Redac n°6 aidez moi a corrigez mon dialogue svp

Publié le 8 avr. 2015 il y a 9A par Anonyme - Fin › 11 avr. 2015 dans 9A
18.00 / 20
5

Sujet du devoir

Bonjour pourrez vous faire en sorte que j'ai un dialogue niquel en me corrigeant mon orthographe plus la forme du dialogue( guillemets bien placé tout sa..) c'est en dessous 

 

Rédaction n°6

Sujet : Cosette a été adoptée par Jean Valjean, un jour devenue grande, elle découvre par hasard, la poupée offerte, par Jean Valjean. Les souvenirs reviennent et elle les évoques, ainsi que les émotions ressenties, avec son père adoptif.

La remontés des sentiments d’

Intro : Jean ValJean ayant fuit Montreuil Sur Mer , il partis vivre a Paris avec Cosette ou ils vivent heureux, celle-ci était partie dans le grenier et elle a retrouvé sa meilleure amie d’enfance, sa poupée elle décide de réciter l’incroyable aventure de celle-ci !


« Père ! Regardé qu’elle dame ai je retrouvée ! lançait t-elle d’un regard pétillant et heureux.
Oh ma chère enfant, c’est la poupée que je t’ai offert lorsque tu étais enfant ! répondit le vieux avec les larmes aux yeux.
Je me souviens a présent , avant votre venue puis pendant et enfin après votre venue, souhaite tu que je te racontes l’histoire papa ? suggérait-elle d’un aire nostalgique.
Oh oui, avec grand plaisir ma fille, vas y raconte ! encourageait-il la jeune fille.
Se soir la, avant votre venue, Madame Thénardier avait fait une soupe de pain qui étais hideuse ! L’odeur étais certe alléchante mais quand au plat c’étais ignoble, en cuisine elle ne s’y connaissait pas ! expliquait Cosette qui étais dérangée.
Moi je me souviens la belle couleur des lampions qui illuminés la ruelle,j’ai même appelé cet ruelle, la ruelle arc-en-ciel ! Fin d’extérieur c’étais chaleureux après la vie a l’intérieur si j’avait sus ma chère Cosette je serais venue bien avant te cherchée.. répliquait l’invalide qui parlé d’un ton regrettant son action.
Se n’est pas grave papa, mais je continue mon récit, tu sais que la mère Thenardier me rossait. Je sens encore le ceinturon froid qui attaqué tel, une vipère sur sa proie,sur mon dos en forme de voûte a force de me plier de douleur. Confessait la jeune fille qui se sentait honteuse de racontait cet épisode.
Oh, ma pauvre enfant, heureusement que je t’ai sauvé de cet marâtre, elle cachait bien son jeu,mais tu sais dans cette journée j’ai étais heureux au moment où je suis rentré et lorsque je t’ai vue j’ai sus que toi et moi sa ne s’arrêterai pas la, car au fond je savais comment les événements allés tourner..se souvenait-il en versant une larme de joie en voyant que cette fois il ne s’étais pas trompé.
Au moment où la méchante femme continue comme a son habitude a me frappait, me rabaissait et m’humiliait, on entendit un bruit a la porte, je ne me disait pas que mon futur père se trouverais derrière et encore moins le bon dieu, mais lorsque que je t’ai vue papa, je n’ai pas pensé tout de suite que tu allais faire comme tout les autres amis de la Thenardier, si tu vois ce que je veut parlais, mais passons sa j’ai crus que tu essayait de m’amadouait en me donnant une poupée, mais j’ai vue au plus profond de toi que tu n’étais pas comme les autres, et alors j’avoue que j’étais timide puis l’autre qui s’acharnait sur moi j’ai avais l’impression d’être une bagnarde qui devais obéir aux ordres, mais le moment ou j’ai touché la main de la poupée se fut comme une libération, une délivrance, une évasion pendant quelque seconde de ma vie de tout les jours, j’étais enfin heureuse et je ne remerciait jamais assez de ses quelque secondes .. pleurait t-elle sur ses derniers mots.
Moi, je me souviens le moment ou j’ai mis la main de la poupée dans ta main, j’en pleure aussi rien que dis pensais tes petites mains de travailleuse sur les mains de cette poupée, qui elle n’avait jamais rien fais, a ce moment j’étais heureux et oui tu m’avais redonné le sourire, puis j’ai du partir, avec du regrets de te laisser chez la mégère, j’avais quitté un endroit où j’avais réussis a rendre heureux un petit ange, a la dure vie de tout les jours le froid, la faim ainsi que la famine mais t’avoir vue avec ce sourire éclatant, et ses yeux éclatant j’étais comme transporté sur un nuage.. Aller sécher tes larmes et viens faire un câlin a ton vieux père ! terminait-il sa phrase et enlaçant sa petite fille dans ses bras. »

