ai-je remplie les condition de mon expression ecrite

Publié le 14 sept. 2011 il y a 12A par Anonyme - Fin › 16 sept. 2011 dans 12A
5

Sujet du devoir

bonjours je suis en 4eme et nous avions eu comme devoir une sorte d'expression ecrite dans lesquel nous devions ecrire la suite du début d'un livre qui est matheo falcon et je voudrais savoir si toutes ces regles étais presentes dans ce texte. Voici les regles:
1.Fortunato(le hero) est son propre interlocuteur
2.Le monologue intérieur est écrit a la première personne.
3.Le texte doit contenir au minimum:
. 2 connecteurs logique
. 3 termes melioratif et pejoratif interréssents
. 2 phrase exclamatives
. 8 argument
. 1 présent de verité générale

4. la langue est correcte (negation;construction des phrases...)
5.l'orthographe est correcte.
6.ponctuation
7.votre texte est expressif; on s'imagine bien que fortunato est torturé par le choix a prendre.
8.on suis aisément la réflexion de fortunato.
9.votre touche personnelle.

Et enfin voila mon texte:

Malgré que la montre lui pendait au nez, fortunato évita de la regarder, car cela le trahirait surement. Le jeune garçon continua à hésiter sur son choix :

-une si jolie montre je n'en reverrais sans doute jamais, réfléchissait-il, et puis pourquoi devrais-je me priver de cette objet qui doit couter si cher qu'on le revendant je pourrais sans doute prendre ma retraite a 11 ans , après tout je n'aurais qu'à lui rendre son argent cela ne signifierais pas que j'ai trahie ma promesse et à ce moment là je pourrais prendre cette belle montre pour être jalouser de tous,mais l'utiliserais-je sachant qu'un homme est mort par ma faute et comment vais-je répondre a mon père quand il me questionnera sur cette objet sans compter que l'honneur de ma famille serait souillé du sang de cette homme, mais d'un autre coté mon père en a déjà tué plein des gens donc je ne serais pas diffèrent de lui en prenant cette montre à moins d'attendre qu'une balle de mon père transperce le corps d'une personne possèdent une tel perle.

-Bon dépêche toi, tu commences à sérieusement me retarder !, gueula le serviteur de la loi toujours aussi enragée.

-C'est vous qui commencez à m'agacer avec votre montre, je vous est déjà dis que j'ignorais où il est donc fichez moi la paix !,s'énerva fortunato à son tour sans réfléchir pour autant aux concequances.

Soudain l'homme effaça sa colère pour afficher un large sourire qui laissait à comprendre que le changement de ton du jeune homme signifiait sa fin.

-ainsi donc tu sais où il est, poursuivit le policier toujours affichant son large sourire.
Fortunato était piégé et il le savait bien.

-je me suis fait fait avoir, enragea-t-il dans sa tête, mais je ne trahirais pas ma parole car je suis le fils de matheo falcon et que par respect par mon père je ne salirais pas son honneur et puis même sans ça je dois tenir ma promesse quoi qu'il arrive,s'argumentat-il incertain de son choix.
Soudain fortunato éclata d'un rire jaune.

-Je ne voit pas de quoi vous parler, disait fortunato tout en serrant les dents et puis vous ferriez mieux de garder votre montre vous en auriez besoin car à l'heure qu'il est votre bandit a surement du atteindre la forêt .

L'inspecteur lui jeta un violant regard noir avant de dire :

-il y aura un jour ou ton père ne sera pas là pour toi alors prépare toi bien , car je t'assure que je ne serais pas loin, lui murmura-t-il à l'oreille.
Fortunato resta calme et répondit à sa menace d'un air joyeux:

-oui mais je serais là moi.
L'inspecteur pris la route tandis que la paille rougissait du sang de l'hors-la-loi qui (une fois soigner) repris la route fauché laissant derrière lui un petit homme triste.

Où j'en suis dans mon devoir

Malgré que la montre lui pendait au nez, fortunato évita de la regarder, car cela le trahirait surement. Le jeune garçon continua à hésiter sur son choix :
-une si jolie montre je n'en reverrais sans doute jamais, réfléchissait-il, et puis pourquoi devrais-je me priver de cette objet qui doit couter si cher qu'on le revendant je pourrais sans doute prendre ma retraite a 11 ans , après tout je n'aurais qu'à lui rendre son argent cela ne signifierais pas que j'ai trahie ma promesse et à ce moment là je pourrais prendre cette belle montre pour être jalouser de tous,mais l'utiliserais-je sachant qu'un homme est mort par ma faute et comment vais-je répondre a mon père quand il me questionnera sur cette objet sans compter que l'honneur de ma famille serait souillé du sang de cette homme, mais d'un autre coté mon père en a déjà tué plein des gens donc je ne serais pas diffèrent de lui en prenant cette montre à moins d'attendre qu'une balle de mon père transperce le corps d'une personne possèdent une tel perle.
-Bon dépêche toi, tu commences à sérieusement me retarder !, gueula le serviteur de la loi toujours aussi enragée.
-C'est vous qui commencez à m'agacer avec votre montre, je vous est déjà dis que j'ignorais où il est donc fichez moi la paix !,s'énerva fortunato à son tour sans réfléchir pour autant aux concequances.
Soudain l'homme effaça sa colère pour afficher un large sourire qui laissait à comprendre que le changement de ton du jeune homme signifiait sa fin.
-ainsi donc tu sais où il est, poursuivit le policier toujours affichant son large sourire.
Fortunato était piégé et il le savait bien.
-je me suis fait fait avoir, enragea-t-il dans sa tête, mais je ne trahirais pas ma parole car je suis le fils de matheo falcon et que par respect par mon père je ne salirais pas son honneur et puis même sans ça je dois tenir ma promesse quoi qu'il arrive,s'argumentat-il incertain de son choix.
Soudain fortunato éclata d'un rire jaune.
-Je ne voit pas de quoi vous parler, disait fortunato tout en serrant les dents et puis vous ferriez mieux de garder votre montre vous en auriez besoin car à l'heure qu'il est votre bandit a surement du atteindre la forêt .
L'inspecteur lui jeta un violant regard noir avant de dire :
-il y aura un jour ou ton père ne sera pas là pour toi alors prépare toi bien , car je t'assure que je ne serais pas loin, lui murmura-t-il à l'oreille.
Fortunato resta calme et répondit à sa menace d'un air joyeux:
-oui mais je serais là moi.
L'inspecteur pris la route tandis que la paille rougissait du sang de l'hors-la-loi qui (une fois soigner) repris la route fauché laissant derrière lui un petit homme triste.



0 commentaire pour ce devoir



Ils ont besoin d'aide !

Il faut être inscrit pour aider

Crée un compte gratuit pour aider

Je m'inscrisOU

J'ai déjà un compte

Je me connecte