des micro-organismes pathogènes
1) Comment appelle-t-on la pénétration d'un microbe dans l'organisme ?
2) Doc 1, 2, 3, 4 - Citer différents modes de contaminations par les microbes.
3) Doc 5, 6, 7, 8 - Que fait un microbe dans l'organisme ?
Schéma de la contamination à l’infection




Chapitre 1 ) L'organisme dans un environnement microbien
a) Les micro-organismes vecteurs de maladies
Les micro-organismes existent en très grande quantité dans notre environnement. Certains sont pathogènes et peuvent provoquer des maladies : les microbes. Notre organisme se protège contre la contamination (la pénétration des microbes dans l'organisme) : la peau, les muqueuses (intestinales, respiratoires...), les cils vibratiles, les secrétions de substances protectrices par des glandes spécialisés (sébum, salive), et des bactéries « amis » qui tapissent certains tissus (intestin, peau) sont les barrières naturelles de l'organisme.

b) Les étapes d'une infection
Malgré les barrières naturelles, des microbes peuvent nous contaminer. Par une plaie, la nourriture, l'air ou l'eau contaminé. Dans l'organisme, les microbes cherchent à se multiplier, c'est l'infection. Les bactéries se développent entre les cellules ou le milieu leur est favorable. Les bacilles produisent des toxines qui circulent dans les vaisseaux sanguins. Les virus pénètrent dans des cellules spécifiques de l'organisme (cellules hôtes). Ils dérèglent le fonctionnement de la cellule hôte à leur profit pour se multiplier et peuvent entraîner la mort de la cellule hôte.

________________________________________

Comment réagit l'organisme suite à une contamination ?
Etude pages 88 et 89 – Leucocytes et phagocytes
1) Doc 1 - Suite à une blessure, (une plaie), quels sont les symptômes d'une infection ?
2) Doc 3 – Que contient le sang d'un individu ?
3) Qu'est-ce qu'un leucocyte ? Un phagocyte ?
4) Pourquoi appelle-t-on l'action des phagocytes, la réaction immunitaire rapide ?
5) D'après le doc 6, légendez le schéma suivant et trouvez un titre :



Utilisation du logiciel Défense immunitaire.exe – La réaction immunitaire rapide
Télécharger le logiciel
Schéma de la phagocytose : réaction immunitaire rapide

Comment s’organise le système immunitaire ?
Etude page 91 – Le système immunitaire


Comment réagit l’organisme si la réaction immunitaire rapide est insuffisante pour empêcher une infection ?
Etude page 90
1) Qu’est-ce qu’un lymphocyte ?
2) Doc 1 - Quels sont les symptômes d’une angine bactérienne ?
3) Où les lymphocytes sont-ils stockés dans l’organisme ?

Pourquoi les lymphocytes sont-ils spécifiques d’un micro-organisme ?
Exercice formatif sur des expériences pour mettre en évidence la reconnaissance spécifique des antigènes par les lymphocytes (doc 6 page 91)

Schéma : 1ère étape de la réaction immunitaire spécifique – reconnaissance de l’antigène

Comment agissent les lymphocytes B ?
Etude page 92 – Les lymphocytes B
1) Qu’est-ce qu’un anticorps ?
2) Comment sont produits les anticorps contre un microbe ?
3) Doc 1,2 - Comment les anticorps circulent-ils dans l'organisme ?
4) Doc 3 - Que fait un anticorps pour lutter contre un microbe ?
5) Doc 1 – Qu’est-ce qu’une agglutination ?

