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Sujet du devoir
Je doit faire une redaction qui fais peur, donc par exemple qui se passse dans une maison hanté ou quelle que chose comme sa. Je vous est mis le debut , mais je ne sais pas trop comment la finir si vous pourriez m'aider a la terminé ou a arrenger quelle que trucs se serai gentil . MerciOù j'en suis dans mon devoir
C'etait en 1853, Je roulai sur la route car j'etait inviter chez des amies, au bout de quelle que temps il se mit a faire noir, la pluie tombé fort, l'orage se mis a grondé et la voiture tomba en panne , en plein millieu d'un endroit tres effrayent . Au loin apparait une maison qui me rassuré pas tellement , je m'approcha doucement du grand portail, pour sonne mais il s'ouvra tout seul . J'etais pas tres conveincue de rentré dans cette maison , mais je n'avais pas le choix . Je rentré et commençais a visite , j'entendi des bruits etrange , je commençais a avoir un peu peur . Donc je décida d'aller me couchez dans la chambre , j'eteigna la lumière et m'endormie, et la j'entendi les fenetres claqué alors qu'elle etait fermeé . Je me leva et voya une ombre horrible, ce gadavre avec ses yeux vide, j'etais completement effrayé. Je regarder autour de moi et je voya que des chose horrible un bras avec des doigt manquant sortie du mur , et le cadavre me fixé je decida de m'enfuire de cette maison hanté , mais impossible les potes etait bloqué , je me mis a hurlez et personne ne m'entendis j'etais alors prissoné du cadavre .7 commentaires pour ce devoir
la suite est un peu étrange: tu dis avoir peur mais tu te couches et tu t'endors, il faudrait arranger cela, à mon avis.
par ex: Je traversais une immense allée bordée d'arbres, un vent étrange et glacial m'accompagnait; puis je me retrouvai devant la maison dont la porte était entrouverte;alors j'entendis des bruits étranges qui m'épouvantèrent un peu plus. Mais j'entrai malgré tout...personne, les portes battaient, les fenêtres ouvertes claquaient, pas âme qui vive!
Après avoir inspecté toutes les pièces en vain,comme j'étais épuisée, je choisis de m'installer dans une des chambres, très sinistres il faut le dire,où je pourrais prendre un peu de repos et réfléchir à une solution...
par ex: Je traversais une immense allée bordée d'arbres, un vent étrange et glacial m'accompagnait; puis je me retrouvai devant la maison dont la porte était entrouverte;alors j'entendis des bruits étranges qui m'épouvantèrent un peu plus. Mais j'entrai malgré tout...personne, les portes battaient, les fenêtres ouvertes claquaient, pas âme qui vive!
Après avoir inspecté toutes les pièces en vain,comme j'étais épuisée, je choisis de m'installer dans une des chambres, très sinistres il faut le dire,où je pourrais prendre un peu de repos et réfléchir à une solution...
D'accord merci !
Merci pour ton aide !
Merci pour ton aide !
A mon sens, outre la petite incohérence relevée par fleurdecactus, le principal problème est que vous arrivez bien trop vite à la scène du cadavre. Il faut prendre le temps d'instiller la peur à votre personnage. Vous avez commencé en décrivant le lieu et en égrenant quelques situations angoissantes, mais vous devriez en rajouter quelques unes
- l’exceptionnelle violence de l'orage qui oblige le héros à tenter de prendre un raccourci à travers les collines pour arriver plus tôt chez lui et qui se voit obligé de s'arrêter devant une vieille battisse qu'il ne connait pas.
- l'aspect particulièrement lugubre et imposant de la demeure. Elle est située sur une colline dans un endroit désert et elle semble abandonnée depuis des lustres.
- le cheval refuse de passer les lourdes grilles en fer forgé et s'enfuira à peine le héros aura il posé le pied à terre.
- la lourde porte d'entrée semble n'avoir pas été ouverte depuis une éternité mais n'est pas verrouillée.
- personne ne répond aux cris d'appel du héros et une rapide inspection de la demeure n'apporte aucune indication sur l'identité du propriétaire mais révèle un endroit lugubre bien qu'entretenu.
- vous pouvez rajouter tout du long de sa visite des évènements étranges (portes qui claquent sans raisons, une sensation d'être épié, des murmures qui proviennent d'endroits sombres qui semblent être des avertissements ou des menaces mais qui disparaissent dés que le héros s'approche de la source des bruits...).
- l’exceptionnelle violence de l'orage qui oblige le héros à tenter de prendre un raccourci à travers les collines pour arriver plus tôt chez lui et qui se voit obligé de s'arrêter devant une vieille battisse qu'il ne connait pas.
- l'aspect particulièrement lugubre et imposant de la demeure. Elle est située sur une colline dans un endroit désert et elle semble abandonnée depuis des lustres.
- le cheval refuse de passer les lourdes grilles en fer forgé et s'enfuira à peine le héros aura il posé le pied à terre.
- la lourde porte d'entrée semble n'avoir pas été ouverte depuis une éternité mais n'est pas verrouillée.
- personne ne répond aux cris d'appel du héros et une rapide inspection de la demeure n'apporte aucune indication sur l'identité du propriétaire mais révèle un endroit lugubre bien qu'entretenu.
