EXPRESSION ECRITE : la description subjective

Publié le 27 mars 2011 il y a 13A par Anonyme - Fin › 29 mars 2011 dans 13A
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Sujet du devoir

Réecrivez cette descripton du jardin, en conservant ses élements, mais en créant une impression tout à fait opposé.

Mon oncle, le chevalier de ***, habitait une petite maison donnant d'un côté sur la triste rue des Tournelles et de l'autre sur le triste boulevard Saint-Antoine. Entre le boulevard et le corps du logis, quelques vieilles charmilles, dévorées d'insectes et de mousse, étiraient piteusement leurs bras décharnés au fond d'une espèce de cloaque encaissé par de noires et hautes murailles. Quelques pauvres fleurs étiolées penchaient languissamment la tête comme des jeunes filles poitrinaires, attendant qu'un rayon de soleil vînt sécher leurs feuilles à moitié pourries. Les herbes avaient fait irruption dans les allées, qu'on avait peine à reconnaître, tant qu'il y avait longtemps que le râteau ne s'y était promené. Un ou deux poissons rouges flottaient plutôt qu'ils ne nageaient dans un bassin couvert de lentilles d'eau et de plantes de marais.
Mon oncle appelait cela son jardin.

Où j'en suis dans mon devoir

Mon oncle, le chevalier de ***, habitait une petite maison donnant d'un côté sur la joyeuse rue annimée et de l'autre sur le splendide Saint-Antoine. Entre le boulevard et le corps du logis, quelques belles branches hornées de jolies cerises, dévorées d'insectes et de mousse, étiraient piteusement leurs bras décharnés au fond d'une espèce de cloaque encaissé par de noires et hautes murailles. Quelques pauvres fleurs étiolées penchaient languissamment la tête comme des jeunes filles poitrinaires, attendant qu'un rayon de soleil vînt sécher leurs feuilles à moitié pourries. Les herbes avaient fait irruption dans les allées, qu'on avait peine à reconnaître, tant qu'il y avait longtemps que le râteau ne s'y était promené. Un ou deux poissons rouges flottaient plutôt qu'ils ne nageaient dans un bassin couvert de lentilles d'eau et de plantes de marais.
Mon oncle appelait cela son jardin.

Je n'ai pas fini aidez-moi je bloque.



5 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 27 mars 2011
Les 3 premières lignes, c'est bien, tu a mis des adjectifs qui montre les bon cotés de cette endroit. Tu dois enlevé et remplacer tous les adjectifs péjoratifs comme piteusement, décharnés, "une espèce de cloaque", "qlqe pauvres fleurs étiolés", "de noires et hautes murailles", "leurs feuilles à moitié pourris". Tu peux aussi enlevé "un ou deux poissons rouges flottaient plutôt qu'ils nageaient dans un bassin couvert de lentilles d'eau et de plantes de marais" en le remplaçant par "quelques poissons rouges, telles des flammes, dansaient, tourbillonnaient dans une dance folle que seule eux connaissaient la chorégraphie si complexe, dans un petit point d'eau où poussaient, à la surface de l'eau, comme des bras s'étirant, des plante au verts multiples et à la texture de soie".
Voilà!! J'espère t'avoir un peu aider!!Si tu a besion de plus d'aide, redemande-moi!!
Anonyme
Posté le 27 mars 2011
oubli : "boulevard" Saint Antoine.

....cerises, bien dodues s'étiraient ça et là dans un parc immense arboré d'une multitude d'espèces. Quelques fleurs aux couleurs chatoyantes se tenaient droites comme ces promeneurs à l'allure fière et raide, qui marchent attendant un rayon de soleil pour cueillir quelques fleurs. Les herbes qui avaient été tondues récemment facilitaient les promenades dans les allées. Des dizaines de poissons nageaient dans le bassin couvert de plantes aquatiques et colorées.
Mon oncle appelait cela son jardin.

Je t'ai apporté de l'aide mais essaie de remanier cela à ta "sauce".

Jusqu'au nom commun "cerise" tu as respecté la consigne. Mets des adjectifs qualificatifs pour varier et étoffer ton devoir.


flower93


Anonyme
Posté le 27 mars 2011
Merci vos réponses m'ont vraiment aidés.
C'est gentil
Anonyme
Posté le 27 mars 2011
il n'y a pas de quoi SidneyRules. Bon devoir et une bonne note en perspective, je pense.

flower93
Anonyme
Posté le 27 mars 2011
Mon oncle, le chevalier de ***, habitait une petite maison donnant d'un côté sur une joyeuse rue animée et de l'autre sur le splendide Saint-Antoine. Entre le boulevard et le corps du logis, quelques arbres fruitiers, cerisiers et pommiers, couverts de fleurs et d'insectes butinant, cachaient un haut mur pour donner vie à ce recoin tranquille et ignoré de tous. Quelques tulipes colorées se dressaient audacieusement, comme de vives adolescentes, vers les rayons de soleil qui réchauffaient leurs jeunes feuilles. Les herbes qui poussaient entre les pavés des allées et les poissons rouges qui s'ébattaient dans un bassin entouré de plantes aquatiques achevaient de donner vie à ce recoin secret mais charmant.
Mon oncle appelait cela son jardin secret.

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