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Sujet du devoir
bonjour, qui a le manuel svp hatier livre unique 4ème Français. je suis bloqué pour la question 2) b page 30 : texte page 26 merciOù j'en suis dans mon devoir
12 commentaires pour ce devoir
Coucou moun92! Malheureusement on peut pas trop t'aidée! ^^
Je suis assez forte en francais, alors si tu veux de l'aide, pourrais-tu recopier l'exercice? :)
Je suis assez forte en francais, alors si tu veux de l'aide, pourrais-tu recopier l'exercice? :)
bien sur !!! mais c'est un texte de 2 pages !!
bon oui : je le fais
voila, good !!!
mais c est quand-meme dingue que l education nationale n ai pas encore adopte les memes manuels pour tous les collegiens- lyceens.
exemple rigolo ; notre manuel de francais datte de 1999 et dessus il y a un stic rouge sur le quel il y a ecrit -nouveau programme-.
en revanche , nos livre de technologie sonts tout neufs , eux...
et dire que j habite en essonne et que l enseignement francais est l un des meilleurs au monde...
vous vous voyez , vous , etre eleve dans une ecole Somalienne ?
on vous apprend a fabriquer des armes en cours de techno ?
lol
exemple rigolo ; notre manuel de francais datte de 1999 et dessus il y a un stic rouge sur le quel il y a ecrit -nouveau programme-.
en revanche , nos livre de technologie sonts tout neufs , eux...
et dire que j habite en essonne et que l enseignement francais est l un des meilleurs au monde...
vous vous voyez , vous , etre eleve dans une ecole Somalienne ?
on vous apprend a fabriquer des armes en cours de techno ?
lol
Il frappa trois coups.
Dès le premier, le bruit avait cessé, comme par enchantement.
Edmond écouta de toute son âme. Une heure s'écoula, deux heures s'écoulèrent, aucun bruit nouveau ne se fit entendre ; Edmond avait fait naître de l'autre côté de la muraille un silence absolu.
Plein d'espoir, Edmond mangea quelques bouchées de son pain, avala quelques gorgées d'eau, et, grâce à la constitution puissante dont la nature l'avait doué, se retrouva à peu près comme auparavant.
La journée s'écoula, le silence durait toujours.
La nuit vint sans que le bruit eût recommencé.
"C'est un prisonnier", se dit Edmond avec une indicible joie.
Dès lors sa tête s'embrasa, la vie lui revint violente à force d'être active.
La nuit se passa sans que le moindre bruit se fît entendre.
Edmond ne ferma pas les yeux de cette nuit.
Le jour revint ; le geôlier rentra apportant les provisions. Edmond avait déjà dévoré les anciennes ; il dévora les nouvelles, écoutant sans cesse ce bruit qui ne revenait pas, tremblant qu'il eût cessé pour toujours, faisant dix ou douze lieues dans son cachot, ébranlant pendant des heures entières les barreaux de fer de son soupirail, rendant l'élasticité et la vigueur à ses membres par un exercice désappris depuis longtemps, se disposant enfin à reprendre corps à corps sa destinée à venir, comme fait, en étendant ses bras, et en frottant son corps d'huile, le lutteur qui va entrer dans l'arène. Puis, dans les intervalles de cette activité fiévreuse il écoutait si le bruit ne revenait pas, s'impatientant de la prudence de ce prisonnier qui ne devinait point qu'il avait été distrait dans son œuvre de liberté par un autre prisonnier, qui avait au moins aussi grande hâte d'être libre que lui.
Trois jours s'écoulèrent, soixante-douze mortelles heures comptées minute par minute !
Enfin un soir, comme le geôlier venait de faire sa dernière visite, comme pour la centième fois Dantès collait son oreille à la muraille, il lui sembla qu'un ébranlement imperceptible répondait sourdement dans sa tête, mise en rapport avec les pierres silencieuses.
Dantès se recula pour bien rasseoir son cerveau ébranlé, fit quelques tours dans la chambre, et replaça son oreille au même endroit.
Il n'y avait plus de doute, il se faisait quelque chose de l'autre côté ; le prisonnier avait reconnu le danger de sa manœuvre et en avait adopté quelque autre, et, sans doute pour continuer son œuvre avec plus de sécurité, il avait substitué le levier au ciseau.
Enhardi par cette découverte, Edmond résolut de venir en aide à l'infatigable travailleur. Il commença par déplacer son lit, derrière lequel il lui semblait que l'œuvre de délivrance s'accomplissait, et chercha des yeux un objet avec lequel il pût entamer la muraille, faire tomber le ciment humide, desceller une pierre enfin.
Rien ne se présenta à sa vue. Il n'avait ni couteau ni instrument tranchant ; du fer à ses barreaux seulement, et il s'était assuré si souvent que ses barreaux étaient bien scellés, que ce n'était plus même la peine d'essayer à les ébranler.
Pour tout ameublement, un lit, une chaise, une table, un seau, une cruche.
À ce lit il y avait bien des tenons de fer, mais ces tenons étaient scellés au bois par des vis. Il eût fallu un tournevis pour tirer ces vis et arracher ces tenons.
À la table et à la chaise, rien ; au seau, il y avait eu autrefois une anse, mais cette anse avait été enlevée.
Il n'y avait plus, pour Dantès, qu'une ressource, c'était de briser sa cruche et, avec un des morceaux de grès taillés en angle, de se mettre à la besogne.
Il laissa tomber la cruche sur un pavé, et la cruche vola en éclats.