- vous pouvez rajouter tout du long de sa visite des évènements étranges (portes qui claquent sans raisons, une sensation d'être épié, des murmures qui proviennent d'endroits sombres qui semblent être des avertissements ou des menaces mais qui disparaissent dés que le héros s'approche de la source des bruits...).
En ce qui concerne la suite de votre récit, votre personnage se trouve confronté à un mort qui semble en assez bonne forme pour un cadavre. Ce n'est pas une mauvaise idée mais deux petites choses peuvent être gênantes :
- la porte fermée : vous vous piégez vous même en limitant la capacité d'action de votre personnage qui n'aura d'autre issue que de combattre, aucune issue pour s'échapper ne s'offrant à lui. Une autre solution consisterait donc à laisser la possibilité au héros de s'échapper en dehors de la pièce, quitte à l'enfermer dans la maison par la suite.
- la rencontre avec le cadavre : outre le fait que l'on peut trouver assez étrange le fait pour une personne de s'installer tranquillement dans la maison lugubre d'un inconnu pour dormir, il peut également sembler étrange qu'un cadavre sorte de nulle part dans une chambre pour attaquer le héros. Une solution consisterait à faire trouver le cadavre par votre héros dans une crypte au sous sol ou dans une cave suintante recouverte de symboles cabalistiques.
En ce qui concerne plus spécifiquement la suite de votre histoire, vous pouvez reprendre le schéma traditionnel d'une fiction d'horreur : découverte de l'élément perturbateur / fuite / tentative de compréhension de ce qui se passe et élaboration d'un plan / action contre la menace.
La suite consisterait donc à faire fuir votre personnage à travers la bâtisse, ce dernier entendant les pas traînants du cadavre à sa poursuite avant qu'il ne trouve un refuge pour élaborer un plan.
Il serait également intéressant que le personnage trouve les raisons qui permettent d'expliquer la réanimation du corps (un livre expliquant un rituel néoromantique à accomplir ouvert dans la bibliothèque, une lettre d'une personne expliquant son échec à réanimer un cadavre et qui aurait laissé le corps dans la crypte, un livre concernant l'invocation d'esprits, une expérience scientifique qui tourne mal, etc...) ainsi que le moyen de tenter de le détruire (détruire le cadavre par le feu, détruire un artefact ancien, attaquer le nécromancien responsable...).
Enfin, pour la fin, vous pouvez faire triompher le héros, le rendre fou devant l'horreur qu'il a vécu, le faire mourir ou encore laisser une fin inachevée (notamment si votre rédaction est conçue comme une sorte de journal que votre héros aurait rédigé avant de partir attaquer le cadavre).
- la porte fermée : vous vous piégez vous même en limitant la capacité d'action de votre personnage qui n'aura d'autre issue que de combattre, aucune issue pour s'échapper ne s'offrant à lui. Une autre solution consisterait donc à laisser la possibilité au héros de s'échapper en dehors de la pièce, quitte à l'enfermer dans la maison par la suite.
- la rencontre avec le cadavre : outre le fait que l'on peut trouver assez étrange le fait pour une personne de s'installer tranquillement dans la maison lugubre d'un inconnu pour dormir, il peut également sembler étrange qu'un cadavre sorte de nulle part dans une chambre pour attaquer le héros. Une solution consisterait à faire trouver le cadavre par votre héros dans une crypte au sous sol ou dans une cave suintante recouverte de symboles cabalistiques.
En ce qui concerne plus spécifiquement la suite de votre histoire, vous pouvez reprendre le schéma traditionnel d'une fiction d'horreur : découverte de l'élément perturbateur / fuite / tentative de compréhension de ce qui se passe et élaboration d'un plan / action contre la menace.
La suite consisterait donc à faire fuir votre personnage à travers la bâtisse, ce dernier entendant les pas traînants du cadavre à sa poursuite avant qu'il ne trouve un refuge pour élaborer un plan.
Il serait également intéressant que le personnage trouve les raisons qui permettent d'expliquer la réanimation du corps (un livre expliquant un rituel néoromantique à accomplir ouvert dans la bibliothèque, une lettre d'une personne expliquant son échec à réanimer un cadavre et qui aurait laissé le corps dans la crypte, un livre concernant l'invocation d'esprits, une expérience scientifique qui tourne mal, etc...) ainsi que le moyen de tenter de le détruire (détruire le cadavre par le feu, détruire un artefact ancien, attaquer le nécromancien responsable...).
Enfin, pour la fin, vous pouvez faire triompher le héros, le rendre fou devant l'horreur qu'il a vécu, le faire mourir ou encore laisser une fin inachevée (notamment si votre rédaction est conçue comme une sorte de journal que votre héros aurait rédigé avant de partir attaquer le cadavre).
Ils ont besoin d'aide !
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Je roulai sur une route car j'étais invité chez des amis; au bout de quelques temps,brusquement, il se mit à faire noir, la pluie tombait fort, l'orage grondait et la voiture tomba en panne, en pleine campagne au milieu d'un endroit très effrayant.
Au loin,m'apparut une maison, qui ne me rassura nullement; néanmoins sous la pluie battante, je m'approchai du grand portail pour sonner, mais il s'ouvrit tout seul. J'hésitai alors à pénétrer dans la propriété, finalement je me décidai car je n'avais pas d'autre choix.