Utilisation du logiciel Défense immunitaire.exe – Les anticorps et le rôle des lymphocytes B
Télécharger le logiciel
Schéma : 2ème étape de la réaction immunitaire spécifique – action des lymphocytes B

Test de séropositivité
Comment agissent les lymphocytes T ?
Utilisation du logiciel Défense immunitaire.exe – Le rôle des lymphocytes T
Télécharger le logiciel
Schéma : 2ème étape de la réaction immunitaire spécifique – action des lymphocytes T


Devoir maison noté – Paragraphe argumenté ; comparaison de deux analyses de sang d’un individu malade puis sain
Télécharger le devoir
Chapitre II) L’organisme se défend contre les micro-organismes pathogènes
a) Réaction de l'organisme suite à une contamination
Lorsque des micro-organismes passent les barrières naturelles de l'organisme, une réaction inflammatoire débute (gonflement et/ou rougeur, production de chaleur par l'organisme, douleur). Les microbes cherchent à se multiplier. L'organisme enclenche une série de réactions immunitaires.
b) La réaction immunitaire rapide: défense non-spécifique
La première réaction immunitaire de l'organisme est rapide. Des leucocytes circulants dans les vaisseaux tentent d'enrailler l'infection microbienne. Ce sont les phagocytes. Ils sortent des vaisseaux, et par phagocytose (voir schéma) ils détruisent les éléments étrangers à l'organisme.
c) Le système immunitaire
Le système immunitaire est composé d'un ensemble d'organes reliés entre eux par les vaisseaux lymphatiques et sanguins. Les leucocytes formés dans la moelle osseuse y circulent et sont stockés dans les ganglions lymphatiques et la rate. L'organisme reconnaît ainsi en permanence la présence d'éléments étrangers grâce à son système immunitaire.
d) Les réactions immunitaires lentes : défense spécifique
Lorsque la réaction immunitaire rapide ne suffit pas à empêcher une infection microbienne, les lymphocytes agissent. Les lymphocytes reconnaissent spécifiquement les antigènes portés par les micro-organismes étrangers et les cellules infectées par des virus. Chaque lymphocyte ne reconnaît qu'un seul type d'antigène, et se multiplie à sa rencontre en formant des clones de lymphocytes.
e) Mode d'action des lymphocytes B et T
Les clones de lymphocytes B produisent des anticorps qui circulent dans le sang et la lymphe. Les anticorps s'agglutinent sur les antigènes étrangers rendant inactif les microbes et facilitant leur phagocytose.
Les clones de lymphocytes T s'accrochent à l'antigène qu'ils reconnaissent et détruisent la membrane des cellules infectées par un virus.
Un individu est dit séropositif à un microbe lorsque l'on trouve dans son sang des anticorps contre l'antigène de ce microbe.

________________________________________
Discussion introductive – Comment aider l’organisme à lutter contre les micro-organismes pathogènes ?
Comment éviter la contamination ?
TP : Action des antiseptiques
Recherches d’informations sur les IST
Etude page 78 : Discours de Louis Pasteur à l’académie de médecine en 1878
Etude de documents et rédaction : Une bonne hygiène de vie pour éviter les maladies
Comment éviter la multiplication des microbes dans l’organisme suite à une contamination ?
Rappels sur la méthode scientifique
Les étapes d’une méthode scientifique
1) Observation – Pour définir un sujet d’étude, poser une problématique, rechercher et noter des informations utiles.
2) Hypothèse* – Pour proposer des réponses à la problématique, organiser ses idées et les définir clairement (une idée = une hypothèse).
3) Expérience ou étude – Pour tester ses hypothèses. Définir un protocole* et obtenir des informations, des données, en vue de vérifier les hypothèses. Imaginer les résultats attendus.
4) Résultats de l’expérience ou des mesures – Pour présenter précisément les informations obtenues sous formes de tableaux, graphiques ou phrases courtes. Un résultat est une observation (ce que je vois à la fin d’une expérience).
5) Conclusion – Pour raisonner en utilisant les résultats, vérifier l’hypothèse. Une conclusion est une démonstration logique. Méthode de raisonnement standard à utiliser : J’observe que (résultat ou information), or je sais / vois que (autre résultat ou information), donc je peux dire que (reprise de l’hypothèse, nouvelle information).
Hypothèse : une supposition, une idée qui répond à une problématique. C'est une phrase courte, claire et précise.
Protocole : description des conditions et des étapes d'une expérience ou d'un test. La description doit être suffisamment détaillée pour que l'expérience puisse être reproduite à l'identique.