Dantès choisit deux ou trois éclats aigus, les cacha dans sa paillasse, et laissa les autres épars sur la terre. La rupture de sa cruche était un accident trop naturel pour que l'on s'en inquiétât.
Edmond avait toute la nuit pour travailler ; mais dans l'obscurité, la besogne allait mal, car il lui fallait travailler à tâtons, et il sentit bientôt qu'il émoussait l'instrument informe contre un grés plus dur. Il repoussa donc son lit et attendit le jour. Avec l'espoir, la patience lui était revenue
voila le texte
Dès le premier, le bruit avait cessé, comme par enchantement.
Edmond écouta de toute son âme. Une heure s'écoula, deux heures s'écoulèrent, aucun bruit nouveau ne se fit entendre ; Edmond avait fait naître de l'autre côté de la muraille un silence absolu.
Plein d'espoir, Edmond mangea quelques bouchées de son pain, avala quelques gorgées d'eau, et, grâce à la constitution puissante dont la nature l'avait doué, se retrouva à peu près comme auparavant.
La journée s'écoula, le silence durait toujours.
La nuit vint sans que le bruit eût recommencé.
"C'est un prisonnier", se dit Edmond avec une indicible joie.
Dès lors sa tête s'embrasa, la vie lui revint violente à force d'être active.
La nuit se passa sans que le moindre bruit se fît entendre.
Edmond ne ferma pas les yeux de cette nuit.
Le jour revint ; le geôlier rentra apportant les provisions. Edmond avait déjà dévoré les anciennes ; il dévora les nouvelles, écoutant sans cesse ce bruit qui ne revenait pas, tremblant qu'il eût cessé pour toujours, faisant dix ou douze lieues dans son cachot, ébranlant pendant des heures entières les barreaux de fer de son soupirail, rendant l'élasticité et la vigueur à ses membres par un exercice désappris depuis longtemps, se disposant enfin à reprendre corps à corps sa destinée à venir, comme fait, en étendant ses bras, et en frottant son corps d'huile, le lutteur qui va entrer dans l'arène. Puis, dans les intervalles de cette activité fiévreuse il écoutait si le bruit ne revenait pas, s'impatientant de la prudence de ce prisonnier qui ne devinait point qu'il avait été distrait dans son œuvre de liberté par un autre prisonnier, qui avait au moins aussi grande hâte d'être libre que lui.
Trois jours s'écoulèrent, soixante-douze mortelles heures comptées minute par minute !
Enfin un soir, comme le geôlier venait de faire sa dernière visite, comme pour la centième fois Dantès collait son oreille à la muraille, il lui sembla qu'un ébranlement imperceptible répondait sourdement dans sa tête, mise en rapport avec les pierres silencieuses.
Dantès se recula pour bien rasseoir son cerveau ébranlé, fit quelques tours dans la chambre, et replaça son oreille au même endroit.
Il n'y avait plus de doute, il se faisait quelque chose de l'autre côté ; le prisonnier avait reconnu le danger de sa manœuvre et en avait adopté quelque autre, et, sans doute pour continuer son œuvre avec plus de sécurité, il avait substitué le levier au ciseau.
Enhardi par cette découverte, Edmond résolut de venir en aide à l'infatigable travailleur. Il commença par déplacer son lit, derrière lequel il lui semblait que l'œuvre de délivrance s'accomplissait, et chercha des yeux un objet avec lequel il pût entamer la muraille, faire tomber le ciment humide, desceller une pierre enfin.
Rien ne se présenta à sa vue. Il n'avait ni couteau ni instrument tranchant ; du fer à ses barreaux seulement, et il s'était assuré si souvent que ses barreaux étaient bien scellés, que ce n'était plus même la peine d'essayer à les ébranler.
Pour tout ameublement, un lit, une chaise, une table, un seau, une cruche.
À ce lit il y avait bien des tenons de fer, mais ces tenons étaient scellés au bois par des vis. Il eût fallu un tournevis pour tirer ces vis et arracher ces tenons.
À la table et à la chaise, rien ; au seau, il y avait eu autrefois une anse, mais cette anse avait été enlevée.
Il n'y avait plus, pour Dantès, qu'une ressource, c'était de briser sa cruche et, avec un des morceaux de grès taillés en angle, de se mettre à la besogne.
Il laissa tomber la cruche sur un pavé, et la cruche vola en éclats.
Dantès choisit deux ou trois éclats aigus, les cacha dans sa paillasse, et laissa les autres épars sur la terre. La rupture de sa cruche était un accident trop naturel pour que l'on s'en inquiétât.
Edmond avait toute la nuit pour travailler ; mais dans l'obscurité, la besogne allait mal, car il lui fallait travailler à tâtons, et il sentit bientôt qu'il émoussait l'instrument informe contre un grés plus dur. Il repoussa donc son lit et attendit le jour. Avec l'espoir, la patience lui était revenue
voila le texte
question :
Que cherche t-il a faire ? dans quel état d'esprit est-il?
Que cherche t-il a faire ? dans quel état d'esprit est-il?
il a compris que c'etait un prisonnier qui creusait, il vas creuser lui aussi pour tenter d'entrer en contact avec lui
sentiments qu'il eprouve qd il entend le bruit : excitation, espoir, impatience, ce prisonnier qui creusait le faisait "revivre", il attend ce bruit
a toi de faire les phrases et d'expliquer
sentiments qu'il eprouve qd il entend le bruit : excitation, espoir, impatience, ce prisonnier qui creusait le faisait "revivre", il attend ce bruit
a toi de faire les phrases et d'expliquer
merci
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tu est un eleve motive et courageux et ce n est pas un petit recopiage qui te ferais peur . je me trompe ?