Non compréhension d'une comparaison

Publié le 12 sept. 2015 il y a 8A par Anonyme - Fin › 15 sept. 2015 dans 8A
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Sujet du devoir

Bonjour, alors voilà, j'ai un devoir de français à rendre pour lundi, et je suis comme qui dirait bloquée ! Je m'explique. Nous avons la phrase suivante :

 

Jacques se levait, préparait son cartable pour les cours de lendemain, sans lâcher son livre mis sous l'aisselle, et puis, comme un ivrogne, s'endormait lourdement, après avoir glissé le livre sous son traversin. 

 

Et je dois donner le sens de la comparaison "s'endormir comme un ivrogne".

Merci d'avance !

(désolée pour la mise de 1, mais je n'ai que ça...) 

Où j'en suis dans mon devoir

J'ai d'abord pensé que je pourrais traduire cela par : "S'endormir lourdement, soudainement, d'un sommeil lourd" Mais je ne sais pas vraiment si c'est la bonne interprétation...




7 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 12 sept. 2015

Je pense qu'il est tellement fatiguer de sa journée, qu'il s'endort rapidement comme un ivrogne 

Anonyme
Posté le 12 sept. 2015

Donc ça en revient à  "S'endormir lourdement, soudainement, d'un sommeil lourd" ? Non ?

Anonyme
Posté le 12 sept. 2015

oui je pense

Anonyme
Posté le 12 sept. 2015

Bon, je vais essayer de me débrouiller avec ça alors... ^^

niogret2m
niogret2m
Posté le 12 sept. 2015

Chaque livre, en outre, avait une odeur particulière selon le papier où il était imprimé, odeur fine, secrète, dans chaque cas, mais si singulière que Jacques aurait pu distinguer les yeux fermés un livre de la collection Nelson  des éditions courantes que publiait alors Fasquelle.  « Jacques, mets la table, pour la troisième fois. » Il mettait enfin la table, le regard vide et décoloré, un peu hagard, comme intoxiqué de lecture, il reprenait son livre comme s’il ne l’avait jamais abandonné. «  Jacques, mange » ; il mangeait enfin une nourriture qui, malgré son épaisseur, lui semblait moins réelle et moins solide que celle qu’il trouvait dans ses livres, puis il débarrassait et reprenait le livre. Parfois sa mère s’approchait avant d’aller s’asseoir dans son coin. «  C’est la bibliothèque » disait-elle. Elle prononçait mal  ce mot qu’elle entendait dans la bouche de son fils et qui ne lui disait rien, mais elle reconnaissait la couverture des livres. « Oui » disait Jacques sans lever la tête. Catherine Cormery  se penchait par dessus son épaule. Elle regardait le double rectangle sous la lumière, la rangée régulière des lignes ; elle aussi respirait l’odeur, et parfois elle passait sur la page ses doigts gourds et ridés par l’eau des lessives comme si elle essayait de  mieux connaître ce qu’était un livre, d’approcher d’un peu plus près ces signes mystérieux, incompréhensibles pour elle, mais où son fils trouvait si souvent et durant des heures une vie qui lui était inconnue et d’où il revenait avec ce regard qu’il posait sur elle comme une étrangère. La main déformée caressait doucement la tête du garçon qui ne réagissait pas, elle soupirait, puis elle allait s’asseoir, loin de lui. «  Jacques, va te coucher ». La grand-mère répétait l’ordre. «  Demain, tu seras en retard. » Jacques se levait, préparait son cartable pour les cours du lendemain, sans lâcher son livre mis sous l’aisselle, et puis, comme un ivrogne, s’endormait lourdement, après avoir glissé le livre sous son traversin.
 A.Camus, Le premier homme, Ed. Gallimard       

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ll y a deux idées dans cette comparaison. Il s'endort d'un sommeil lourd mais il met le livre sous le traversin ce qui indique qu'il ne peut se passer de la lecture comme l'ivrogne ne peut se passer de sa bouteille. Sorte de comparaison de deux "ivresses".

 

 

Anonyme
Posté le 12 sept. 2015

c est simple la comparaison est simple peut importe l ivresse le sommeil est vainqueur

Anonyme
Posté le 13 sept. 2015

Si comme tu as dis S'endormir lourdement,  ou s'endormi d'un lour sommeil !! 


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