Application de la méthode scientifique aux expériences de Jenner : Prémices à la découverte de la mémoire immunitaire
Interprétation théorique des expériences d’Edward Jenner
TP informatique : La méthode de la vaccination



Recherches d’informations : Qu’est-ce qu’un médicament ?
Etude sur vidéo : La découverte des antibiotiques par A. Fleming en 1928
TP informatique : Réalisation d’un antibiogramme
Chapitre III) Aider l’organisme à lutter contre les micro-organismes pathogènes
a) Pour éviter la contamination
La méthode de l'asepsie (par la chaleur ou des produits chimiques) permet d'éliminer tous les micro-organismes d'un milieu. Les antiseptiques, en application locale sur les plaies, permettent aussi de tuer les micro-organismes.
Le préservatif est le seul moyen efficace pour éviter les maladies sexuellement transmissibles (MST: chlamydiose, blennorragie, herpès génital, syphilis, SIDA).
b) Une bonne hygiène de vie pour éviter les maladies
Une hygiène quotidienne (nettoyage régulier du corps et des mains, alimentation équilibrée, pratique sportive) et un bon état des barrières naturelles (muqueuse respiratoire non encombrée par le tabac) permettent un bon fonctionnement du système immunitaire. Ce sont des méthodes préventives. En cas de symptômes bénins, la médecine douce (complément alimentaires – vitamines, hydratation importante, repos au chaud) peut permettre le rétablissement. En cas de maladie, le suivi scrupuleux de la prescription médicale est le meilleur moyen pour se rétablir rapidement.
c) La vaccination
En injectant au cours de plusieurs rappels un vaccin (antigène d'un microbe à virulence atténuée), on développe dans l'organisme une mémoire immunitaire en stimulant la production de lymphocytes « mémoires ». Cette technique préventive permet à l'organisme de réagir de façon spécifique, rapide et efficace, à l'introduction ultérieure dans l'organisme du micro-organisme possédant cet antigène.
La vaccination permet à l'organisme d'acquérir préventivement et durablement une mémoire immunitaire relative à un micro-organisme déterminé grâce au maintien dans l'organisme de nombreux lymphocytes spécifiques.
d) Les antibiotiques et les médicaments
Les antibiotiques (substances produites naturellement par certains champignons) sont utilisés en cas d'infection bactérienne. Ils détruisent les bactéries mais n'ont pas d'effet sur les virus. Les différents antibiotiques sont plus ou moins spécifiques aux différentes bactéries. Réaliser un antibiogramme permet de déterminer l’antibiotique le plus efficace. Dans l'organisme, l'antibiotique circule dans le sang et aide le système immunitaire à éliminer les bactéries.
Un médicament est une substance possédant des propriétés destinés à guérir, à soulager ou à prévenir des maladies. Ils permettent de restaurer, corriger ou modifier les fonctions organiques et peuvent-être dangereux. Il faut donc les utiliser avec beaucoup de précaution.
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Comment agit le virus du SIDA ? Comment le dépister ?
Etude page 104 : Le virus du SIDA
1) Quels sont les modes de contamination par le VIH ?
2) Comment se protéger de la contamination par le VIH ?
3) Comment peut-on détecter si un individu est contaminé par le VIH ? (Soyez précis).
Utilisation du logiciel VIH.exe
Télécharger le logiciel
Chapitre IV) Un dérèglements du système immunitaire : le virus du SIDA
Un manque de cellules immunitaires est une immunodéficience. L'organisme ne peut donc pas lutter efficacement contre les infections microbiennes.
La contamination de l'organisme (lors de relations sexuelles non protégées ou le contact avec du sang contaminé) par le virus d'immunodéficience humaine (VIH) entraine la destruction des lymphocytes T. L'individu est alors séropositif, il est porteur du virus et peut le transmettre. Un syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA) s'installe chez l'individu (2 à 15 ans après la contamination). Des maladies opportunistes bénignes peuvent ensuite se développer et entrainer la mort.
Le test de dépistage ELISA permet de détecter la présence dans le sang d'un individu d'anticorps anti-VIH.



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