Où j'en suis dans mon devoir

 pour l'instant rien.




6 commentaires pour ce devoir


Anonyme
Posté le 8 avr. 2015

« Père ! Regardé qu’elle dame j’ai retrouvée ! » lançait-elle d’un regard pétillant et heureux.
« Oh ma chère enfant, c’est la poupée que je t’ai offert lorsque tu étais enfant ! » répondit le vieux avec les larmes aux yeux.
« Je me souviens à présent, avant votre venue puis pendant et enfin après votre venue, souhaite tu que je te raconte l’histoire papa ? » suggérait-elle d’un air nostalgique.
« Oh oui, avec grand plaisir ma fille, vas y raconte! » encourageait-il la jeune fille.
« Ce soir-là, avant votre venue, Madame Thénardier avait fait une soupe de pain qui était hideuse ! L’odeur étais certes alléchante mais quand au plat c’était ignoble, en cuisine elle ne s’y connaissait pas ! » expliquait Cosette qui était dérangée.
« Moi je me souviens la belle couleur des lampions qui illuminaient la ruelle, j’ai même appelé cette ruelle : la ruelle arc-en-ciel ! Fin d’extérieur c’était chaleureux après la vie à l’intérieur si j’avais sus ma chère Cosette je serais venu bien avant te cherchée… » répliquait l’invalide qui parlé d’un ton regrettant son action.
« Ce n’est pas grave papa, mais je continue mon récit, tu sais que la mère Thenardier me rossait. Je sens encore le ceinturon froid qui attaqué tel, une vipère sur sa proie, sur mon dos en forme de voûte à force de me plier de douleur » confessait la jeune fille qui se sentait honteuse de raconter cet épisode.
« Oh, ma pauvre enfant, heureusement que je t’ai sauvé de cette marâtre, elle cachait bien son jeu, mais tu sais dans cette journée j’ai étais heureux au moment où je suis rentré et lorsque je t’ai vue j’ai sus que toi et moi ça ne s’arrêterai pas là, car au fond je savais comment les événements allaient tourner » se souvenait-il en versant une larme de joie en voyant que cette fois il ne s’était pas trompé.
« Au moment où la méchante femme continue comme à son habitude a me frapper, me rabaisser et m’humilier, on entendit un bruit a la porte, je ne me disait pas que mon futur père se trouverais derrière et encore moins le bon dieu, mais lorsque que je t’ai vue papa, je n’ai pas pensé tout de suite que tu allais faire comme tous les autres amis de la Thenardier, si tu vois ce que je veux parler, mais passons ça j’ai crus que tu essayais de m’amadouer  en me donnant une poupée, mais j’ai vue au plus profond de toi que tu n’étais pas comme les autres, et alors j’avoue que j’étais timide puis l’autre qui s’acharnait sur moi j’ai avais l’impression d’être une bagnarde qui devais obéir aux ordres, mais le moment où j’ai touché la main de la poupée se fut comme une libération, une délivrance, une évasion pendant quelque seconde de ma vie de tous les jours, j’étais enfin heureuse et je ne remerciais jamais assez de ses quelque secondes ... » pleurait-elle sur ses derniers mots.
« Moi, je me souviens le moment où j’ai mis la main de la poupée dans ta main, j’en pleure aussi rien que d’y penser, tes petites mains de travailleuse sur les mains de cette poupée, qu’elle n’avait jamais rien fais, à ce moment j’étais heureux et oui tu m’avais redonné le sourire, puis j’ai dû partir, avec du regrets de te laisser chez la mégère, j’avais quitté un endroit où j’avais réussis à rendre heureux un petit ange, à la dure vie de tous les jours le froid, la faim ainsi que la famine mais t’avoir vue avec ce sourire éclatant, et ses yeux éclatant j’étais comme transporté sur un nuage…  Aller sèche tes larmes et viens faire un câlin a ton vieux père ! » terminait-il sa phrase et enlaçant sa petite fille dans ses bras. 

