L'affaire du 7 rue de M .

Publié le 6 oct. 2011 il y a 12A par Anonyme - Fin › 13 oct. 2011 dans 12A
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Sujet du devoir

je dois répondre a ces question:
sur de texte de John Steimbeck :

C’est l’histoire d’un père et de sa famille qui partent en vacances. Ils viennent d’Amérique et avait apporté de la gomme à mâcher. Le père déteste ça et il veut s’en débarrasser. Il jette cette pâte et termine bien ses vacances sans elle. " Il aime travailler dans le calme et n’aime pas être dérangé. Cependant, son fils John qui vient lui rendre visite de temps en temps doit lui aussi respecter les règles soumises par son père comme " mastiquer du chewing-gum " ou " faire des bulles ", bref garder le silence. Or, lors d’une de ses visites, il transgresse ces deux règles. Son père rentre alors dans une rage folle alors que son fils nie les faits, qui pourtant sont très visibles à cause du chewing-gum autour de la bouche. Je le considérai attentivement pendant un moment. C’est un enfant loyal qui ne se permet de mentir que lorsqu’il y est forcé. J’eus l’horrible pensée qu’enfin le bubble-gum avait eu raison de lui et que mon fils était devenu fou. S’il en était ainsi, mieux valait employer la douceur. Tranquillement, je tendis la main vers lui. " Donne-le-moi ", dis-je gentiment. Mon enfant essaya virilement de dégager ses mâchoires du chewing-gum. " Il ne veut pas me laisser faire, bredouilla-t-il.
Ouvre ", dis-je et, glissant mes doigts dans sa bouche, je saisis un gros morceau de chewing-gum. Après une véritable lutte où mes doigts glissèrent plus d’une fois, je réussis à le tirer et à déposer l’ignoble boulette sur mon bureau, au-dessus d’une pile de papier-machine blanc. Pendant un instant, la chose parut frémir puis, lentement, elle se mit à onduler, à se gonfler et à se rétracter comme si on la mâchait tandis que mon fils et moi-même la regardions avec des yeux exorbités. Un long moment, nous l’observâmes tandis que je m’efforçais de trouver quelque explication. Ou je rêvais ou bien quelque principe jusqu’ici inconnu s’était installé dans le chewing-gum mouvant posé sur mon bureau. Je ne suis pas dénué d’intelligence ; tandis que j’examinais l’indécente petite chose, une centaine de pensées et de lueurs de compréhension me vinrent à l’esprit. n froid glacial m’envahit. Je ramassai la chose répugnante, l’enveloppai dans mon mouchoir, sortis de la maison, marchai vers la Seine qui n’était qu’à quelques rues de là et jetai le mouchoir dans le courant. Je passai une bonne partie de l’après-midi à apaiser mon fils et à essayer de le rassurer en lui disant qu’il n’avait plus besoin d’avoir peur. Mais il était tellement nerveux que je dus lui donner un sédatif pour le faire dormir cette nuit-là tandis que ma femme insistait pour que j’appelle un docteur. Je n’osai pas lui dire pourquoi je n’obéissais pas à ses désirs. Je fus réveillé (et toute la maisonnée le fut aussi) par un cri de terreur étouffé qui venait de la chambre des enfants et qui retentit dans la nuit. Je dégringolai l’escalier quatre à quatre, me précipitai dans la chambre tout en allumant la lumière. John pleurait, assis dans son lit, tandis que ses doigts s’enfonçaient dans sa bouche à demi ouverte et qui ne cessait de mastiquer d’une façon horrible. Je regardai et vis une bulle apparaître entre ses doigts et éclater avec un " plop" mouillé. On suppose que ce genre d’histoire est une fiction et qu’elle se déroule près de la Seine pendant plusieurs jours. C’est l’histoire d’un garçon qui avait mangé du chewing-gum et plus il mâchait, plus c’était difficile de mâcher. Après que le père a jeté le chewing-gum dans la Seine, celui-ci revient toujours. Pendant deux semaines le monstre nous assiégea. Nous le brûlâmes dans le feu, le faisant grésiller dans les flammes bleues et se fondre dans les cendres en un magma malodorant. Dans la nuit, il s’introduisait par la serrure dans la chambre des enfants, laissant sur la porte une traînée de cendres et nous fûmes encore réveillés par les hurlements de John. Désespéré, j’allai loin dans la campagne et le jetai loin de l’auto. Il était revenu avant le matin. Apparemment il avait rampé jusqu’à l’autoroute et s’était placé au milieu des voitures allant vers Paris jusqu’à ce qu’il fût ramassé par un pneu de camion. Quand nous l’ôtâmes de la bouche de John, il avait encore sur lui des marques de pneu Michelin. La fatigue et un sentiment d’impuissance prirent le dessus. Après avoir essayé toutes les méthodes pour perdre ou détruire le chewing-gum, je le plaçai enfin sous une cloche de verre dont je me servais habituellement pour couvrir mon microscope. Je m’effondrai dans un fauteuil pour le contempler de mes yeux las et défaits. John dormait sous l’influence de sédatifs, rassuré parce que je lui avais promis de ne pas quitter la Chose des yeux.


Où j'en suis dans mon devoir

voici les questions :
-Quelle est la rection du BG a la tentative du père et quel est sont pouvoir

-Relevez toutes les autres tentatives

Merci a tous de m'avoir aidé sinon pour les autres question j'ai tout trouvé



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