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Sujet du devoir
Je dois introduire un portrait dans un récit, donc si vous pouviez me donner votre avis, des conseils... Mais je suis plus la pour vous demander si vous pouviez corriger mes fautes, j'en ai déjà corriger un peu, mais je suis sur qu'il en reste beaucoup. :/Où j'en suis dans mon devoir
« Crac ! »-«Cotte, Niama, avez-vous entendu ?
-Entendu ? Mais de quoi parles-tu ?, dit Niama.
-Je vous dit que j’ai entendu du bruit !
-Petit frère, tu dois être fatigué, dors, ça ira mieux demain ! Répliqua Cotte.
J’étais pourtant sûr d’avoir entendu du bruit. Une branche d’arbre semblait avoir céder sous le poids de quelqu'un, ou de quelque chose. La nuit était sombre et froide. Nous avions faim. J’en conclus donc que c’était mon ventre qui me jouait des mauvais tours. Mais au milieu de la nuit, j’entendis des petits cris étrangement ressemblants à nos cris de communication à Cotte, Niama et moi, qui résonnèrent dans la grotte où nous dormions. Moi qui voulais devenir un jour Maavel le Grand, je devais aller affronter cette personne. Mais s’ils étaient dix ? S’ils étaient cinquante ? Ou même pire, si c'était les chasseurs de marrons ? Nous avaient-ils retrouver, après ces longs mois ?
J'étais septique.
Je sortis de la grotte très prudemment, comme me l’avait appris ce bon Augustave. Je réussis à distinguer l’ombre d’une femme. Une femme petite, mais robuste. Elle semblait avoir été façonner par les épreuves, tout comme Niama.
« Qui es-tu ? », lui demandais-je.
Le femme me fixait, mais ne disait mot. Elle paraissait terrifiée par la peur. Pourquoi ? J’allais bientôt savoir.
« Je suis…
-Continue, qui es-tu ?
-Une marron ! Me dit-elle.
-Une marron ?!
-Oui, une marron perdue.
-Comment t’appelles-tu ?
-Fëaame.
La femme qui me faisait face était petite, une tête de moins que moi. Elle s’approcha de moi, et là, je pu observer sur son visage, les cicatrices qui dominaient sur le reste. Son regard perçant était d’un gris émeraude. Ses longs cheveux crépus et nattés tombaient du côté droit de ses épaules. Fëaame était une femme bien faite, mais ses bras et ses mollets avait dues côtoyer les orties et les hauts buissons plus d’une fois. Elle tenait dans sa main un puissant épieu.
« Pourquoi ris-tu ?
-C’est juste que je ne vois pas Niama avec un épieu à la main !
-Qui est Niama ?
-La compagne de mon grand et fort frère Cotte, suis moi, je vais te les présenter, tu verras, ils sont très sympathiques. »
Fëaame entra dans la grotte. Cotte se méfia quelques instant mais je lui fit signe qu’elle était digne de confiance. Et même si un jour elle nous faisait un mauvais coup, à une contre trois, elle ne pourrai rien faire.
« Vous avez faim ? » nous dit-elle.
-Et comment ! Cela fait deux jour que nous n’avons pas mangé !
-Du bœuf séché ?!, je crois que nous allons bien nous entendre !, s’exclama Niama. Cotte prit la décision de garder Fëaame en sécurité près de nous, il l’a trouvé gentille elle continua donc à chercher la route vers la liberté avec Cotte, Niama et Moi.
***Fin***
6 commentaires pour ce devoir
Saluuut ! :) :P
Meeeerci beaucoup, et oui, je me viens de me souvenir que pour les guillemets ma prof me l'avais dit! :P
Merci de m'avoir consacré du temps (a).
A plus tard.
Meeeerci beaucoup, et oui, je me viens de me souvenir que pour les guillemets ma prof me l'avais dit! :P
Merci de m'avoir consacré du temps (a).
A plus tard.
5
Mais je vous en prie, tout le plaisir est pour moi!!