Voila. Je n'ai fait que corriger l’orthographe et les guillemets. Je pense que tu pourrais également retravailler certaines parties du texte qui ne sont pas très claires.

 

willffy
willffy
Posté le 8 avr. 2015

trop d'erreurs pour que je corrige à cette heure-ci et ch33 n'a rien corrigé!

Demain?

Anonyme
Posté le 8 avr. 2015

« Père ! Regardez quelle dame ai je retrouvée ! lançait-elle d’un regard pétillant et heureux.

-Oh ma chère enfant, c’est la poupée que je t’ai offerte lorsque tu étais enfant ! répondit le vieux avec les larmes aux yeux.

-Je me souviens à présent , avant votre venue... puis, pendant... et enfin après votre venue. Souhaitez vous que je vous raconte l’histoire papa ? suggérait-elle d’un air nostalgique.

-Oh oui, avec grand plaisir ma fille, vas y raconte ! encouragea l'homme.

-Ce soir là, avant votre venue, Madame Thénardier avait fait une soupe de pain qui était hideuse ! L’odeur était certe alléchante mais le plat était ignoble. En cuisine elle ne s’y connaissait pas ! expliquait Cosette qui était dérangée.

- Moi je me souviens de la belle couleur des lampions qui illuminaient la ruelle, j’ai même appelé cette ruelle : "la ruelle arc-en-ciel" ! Fin d’extérieur c’était chaleureux après la vie à l’intérieur si j’avais su ma chère Cosette!  Je serais venu  te chercher bien avant …  répliquait l’invalide qui parlait d’un ton regrettant son action.  

 

Voilà quelques corrections... Il est tard (23H30) je vais donc m'arrêter là pour ce soir...  Des fautes, j'en ai peut-être oubliées, en espérant ne pas en avoir rajoutées...

willffy
willffy
Posté le 9 avr. 2015
Utilise le passé simple à la place de l'imparfait.
5
Anonyme
Posté le 9 avr. 2015

« Père ! Regardez quelle dame j'ai retrouvé !, lançait t-elle d’un regard pétillant et heureux.

- Oh, ma chère enfant, c’est la poupée que je t’ai offert lorsque tu étais enfant !, répondit le vieux avec les larmes aux yeux


- Je me souviens à présent, avant votre venue puis pendant et enfin après votre venue, souhaites-tu que je te raconte l’histoire papa ? suggérait-elle d’un air nostalgique.

- Oh oui, avec grand plaisir ma fille, vas-y racontes !, encourageait-il la jeune fille.

- Ce soir là, avant votre venue, Madame Thénardier avait fait une soupe de pain qui était hideuse ! L’odeur étais certse alléchante mais quand au plat c’était ignoble, en cuisine elle ne s’y connaissait pas !, expliquait Cosette qui était dérangée.