;D
;D
Bonjour,
Après t'avoir aidé pour le début du récit, j'avais hâte de connaître la suite. Ton écriture est très bien. On ne dirait pas que c'est un collégien qui l'a écrit! (c'est un compliment ! :) )
2 petites choses :
- Pourquoi ris tu? On ne comprend que par la suite que c'est ton personnage principal, peut être serait il plus judicieux de le préciser.
- Pour rester dans le ton d'un langage soutenu, je remplacerai gentille par sympathique (ou autre synonyme) dans la phrase "Cotte prit la décision de garder Fëaame en sécurité près de nous, il l’a trouvé gentille elle continua donc à chercher la route vers la liberté avec Cotte, Niama et Moi."
Après t'avoir aidé pour le début du récit, j'avais hâte de connaître la suite. Ton écriture est très bien. On ne dirait pas que c'est un collégien qui l'a écrit! (c'est un compliment ! :) )
2 petites choses :
- Pourquoi ris tu? On ne comprend que par la suite que c'est ton personnage principal, peut être serait il plus judicieux de le préciser.
- Pour rester dans le ton d'un langage soutenu, je remplacerai gentille par sympathique (ou autre synonyme) dans la phrase "Cotte prit la décision de garder Fëaame en sécurité près de nous, il l’a trouvé gentille elle continua donc à chercher la route vers la liberté avec Cotte, Niama et Moi."
Merci pour le compliment :)
D'accord, je remplacerai le "gentille" c'est vrai que ça va pas avec le reste. :P
Je vais ajouter que c'est Fëaame qui demande pourquoi il rit.
Merci beaucoup, je vous mettrai la note que j'ai eu! :)
Meeeeeeeeeeeeeeeerci!
D'accord, je remplacerai le "gentille" c'est vrai que ça va pas avec le reste. :P
Je vais ajouter que c'est Fëaame qui demande pourquoi il rit.
Merci beaucoup, je vous mettrai la note que j'ai eu! :)
Meeeeeeeeeeeeeeeerci!
Crac ! »
-«Cotte, Niama, avez-vous entendu ?
-Entendu ? Mais de quoi parles-tu ?", dit Niama.
-Je vous dis que j’ai entendu du bruit !
-Petit frère, tu dois être fatigué, dors, ça ira mieux demain ! Répliqua Cotte.
J’étais pourtant sûr d’avoir entendu du bruit. Une branche d’arbre semblait avoir cédé sous le poids de quelqu'un, ou de quelque chose. La nuit était sombre et froide. Nous avions faim. J’en conclus donc que c'était mon ventre qui me jouait des mauvais tours. Mais au milieu de la nuit, j’entendis de petits cris étrangement ressemblants à nos cris de communication à Cotte, Niama et moi, qui résonnèrent dans la grotte où nous dormions. Moi qui voulais devenir un jour Maavel le Grand, je devais aller affronter cette personne. Mais s’ils étaient dix ? S’ils étaient cinquante ? Ou même pire, si c'était les chasseurs de marrons ? Nous avaient-ils retrouvé, après ces longs mois ?
J'étais septique.
Je sortis de la grotte très prudemment, comme me l’avait appris ce bon Augustave. Je réussis à distinguer l’ombre d’une femme. Une femme petite, mais robuste. Elle semblait avoir été façonnée par les épreuves, tout comme Niama.
« Qui es-tu ? », lui demandais-je.
Le femme me fixait, mais ne disait mot. Elle paraissait terrifiée par la peur. Pourquoi ? J’allais bientôt le savoir.
« Je suis…
-Continue, qui es-tu ?
-Une marron ! Me dit-elle.
-Une marron ?!
-Oui, une marron perdue.
-Comment t’appelles-tu ?
-Fëaame.
La femme qui me faisait face était petite, une tête de moins que moi. Elle s’approcha de moi, et là, je pu observer sur son visage, les cicatrices qui dominaient sur le reste. Son regard perçant était d’un gris émeraude. Ses longs cheveux crépus et nattés tombaient du côté droit de ses épaules. Fëaame était une femme bien faite, mais ses bras et ses mollets avait dus côtoyer les orties et les hauts buissons plus d’une fois. Elle tenait dans sa main un puissant épieu.
« Pourquoi ris-tu ?, me dit elle, un peu gênée.
-C’est juste que je ne vois pas Niama avec un épieu à la main !
-Qui est Niama ?
-La compagne de mon grand et fort frère Cotte, suis moi, je vais te les présenter, tu verras, ils sont très sympathiques. »
Fëaame entra dans la grotte. Cotte se méfia quelques instants mais je lui fis signe qu’elle était digne de confiance. Et même si un jour elle nous faisait un mauvais coup, à une contre trois, elle ne pourrait rien faire.
« Vous avez faim ? » nous dit-elle.
-Et comment ! Cela fait deux jours que nous n’avons pas mangé !
-Du bœuf séché ?!, je crois que nous allons bien nous entendre !, s’exclama Niama. Cotte prit la décision de garder Fëaame en sécurité près de nous, il la trouvait sympathique et elle continua donc à chercher la route vers la liberté avec Cotte, Niama et Moi.
***
Voilà le résultat final ! :)
-«Cotte, Niama, avez-vous entendu ?
-Entendu ? Mais de quoi parles-tu ?", dit Niama.
-Je vous dis que j’ai entendu du bruit !
-Petit frère, tu dois être fatigué, dors, ça ira mieux demain ! Répliqua Cotte.
J’étais pourtant sûr d’avoir entendu du bruit. Une branche d’arbre semblait avoir cédé sous le poids de quelqu'un, ou de quelque chose. La nuit était sombre et froide. Nous avions faim. J’en conclus donc que c'était mon ventre qui me jouait des mauvais tours. Mais au milieu de la nuit, j’entendis de petits cris étrangement ressemblants à nos cris de communication à Cotte, Niama et moi, qui résonnèrent dans la grotte où nous dormions. Moi qui voulais devenir un jour Maavel le Grand, je devais aller affronter cette personne. Mais s’ils étaient dix ? S’ils étaient cinquante ? Ou même pire, si c'était les chasseurs de marrons ? Nous avaient-ils retrouvé, après ces longs mois ?
J'étais septique.
Je sortis de la grotte très prudemment, comme me l’avait appris ce bon Augustave. Je réussis à distinguer l’ombre d’une femme. Une femme petite, mais robuste. Elle semblait avoir été façonnée par les épreuves, tout comme Niama.
« Qui es-tu ? », lui demandais-je.
Le femme me fixait, mais ne disait mot. Elle paraissait terrifiée par la peur. Pourquoi ? J’allais bientôt le savoir.
« Je suis…
-Continue, qui es-tu ?
-Une marron ! Me dit-elle.
-Une marron ?!
-Oui, une marron perdue.
-Comment t’appelles-tu ?
-Fëaame.
La femme qui me faisait face était petite, une tête de moins que moi. Elle s’approcha de moi, et là, je pu observer sur son visage, les cicatrices qui dominaient sur le reste. Son regard perçant était d’un gris émeraude. Ses longs cheveux crépus et nattés tombaient du côté droit de ses épaules. Fëaame était une femme bien faite, mais ses bras et ses mollets avait dus côtoyer les orties et les hauts buissons plus d’une fois. Elle tenait dans sa main un puissant épieu.
« Pourquoi ris-tu ?, me dit elle, un peu gênée.
-C’est juste que je ne vois pas Niama avec un épieu à la main !
-Qui est Niama ?
-La compagne de mon grand et fort frère Cotte, suis moi, je vais te les présenter, tu verras, ils sont très sympathiques. »
Fëaame entra dans la grotte. Cotte se méfia quelques instants mais je lui fis signe qu’elle était digne de confiance. Et même si un jour elle nous faisait un mauvais coup, à une contre trois, elle ne pourrait rien faire.
« Vous avez faim ? » nous dit-elle.