- Moi, je me souviens la belle couleur des lampions qui illuminaient la ruelle, j’ai même appelé cette ruelle, la ruelle arc-en-ciel ! Enfin, d’extérieur c’était chaleureux, par contre la vie à l’intérieur, si j’avais su ma chère Cosette, je serais bien venu te chercher avant, répliquait l’invalide qui parlait d’un ton regrettant son action.

- Ce n’est pas grave papa, mais je continue mon récit, tu sais que la mère Thenardier me rossait. Je sens encore le ceinturon froid qui attaquait, telle une vipère sur sa proie, sur mon dos en forme de voûte, à force de me plier de douleur, confessait la jeune fille qui se sentait honteuse de raconter cet épisode.


- Oh, ma pauvre enfant, heureusement que je t’ai sauvée de cet marâtre, elle cachait bien son jeu, mais tu sais dans cette journée, j’ai été heureux au moment où je suis rentré et que je t’ai vue. J’ai su que toi et moi, ça ne s’arrêterait pas là, car au fond je savais comment les événements allaient tourner, se souvenait-il en versant une larme de joie, voyant que cette fois, il ne s’était pas trompé.


- Pendant que la méchante femme continuait comme à son habitude à me frapper, me rabaisser et m’humilier, on entendit un bruit à la porte, je ne me disait pas que mon futur père se trouverait derrière et encore moins le bon dieu. Mais lorsque que je t’ai vu papa, je n’ai pas pensé tout de suite que tu allais faire comme tout les autres amis de la Thénardier, si tu vois de quoi je veux parler. Mais passons, j’ai cru que tu essayais de m’amadouer en me donnant une poupée, puis j’ai vu au plus profond de toi que tu n’étais pas comme les autres. Et alors, j’avoue que j’étais timide, puis l’autre qui s’acharnait sur moi, j’avais l’impression d’être une bagnarde qui devais obéir aux ordres. Le moment où j’ai touché la main de la poupée fut comme une libération, une délivrance, une évasion pendant quelques secondes de ma vie de tous les jours. J’étais enfin heureuse et je ne te remercierais jamais assez de ses quelques secondes, pleurait t-elle sur ses derniers mots.


- Moi, je me souviens du moment où j’ai mis la main de la poupée dans ta main. J’en pleure rien que d'y penser, tes petites mains de travailleuse sur les mains de cette poupée, qui elles n’avaient jamais rien fait. A ce moment, j’étais heureux. Et oui, tu m’avais redonné le sourire, puis j’ai du partir, avec le regret de te laisser chez la mégère, j’avais quitté un endroit où j’avais réussi à rendre heureux un petit ange à la vie dure : le froid, la faim ainsi que la famine. Mais, t’avoir vue avec ce sourire éclatant, et ses yeux éclatants, j’étais comme transporté sur un nuage. Allez, sèches tes larmes et viens faire un câlin à ton vieux père ! terminait-il sa phrase et enlaçant sa petite fille dans ses bras ».

 

 

Voilà les fautes sont corrigées, et j'ai ajouté un peu de ponctuation.

Il y en avait quelques-unes, mais si tu veux mon avis, quelques exercices de grammaire et d'orthographe pourraient largement t'aider à combler les quelques lacunes que tu as. A part ça, tes phrases sont un peu longues, et tu utilises un peu trop souvent le "mais", ça rend tes phrases répétitives. Penses à mettre un peu plus de ponctuation, ça rend le texte moins compliqué à comprendre.

Cela dit, je dois dire que tu t'exprimes vraiment bien, ton vocabulaire est plutôt saisissant, et tes phrases sont recherchées et pertinentes.

Bonne journée Mattéo :)

 

Anonyme
Posté le 9 avr. 2015

Merci MON DIEU MERCI TU ME SAUVES LA VIE ! 

Bonne journée à toi aussi


Ils ont besoin d'aide !

Il faut être inscrit pour aider

Crée un compte gratuit pour aider

Je m'inscrisOU

J'ai déjà un compte

Je me connecte