-Et comment ! Cela fait deux jours que nous n’avons pas mangé !
-Du bœuf séché ?!, je crois que nous allons bien nous entendre !, s’exclama Niama. Cotte prit la décision de garder Fëaame en sécurité près de nous, il la trouvait sympathique et elle continua donc à chercher la route vers la liberté avec Cotte, Niama et Moi.
***
Voilà le résultat final ! :)
Ils ont besoin d'aide !
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Crac ! »
-«Cotte, Niama, avez-vous entendu ?
-Entendu ? Mais de quoi parles-tu ?", dit Niama.
-Je vous diS que j’ai entendu du bruit !
-Petit frère, tu dois être fatigué, dors, ça ira mieux demain ! Répliqua Cotte.
J’étais pourtant sûr d’avoir entendu du bruit. Une branche d’arbre semblait avoir cédé sous le poids de quelqu'un, ou de quelque chose. La nuit était sombre et froide. Nous avions faim. J’en conclus donc que CE N'était PAS mon ventre qui me jouait des mauvais tours. Mais au milieu de la nuit, j’entendis de petits cris étrangement ressemblants à nos cris de communication à Cotte, Niama et moi, qui résonnèrent dans la grotte où nous dormions. Moi qui voulais devenir un jour Maavel le Grand, je devais aller affronter cette personne. Mais s’ils étaient dix ? S’ils étaient cinquante ? Ou même pire, si c'était les chasseurs de marrons ? Nous avaient-ils retrouvé, après ces longs mois ?
J'étais septique.
Je sortis de la grotte très prudemment, comme me l’avait appris ce bon Augustave. Je réussis à distinguer l’ombre d’une femme. Une femme petite, mais robuste. Elle semblait avoir été façonnée par les épreuves, tout comme Niama.
« Qui es-tu ? », lui demandais-je.
Le femme me fixait, mais ne disait mot. Elle paraissait terrifiée par la peur. Pourquoi ? J’allais bientôt LE savoir.
« Je suis…
-Continue, qui es-tu ?
-Une marron ! Me dit-elle.
-Une marron ?!
-Oui, une marron perdue.
-Comment t’appelles-tu ?
-Fëaame.
La femme qui me faisait face était petite, une tête de moins que moi. Elle s’approcha de moi, et là, je pu observer sur son visage, les cicatrices qui dominaient sur le reste. Son regard perçant était d’un gris émeraude. Ses longs cheveux crépus et nattés tombaient du côté droit de ses épaules. Fëaame était une femme bien faite, mais ses bras et ses mollets avait duS côtoyer les orties et les hauts buissons plus d’une fois. Elle tenait dans sa main un puissant épieu.
« Pourquoi ris-tu ?
-C’est juste que je ne vois pas Niama avec un épieu à la main !
-Qui est Niama ?
-La compagne de mon grand et fort frère Cotte, suis moi, je vais te les présenter, tu verras, ils sont très sympathiques. »
Fëaame entra dans la grotte. Cotte se méfia quelques instantS mais je lui fiS signe qu’elle était digne de confiance. Et même si un jour elle nous faisait un mauvais coup, à une contre trois, elle ne pourraiT rien faire.
« Vous avez faim ? » nous dit-elle.
-Et comment ! Cela fait deux jourS que nous n’avons pas mangé !
-Du bœuf séché ?!, je crois que nous allons bien nous entendre !, s’exclama Niama. Cotte prit la décision de garder Fëaame en sécurité près de nous, il LA trouvAIT gentille et elle continua donc à chercher la route vers la liberté avec Cotte, Niama et Moi.
***Fin***
Je t'ai corrigé les fautes et ajouté des petits éléments!! Néanmoins, il faut que tu regardes une chose, je ne sais plus si dans un dialogue on ajoute des guillemets, je crois que non quand tu passes en mode dialogue, tu en mets au début et à la fin du dialogue! Et tu n'en mets pas quand c'est le récit!!!
Sinon, elle est drôle ton histoire!! ;)